Bienvenue,
Invité
. Merci de
vous connecter
ou de
vous inscrire
.
1 heure
1 jour
1 semaine
1 mois
Toujours
Connexion avec identifiant, mot de passe et durée de la session
Ce sujet
Ce forum
Le forum entier
Google
Accueil
Aide
Rechercher
Tags
Calendrier
Identifiez-vous
Inscrivez-vous
Like stats
SaintSeiyaPedia
»
En dehors de Saint Seiya
»
Manga / anime
»
Blood+ Tutoriel : comment buter du Chiroptère en trois étapes faciles
« précédent
suivant »
Imprimer
Pages: [
1
]
En bas
Auteur
Sujet: Blood+ Tutoriel : comment buter du Chiroptère en trois étapes faciles (Lu 1204 fois)
Xeraphia
Néophyte
Messages: 41
Total likes: 0
Vous voulez un bonbon?
Blood+ Tutoriel : comment buter du Chiroptère en trois étapes faciles
«
le:
06 décembre 2012 à 05:28:37 »
Bon bah, ceux qui me connaissent ne seront pas surpris. Ou peut-être seraient-ils surpris que j’aie mis autant de temps à l’ouvrir. Quoi qu’il en soit, pour vos beaux yeux, mesdames et messieurs, et aussi pour les beaux yeux de David, votre topic officiel Blood+. Merci qui ?
Blood+ n’est pas une de ces séries « qu’on ne présente plus ». On ne peut pas exactement dire qu’elle a déferlé les chroniques, et si elle est appréciée de ceux qui l’ont connue, ceux-là même ne sont pas si nombreux. Alors, pour que vous ayez la chance de faire partie du lot, hop votre fiche B+. Avec un bonbon en prime
Synopsis
Spoiler
(click to show/hide)
Okinawa, quelques décennies après la Guerre du Vietnam.
Saya est une lycéenne comme les autres, à quelques détails près. Amnésique, elle ne se rappelle que de sa dernière année. De plus, pour une raison quelconque, elle doit subir régulièrement des transfusions de sang. Enfin, Saya vit avec son père adoptif Georges et ses frères également adoptés, Kai et Riku. Mais un jour, un homme du nom de David, d’une certaine organisation nommée Le Bouclier Rouge, débarque chez Georges et réclame Saya. On apprend alors que l’adoption s’était faite sous contrat pour un an uniquement, le temps que Saya « soit prête à accomplir ce a quoi elle est destinée ». Ce temps est venu, et David vient chercher la jeune fille.
Entre-temps, Saya se fait attaquer par un Chiroptère, monstre sanguinaire entre la chauve-souris et euh… quelque chose. Elle est sauvée in extremis par un joueur de violoncelle qu’elle avait aperçu le jour même, et qui, ni une ni deux, lui met un katana assez particulier entre les mains et la somme de se battre, ce dont elle est bien évidemment incapable. Incapable de terrasser lui-même le monstre, le violoncelliste remédie rapidement a la situation : en forçant Saya à boire son sang, il l’ « éveille » et la voilà partie a l’assaut du Chiroptère, dont elle se débarrasse en un clin d’œil, avant de redevenir elle-même.
Ainsi commence l’histoire de Saya, destinée à se battre contre ces Chiroptères dont elle ne sait strictement rien, accompagnée de ses frères, du Bouclier Rouge et de Haji. Qui est-elle vraiment, et d’où vient-elle ? Qui est Haji ? Que sont Diva et ses Chevaliers ? Quel rôle jouent le Bouclier Rouge, l’armée américaine et la Guerre du Vietnam dans toute cette histoire ? Du Japon au Vietnam, du Vietnam a la Russie, de la Russie en France, de la France aux Etats-Unis, réponse en 50 épisodes.
Les bons : Indéniablement, le scénario et la façon dont il se déroule, l’ambiance, et surtout les personnages. Fait rare, le scénar est soigneusement ficelé et comprend zéro incohérence. L’ambiance est bien présente, bien retranscrite, et surtout, bien ancrée. Quant aux personnages, profonds et attachants, ils sont le premier atout de la série.
