Je ne connais pas la vo mais la vf était très bonne. Les musiques excellentes. L'animation...déplorable.
Daniel Gall était un parfait Actarus. Il avait su faire ressortir cette froideur, cette distance qu'Actarus prenait, combien même elle m'avait choquée à l'époque! Pour se protéger et mener sa mission à bien. Il avait aussi donné sa voix à Herc, le Marin Des Tempêtes, dans les premiers épisodes de Jayce et les Conquérants de la Lumière, une autre série que j'affectionne toujours. Il avait su faire rejaillir la personnalité plus cool et décontracte d'Herc.
Goldorak est non seulement beau, mais aussi très efficace. Quand je le compare avec les Golgoths qu'il affronte régulièrement, il est superbe! Alors que les Golgoths sont une escalade dans la noirceur la plus totale, offrant un contraste saisissant entre le meilleur et le pire que peut produire la technologie. C'est mon ressenti.
Par contre, il y a la destruction d'un Golgoth qui me brise toujours le cœur: celui piloté par Ophélia, son grand amour...
Le King Gorille. Je ne sais pas s'il faisait partie des plus puissants.
Qui sait ? Peut-être que Toriyama s'est servi de King Gori comme référence, bien que Grendizer soit nettement moins populaire que Mazinger Z et Great Mazinger au Japon.
J'ai souvent entendu dire que les Japonais n'ont pas apprécié le fait que Kôji soit relégué au rang de faire valoir. Cela dit, pendant un temps les audiences étaient correctes, voire aussi bonnes que celles de Great Mazinger. Ça s'est gâté quand Hikaru et Maria Grace ont rejoint l'équipe.Paraît que les Japonais n'ont pas trop aimé voir des femmes venir en aide au héros et lui sauver les miches à plusieurs reprises, eux qui étaient habitués jusque là à voir Sayaka et Jun reléguées au rang de boulets.
Koji Kabuto c'est LE personnage nagaïen par excellence. Souvent, le personnage principal chez lui c'est une tête brûlée, une sale teigne. Guérilla High, Violence Jack, Devilman...
Apparemment, c'est Toei qui insistait pour que Kôji soit présent. Gô Nagai n'était pas très chaud mais a fini par céder à condition qu'il n'ait qu'un rôle secondaire.