Je me demande comment il ferait si on lui improvisait un autre circuit...
Ooooooooh, oki d'accooooooord ! Ceci expliquant cela...EDIT :En fait, cette constallation "Godzilla" fait partie des 21 nouvelles constellation inventées par la NASA, constellations uniquement visible en observant les rayons gamma :https://www.futura-sciences.com/sciences/breves/astronomie-nasa-invente-21-nouvelles-constellations-86/On peut admirer ces constellations sur cette "carte" : https://fermi.gsfc.nasa.gov/science/constellations/
Commençons par l'origine de ces problèmes : les fautes des chercheurs repérées par ces enquêtes successives. Elles ont pour point commun de porter non pas sur des expériences frauduleuses, montées de toutes pièces, mais sur la présentation incorrecte, voire illicite, des résultats. Ce qui constitue, selon les canons académiques, des manquements à l'intégrité scientifique.Car ces manipulations touchent des images qui sont autant d'éléments accréditant les conclusions des chercheurs. Pour la plupart, il s'agit d'une succession de formes oblongues noires ou grises, appelées bandes. Leur présence et leur intensité informent sur la nature et la quantité des molécules identifiées dans l'expérience, comme des protéines.
Le constat est donc qu'une poignée de biologistes français ont enfreint des règles de bonnes pratiques. Mais tous les participants à l'élaboration d'une expérience, sa réalisation et sa publication, ne suivent pas plus méticuleusement ce qui constitue l'aboutissement de leur travail : l'article scientifique.Or souvent, lors des enquêtes, les coauteurs des fautifs désignés se sont déclarés « surpris », « étonnés », face aux figures publiées, alors que, dans bien des cas, ils auraient pu constater qu'elles ne correspondaient pas aux originaux qu'ils avaient obtenus. Sur l'affaire Peyroche, les enquêteurs ont pudiquement qualifié de « regard furtif » cette négligence collective.
Une explication plus rationnelle est que reproduire plusieurs fois une expérience pour s'assurer de sa validité prend du temps et qu'il peut être tentant de ne pas le faire. Quitte à jeter aux orties la sacro-sainte reproductibilité des résultats. Dans une lettre ouverte écrite à la suite de l'affaire Jessus, le biologiste Patrick Lemaire s'étonnait, par exemple, que des articles publiés ne mentionnent pas le nombre d'expériences réalisées.On peut aussi s'abstenir d'effectuer des expériences dites « de contrôle » (donnant un standard de comparaison) pour gagner du temps en utilisant celles réalisées précédemment. Le temps, si précieux pour doubler une équipe concurrente, dans un système de recherche mondialisé et hypercompétitif, où la pression du « publish or perish » (« publier ou périr ») est impitoyable, pour obtenir un financement, un recrutement, un avancement de carrière, une part de gloire... Comme en sport, où le dopage procure un avantage par rapport à la majorité, qui, elle, ne cède pas à ce système pousse-au-crime.
@AZB voila le secret de la derniere oeuvre de Marco.
On reparle également de l'hypothétique Neuvième planète de notre système : https://www.nationalgeographic.fr/espace/des-scientifiques-ont-la-preuve-dune-neuvieme-planete-dans-le-systeme-solaire