Topic rêves =)

[Numby des Poissons]

J'ai rêvé que E.Honda de Street Fighter devenait un Gold Saint, du Bélier ou du Taureau, je sais plus.
Me demande si Chun-Li avait pas eu la même promotion (ou alors c'était Tifa de FF VII, mais en fait je crois qu'elle, elle mourrait).
Ah et y'avait aussi un gros lapin et/ou un gros hamster qui se retrouvaient en armure d'or.

Je précise que je n'ai jamais joué à FF VII et que je sui pas un joueur de SF non plus. Par contre pour le lapin, ça doit venir de Sacré Graal que j'ai revu récemment.

[Moïra]

Chun-Li est censée être née le 1er mars, donc elle doit porter l'armure des Poissons.
Y a intérêt à amener ladite armure en urgence à Jamir pour la faire refaire au niveau de la poitrine.
Par contre Honda est censé être scorpion... [:ouch:] tout de suite ça vend moins du rêve.

Moi j'ai rêvé qu'un type conduisait une tondeuse à gazon qui déposait des confettis de couleur pastel sur le terrain en dessinant le tracé d'une glace à l'italienne, et qui demandait à Ikki de ne pas tout détruire... 

[Numby des Poissons]

Ah bah moi qui me disait que mon rêve était vraiment trop perché, je vois que je suis pas le seul ! 

[Moïra]

Ah bah moi qui me disait que mon rêve était vraiment trop perché, je vois que je suis pas le seul ! 

De toutes façons, quand on apprécie Sacré Graal comme toi ou moi, on est forcément un peu perché... et fier de l'être !

[Samantha Rosenwood]

J'avais fait ce rêve plusieurs fois peu de temps avant le décès de ma grand-mère, et voilà qu'il me revient:

Tout commence avec une carte postale, avec ce que je présume tout d'abord être Oscar, assise sur un fauteuil dans ses atours d'Odalisque, mais il n'en est rien. Les kanjis disent "Orianne", et non "Oscar". Pour information, Orianne est le nom que j'ai donné à une poupée de porcelaine, vêtue dans le style rococo, achetée sur le marché de Noël de Mouscron, en 2004. De plus, Robespierre avait plaidoyé pour la première fois en tant qu'avocat là-bas, quelques siècles plus tôt.

La carte postale est signée de la main d'Ikeda, à mon attention.

Et il y a trois volumineux mangas, semblables à ceux édités pour Oscar, mais il ne s'agit pas de l'histoire d'Oscar.
C'est celle d'Orianne. Les motifs des couvertures sont floues, impossible à définir.

Par contre, je dois les feuilleter très souvent. Parce que je reviens toujours au moment où Orianne apprend que son père l'a vendue à Robespierre, en échange de sa fuite, et décide de couvrir la propre fuite de la famille royale, se sachant condamnée, si elle tente quoique ce soit. Bien sûr, suite à la fuite de la famille royale, et de l'attaque du palais des tuileries, Orianne consent à être évacuée de ce dernier de façon discrète. Quand on déroule le tapis qu'elle avait choisi pour se cacher, elle se retrouve dans une petite chambre, au-dessus de la salle du café Procope. Elle confronte Robespierre sur le fait d'avoir accepté la transaction de son père, ne lui laissant aucune chance de salut. Elle se réveille le lendemain au chant des oiseaux. Elle échange ses habits de cour pour ceux d'une femme du peuple, et devient une serveuse très appréciée des clients du Procope, mais aussi des gens habitant le faubourg Saint-Antoine. Entre ses heures de travail, Robespierre exige d'elle qu'elle assiste aux séances du Comité du Salut public. Un jour, une de ces séances part en cacahuète, où à l'instant Robespierre se baisse pour éviter un encrier le visant, et où Saint-Just esquive une planche sur le point de lui tomber dessus, elle éclate de rire, et s'éclipse avant que son bourreau ne s'en rende compte. Elle retourne au Procope, riant toujours aux éclats, avant de reprendre son ouvrage. Plus tard, Robespierre l'envoie rendre visite aux nobles condamnés à être exécuter. Et parmi tous ces malheureux, elle reconnaît...Madame Du Barry, qui avait assisté à ses débuts à la cour, autrefois. Celle-ci l'encourage à continuer à tenir bon, avant d'être exécutée quelques jours plus tard. Et puis, Robespierre est exécuté à son tour. Retrouvant sa liberté, le patron du Procope lui paie ses gages, et elle décide de retourner à la maison familiale. Après avoir glissé en hauteur, entre deux poutres de la chambre où elle logeait, sa bague avec ses initiales et le blason de sa famille, à l'adresse de sa meilleure amie, partie des années plus tôt en Russie. Sur la route de la maison, un carrosse vient à sa rencontre, et en émerge sa meilleure amie, qui, sur des informations transmises par Madame de Polignac, a quitté la Russie des mois auparavant. S'il y avait une chance qu'elle la retrouve...Orianne décède de la tuberculose deux ans plus tard. Sa meilleure amie suit, dans une petite église voisine, celui à qui cette dernière avait demandé de l'accompagner en Russie, et qui n'était autre que l'amour de sa vie. Elle le trouve entrain de bercer le corps sans vie d'Orianne, et réussit à le raisonner, en lui disant qu'ils ne peuvent pas laisser son corps ici...ainsi s'achève l'histoire d'Orianne, musicienne de la Reine Marie-Antoinette.