Les moins : La prod. Un trait pas toujours tip-top, une BO très largement en-dessous de ce qu’elle aurait du être, et une impression générale de « Ca n’a pas été assez exploite et ca aurait pu être tellement mieux ». En ce qui me concerne, une légère amertume a la fin.
La BO
Spoiler
(click to show/hide)
Indubitablement un des points forts de la série, mais en même temps, un des éléments qui laissent une impression de sous-exploitation. Je m’explique.
D’abord, cette BO ne compte que de beaux noms, la crème de la crème. Mark Mancina et Hans Zimmer à la production –rien que ça. Les génériques (au nombre de huit) sont chantés par, tenez-vous bien, Uverworld, Hyde, Mika Nakashima et autres joyeusetés du genre. Le gratin, quoi.
Season’s Call (Hyde)
Color of the Heart (Uverworld)
Mais, si je n’ai rien à reprocher aux génériques, il en va autrement de la BO elle-même. Oui, elle est bien faite ; oui, elle est belle ; oui, c’est une BO à l’occidentale, faite par des occidentaux, mais elle s’adapte parfaitement avec l’animé qui a lui-même un pied solidement ancré dans l’ouest. Mais elle est bridée, elle contient bon nombre de morceaux qui ont tellement, tellement de potentiel qui n’est pas exploité que c’est presque du gâchis. La musique a été écrite par Mancina et produite par Zimmer ; ceux qui sont familiers avec la musique de Zimmer comprendront ce que je veux dire en écoutant la BO. Lui, l’aurait prise quelques degrés plus haut, plus loin, plus profond, plus puissant, et c’est un de mes gros regrets par rapport à la série. Ceci dit, cette BO repose essentiellement sur les cordes, les violons étant l’instrument dominant, et c’est un choix que j’applaudis des mains et des pieds : l’effet rendu est superbe.
Petit exemple en musique, avec deux de mes morceaux préférés.
The Red Shield
Diva (Instrumental)
Ensuite, franchement… je ne suis pas une experte de la production, mais quand on a le budget pour s’allouer les services d’un Zimmer, d’un Mancina, d’un Hyde, on peut peut-être en laisser tomber un pour mettre un peu plus de sous dans la production globale de la série ? Je dis ça, je ne dis rien, mais quand je pense au gouffre monétaire que cette BO a sans doute été, pour la qualité du reste de la série, je ne peux pas m’empêcher de penser qu’il y a eu (très) mauvaise répartition des ressources.
Le dessin
Spoiler
(click to show/hide)
Ah, ah, on y arrive, là où le bât blesse. Bonjour les dents de scie. Avec un trait simple et relativement pur, Blood+ alterne le très beau et le très laid, pour une qualité globale que je qualifierais de moyenne. C’est ‘normal’. C’est pas moche, c’est pas beau. Le chara-design est résolument occidental, parfois assez original, mais sans casser de briques. Ce qui est agaçant, c’est certains aspects systématiquement ratés, où on ne peut pas s’empêcher de se demander pourquoi ils n’ont 1) pas modifié ou 2) pas appris. Vous comprendrez au premier Chiroptère qui se pointera, ça ne tardera pas
Là où je donne un two thumbs up, en revanche, c’est aux couleurs de l’animé. Rien à redire sur ce plan-là, c’est beau, c’est beau, c’est beau. Une grande partie de l’animé se déroule de nuit, mais les couleurs ne passent pas pour autant à la trappe ; elles sont le plus souvent chaudes et réconfortantes, et cet aspect est rehaussé par des traits plus aigus, plus froids (les yeux des Reines, l’acier des lames, les cristaux des Chiroptères…) un contraste de toute beauté.
Là où je donne un two thumbs down, par contre, c’est au chara-design des Chiroptères et des Chevaliers de Diva. Là, ils se sont foutus de la gueule du monde, c’est pas possible autrement. *Immense regret numéro deux*. Heureusement que Diva, elle, a échappé au massacre.
Les personnages
Spoiler
(click to show/hide)
Point fort numéro un de la série.
Grosso modo, la série tourne avec une quinzaine de personnages. Tout au long, les relations plus ou moins profondes que ces personnages vont développer, créer, briser, approfondir, découvrir, entre eux, vont constituer des pivots tournants à la série. Le meilleur exemple de cet aspect vient de Kai et Saya, que ce soit entre eux ou chacun de leur côté (Kai avec David, par exemple ; Saya avec Diva et Haji).
Blood+, c’est avant tout une histoire, c’est l’histoire des Reines. Ce n’est pas de la baston, ce n’est pas des amourettes, ce n’est pas de la politique, ce ne sont même pas des vampires, c’est l’histoire de deux personnes et de toutes celles qui y ont été entrainées. Quelques mots.
Saya
Héroïne de la série. Le personnage de Saya est bourré à la fois de qualités et de défauts, c’est une vraie relation d’amour-haine que j’ai avec elle.
D’abord, c’est une héroïne dans un monde de mâles, ce qui est un changement sympa ; autre changement sympa et hautement respecté et respectable, Saya n’est pas de ces filles à poil qui bastonnent et/ou se pâment pour un oui ou un non. Elle n’a pas les seins à l’air, ne se promène pas en petite culotte de dentelle rose avec quatre revolvers et un poignard harnachés aux hanches ; elle ne fait tourner la tête à personne, ses cheveux sont coupés n’importe comment et elle a de simples yeux noisette. Saya, c’est la fille qui habite sur le palier à côté. Elle, tout comme ses frères, est d’un réalisme saisissant. Côté psychologie, elle débute un peu naïve, bébête, poussive, et mûrit merveilleusement tout au long de la série. Son évolution est un des points forts de la série, sans aucun doute.
Gros défaut ? Elle m’énêêêêêêêêêêêêrve. Il lui faut trop de temps pour embarquer, elle a un côté cruche et neuneu insupportable et elle bascule facilement dans l’extrême.
Chara-design simple mais sympa, très belle (et bonne) voix en VO, réaliste, les pieds sur terre et le katana au poing, Saya est une héroïne qu’on n’appréciera sans doute pas au premier visionnage de la série. Elle n’est pas elle-même sympathique, surtout en comparaison de son frère ou de la très charismatique Diva. Mais elle a beaucoup pour elle, et il faut l’apprivoiser pour s’en rendre compte.
Spoiler
(click to show/hide)
Haji
Difficile de parler de Haji sans spoiler. Haji est un personnage de contraste, si froid, si calme qu’on pourrait le croire complètement retardé ; à l’opposé, il est de loin le personnage le plus violent de la série, avec Carl Fei Ong (du bonheur en barre quand ils se mettent sur la gueule tous les deux). Haji a un but, une priorité, une obsession dans la vie, et tout ce qui ne touche pas ledit but est inexistant pour lui. Ça en fait un personnage difficile à cerner, assez antipathique (son côté bôgoss avec apparemment rien dans le crâne n’aide pas… vraiment pas, sauf pour public féminin de douze ans, là ça passe, pas de problème) mais en même temps attirant, parce que Haji n’est pas comme les autres, il a un chara-design complètement différent, on parle de lui avec le plus grand mystère, et il a une de ces p*t*i*n de classe dès qu’il monte au combat. C’est un régal de le voir affronter un Chiroptère ou un Chevalier. Le doubleur de Haji fait un excellent boulot, il a la voix du rôle et il a parfaitement capté le truc, c’est un plaisir de l’entendre les rares fois où il l’ouvre (c'est Hisagi, de Bleach, d'ailleurs ; avec le même jeu)
Globalement, Haji est un personnage très réussi ; malheureusement, il est aussi celui qui souffre le plus du mauvais coup de crayon de la série, et ça, c’est dommage, parce que son chara-design est plus réfléchi que celui des autres persos.