[Telescopium]

Rêve fait voici quelques nuits.

Je suis traqué par des hommes au comportement étrange, bestial. Ils ne sont pas clairement offensifs, mais leur comportement est véritablement oppressant. Ils semblent me traquer. Ils cherchent, par exemple, à entrer chez moi, en envoyant un éclaireur passer par une fenêtre.
Je m'enfuis alors, dévalant par les sentiers la colline sur laquelle est construite la maison familiale. Je me rends compte que je suis toujours poursuivi. A mon grand effroi, je découvre que les sentiers longent un boisé où se trouvent de petits enclos de basse-cour. Ceux-ci renferment d'autres hommes-cochons, très peu vêtus, au comportement de suidé, mais qui ne me pourchassent pas.
Finissant par arriver en ville, je tente de me fondre dans la foule d'une Fnac. Il me semble leur avoir échappé... Toutefois, leur présence demeure, leur menace plane : et s'ils étaient capable d'infiltration ?

Bref, enchaîner les aventures d'Alix avant d'aller s'endormir n'est pas forcément une bonne idée !

[Numby des Poissons]

Ceux-ci renferment d'autres hommes-cochons

L'HOMME-OURS-PORC 

[Moïra]

Ceux-ci renferment d'autres hommes-cochons, très peu vêtus, au comportement de suidé, mais qui ne me pourchassent pas.

C'est Louis croix-vé-bâton qui te poursuivait ?

[Telescopium]

Simplement des hommes, mais avec la posture de porcs.

[Numby des Poissons]