Spoiler
(click to show/hide)
Kai
Kai est le grand frère de Saya et Riku, et c’est cette position qui le définira tout au long. Franc et brûlant, Kai a une obsession dans sa vie, et c’est sa famille pour laquelle il ira jusqu’au bout du monde et au-delà, jusqu’aux enfers. C’est ce qu’il fera d’ailleurs, sans jamais baisser les bras. Kai est un personnage central à la série, il est le pont entre Saya et le Bouclier Rouge, il est le pivot des relations dans son camp, il campe un grand frère puissant, solide, bref celui que je souhaite à tout le monde. Sur beaucoup de points, Kai me rappelle Ichigo Kurosaki, en remplaçant les amis d’Ichigo par la famille de Kai. Il n’a qu’une envie : que tout se termine pour pouvoir offrir à sa famille une vie normale et leur « Nankurunaisa ». Tout comme sa sœur, Kai évolue et mûrit beaucoup dans la série, mais il le fait trop vite ; ce n’est pas sans séquelles qu’il deviendra un homme aussi vite.
Avec un chara-design assez quelconque et une voix plutôt casse-pieds, même si bien jouée, Kai joue des coudes et de sa personnalité pour rester sur le devant de la scène, et il a fort à faire avec tous ceux qui l’entourent. Mais il tire admirablement son épingle du jeu, pour devenir incontestablement le personnage le plus sympathique de la série, bien qu’il soit celui qui souffrira le plus.
Spoiler
(click to show/hide)
David
Agent principal du Bouclier Rouge, David est l’antipathie même. C'est un Homme avec un grand H, un vrai, les demoiselles apprécieront. Il apparait froid, distant, dur, inhumain. Un soldat, une machine à obéir et à tuer. Zéro compassion peu importe la situation, David haussera les épaules et dira simplement : « Tel est le monde dans lequel nous vivons. » Adorable, hein ? Il mérite clairement une paire de claques. Mais David a trop vécu, il a trop vu, il a trop perdu, surtout, et il n’y a plus grand-chose qui l’émeut. C’est un personnage dont l’évolution reste très discrète, même si elle est bel et bien présente. Il développera une très belle relation avec Kai, et apprendra même à se rapprocher de Saya. Mais David est et restera avant tout un soldat, et il ne nous laissera pas l’oublier une seule seconde.
Belle voix, bon doublage, chara-design vu et revu mais efficace, David est mon personnage préféré de la série avec Kai. Il a un certain quelque chose, tout à fait indéfinissable, mais qui fera de David, David tout au long de la série, et même quand il surprendra, on sourira en pensant que ce n'était pas surprenant.
Spoiler
(click to show/hide)
Du côté du
Bouclier Rouge
, on trouve aussi :
- Joël Goldschmidt, bien entendu, directeur de l’agence : un rôle tout en douceur et discrétion, mais quand même le leader de tout ce bordel ; et la voix qui va avec. Un bon personnage, qu’on aurait quand même voulu voir un peu plus ;
- Lewis, qui est comme deux doigts de la main avec David, et apporte une touche d’humour et, surtout, de réalisme et de pieds-sur-terre à la série : quand tout va mal, Lewis, lui, pense à nourrir son monde et prépare la popote après avoir buté un Chiroptère les doigts dans le nez et équipé le Bouclier Rouge au grand complet d’un arsenal digne des meilleures guérillas. Posez pas de questions, c’est Lewis ;
- Julia, le cerveau de l’équipe, est le personnage-explication. Quand on ne pige rien à rien, c’est Julia qui pointe
ses adorables seins euh,
son adorable nez, et pouf ! on comprend tout mieux qu’elle. Un personnage assez fade et désagréable dans l’ensemble (puis c’est une salooooooooope !) ;
- Mao, l’insupportable Mao, tellement toquée de Kai qu’elle se retrouvera embarquée dans l’aventure de sa vie, des emmerdes par-dessus la tête, pour les beaux yeux de son prince charmant. Ben… elle est pas au bout de ses surprises ;
- Et, enfin, Okamura, notre globe-trotter, baroudeur et journaliste misogyne de choc préféré. Okamura est un personnage très, très, très sympathique, soutenu par un excellent doubleur. J’ai pris beaucoup de plaisir à le redécouvrir et il mérite le détour.