Dans le contexte de mon rêve, il me semble que je me rendais tout les jours - peut-être à la même heure - à un endroit (un club ?)*, vraisemblablement situé à Strasbourg. Viens un jour où je ne sais plus du tout où il se trouve, je n'arrive plus à resituer le chemin habituel, alors que normalement je le connais et le prends tout les jours. En revenant sur mes pas, je tombe sur un membre du groupe (quelqu'un que je connaissais irl : un camarade de promo**, quand j'ai fait une forma de téléconseiller à la fin 2019) qui a apparemment le même problème que moi. Peu après on est rejoint par le reste du groupe, et on suit une nana qui semble savoir où aller, ne prenant pas le chemin habituel. Il est vrai, je crois qu'en fait on avait eu un briefing la veille, genre il fallait désamorcer des missiles dans les souterrains et tout. Bref, on la suit, on se met à ramper dans des conduits façon jeu d'infiltration, etc. là on se dit qu'il est tôt, genre 8h45 alors que nos réunions/cours/chépa commencent à 9h... mais que justement, ça surprendra l'ennemi [genre les méchants de James Bond ils bossent pas avant 9h t'vois].
Bref : on débouche dans un endroit très similaire aux toilettes du niveau Facility du jeu Goldeneye. Même les gardes qui sont là et qui nous attaquent ont leur apparence du jeu, càd en polygones et tout. S'ensuit un massacre, auquel je participe. Je suis sur un espace de balcon, un peu en hauteur, j'arrive à chopper l'arme d'un mec abattu (dans la logique du rêve, c'était le même fusil qu'un de ceux qu'ils sont censés porter dans le jeu), et je viens en aide à mes compagnons qui galèrent plus bas. Je ne sais pas tirer, je ne ressens pas "l'impact" de mes balles, mais pourtant ça a l'air de marcher. En fait, je vois même une "interface" avec écrit notre nombre de kills - comme nous fait remarquer la camarade qui nous a guidé - écrit dans la police du jeu original  Je crois bien qu'on perd certains de nos amis, dans la fusillade. A un moment, je me retourne, je vois un garde allongé... je crois bien qu'il avait un masque/une tête semblable à celle du méchant dans KOTOR II (pas sûr, jamais fait le jeu)... je sais qu'il est censé se relever, comme si je l'avais déjà vu faire dans un film, alors je lui tire (oui, oui) une dague avec mon fusil pour l'achever. Là je me fais une réflexion bizarre, du genre les meurtres isolés c'est un peu naze et que ça n'a vraiment de but et d’intérêt quand c'est des gros massacres de malade comme celui qui vient de se produire   


* : J'avais lu un peu des lettres de Tolkien la veille, donc peut-être une référence aux Inklings ? (Pas ceux de Splatoon)
** : J'ai tenté récemment de recontacter mon groupe de promo... en vain.

[Telescopium]

Il me semble avoir fait ce rêve deux fois, une nuit et lors d'une sieste méridienne.

Je vais à la Biennale du Design d'une grande ville que je connais très bien. Le volume du bâtiment ressemblerait néanmoins plutôt à celui de la Cité des Sciences de la Villette.

L'accès aux expositions est... particulier. C'est une sorte de tour-cheminée, à l'intérieur peint en jaune, dans laquelle résonne une sorte de bruit ou de musique intrigante, avec une échelle métallique classique, mais sans protection anti-chute. La hauteur à gravir est de plusieurs dizaines de mètres, voire peut-être plus d'une centaine. Et ce n'est pas fini !
Au bout de cette échelle, alors que le toit du premier bâtiment est dépassé depuis longtemps et que nous sommes, pour ainsi dire, dans le ciel, c'est une sorte de tige ou câble à barreaux ou arçons métalliques qui permet d'atteindre la plateforme sommitale, là encore sans harnais, filet ou quoi que ce soit qui empêche de chuter de plusieurs dizaines ou centaines de mètres...
J'escalade tout cela en maugréant sur l'absence de dispositifs de sécurité et en craignant le vent, un malaise, le vertige, une crampe... qui me ferait lâcher prise.

Une fois au sommet, un couloir mène au bâtiment d'exposition. Il impose d'avancer en poussant et en se faufilant au travers des sortes de câbles de laine resserrés, sur lesquels sont projetées par l'arrière des images issues d'art contemporain ou numérique, des objets "design".
Cela m'agace de ne pouvoir avancer vite et de devoir lutter en permanence, tout en m'amusant, m'incitant à faire le trajet plusieurs fois pour essayer de comprendre le fonctionnement du dispositif et trouver un moyen de courir au-dedans. De la même façon, malgré le risque, la cheminée m'attire, surtout à cause de la musique, alors que le parcours me donne un léger vertige.

Enfin, j'arrive dans le centre d'exposition, qui ressemble à un musée moderne ou à un parc d'expositions plus classique.

J'attends vos interprétations au 1234 ! Ayant parlé de cheminée, tige, vertige, musique, objets design et exposition, il y a de quoi vous inspirer.

[Damien]

Je retombe dans la cigarette. 1 paquet par jour. Et j'envoie mon chat chez le buraliste qui me rapporte une cartouche sur son dos.

Erf.

D's©