Et, pour le camp d’en face :
Les Chevaliers de Diva
Les grands méchants très méchants, un peu méchants, pas trop méchants, plutôt gentils, passifs, inutiles, horripilants, géniaux, fades, insipides, flamboyants, crevant l’écran, discrets, crétins, brillants… faites votre choix, il y en a pour tous les goûts. Entre Amshel Goldsmith, l’ennemi éternel du Bouclier Rouge qui ne convainc personne ; Solomon Goldsmith, le bellâtre avec rien dans le crâne qu’on se demande encore à quoi il peut bien servir ; James Ironside, tellement fade, le pauvre… tellement fade ; Carl Fei Ong, enfin un Chevalier de Diva qui en vaut la peine, complètement cinglé et crevant l’écran comme on les aime ; et, enfin, Nathan Mahler, sûrement le personnage le plus discret de la série, mais Nathan Mahler, Nathan Mahler… c’est Nathan Mahler et ça se passe de toute description. Deux réussites pour trois échecs, on ne peut pas dire que l’équipe s’en soit bien tirée là-dessus. Sans parler que des cinq Chevaliers, il n’y en a qu’un seul qui le sera réellement, un Chevalier, et ce n’est pas le plus réussi. Bref, il y a quelque chose qui a monstrueusement foiré à ce niveau, et c’est dommage, parce qu’il y a un de ces potentiel avec ces cinq-là…
Ceci dit, Carl et Nathan Mahler valent le détour et la série –rien qu’à eux.
Spoiler
(click to show/hide)
Diva
Enfin, Diva, LA Diva. Comme Haji, difficile de parler de Diva sans spoiler. Le personnage de Diva est atroce, pathétique, d’une cruauté dingue, d’une telle complexité qu’on ne s’en rend même pas compte au début, mais tellement poignant, tellement triste. Tout comme Haji, Diva est un personnage de contrastes et, à la fin de la série, elle nous laisse avec un drôle de goût en bouche ; on ne sait pas si on est heureux de la fin ou pas, on ne sait pas si on l’aurait écrite différemment, cette fin, on ne sait pas où on aurait mis Diva, ce qu’on aurait fait de Diva, parce que Diva n’a sa place nulle part, elle a sa place partout, on veut la laisser vivre, on veut s’en débarrasser et ne plus jamais la voir, on veut la sauver, on veut la tuer, elle est esquintante, épuisante, elle vous mène par le bout du nez sans que vous ne vous en rendiez compte, mais elle ne le fait pas exprès, mais elle sait exactement ce qu’elle fait… Diva est merveilleusement développée, contrairement à ses Chevaliers, elle est toute en détails, minutieusement réfléchie et pensée, et le résultat est une petite merveille de Diva. Pour ne rien gâcher, elle a chara-design superbe et est la seule de toute la série à avoir sa propre musique et même sa propre chanson qu’elle chante elle-même… avec sa voix de Diva (voir plus haut, dans BO). Bref… Diva est indéfinissable, il n’y a que Diva pour définir Diva.
Spoiler
(click to show/hide)
Pour résumer, Blood+ est une série faite pour et par un scénario et des personnages, une ambiance et une foule de petits détails qui en font ce qu’elle est. À savourer encore et encore, malgré tous ses défauts, malgré sa fin bâclée, malgré le plafond qu’elle a atteint sans jamais le crever ; et les rares combats sont un tel régal qu’on en aurait bien pris double dose.
Pour ma part, 50 épisodes étaient trop peu, mais ce sont 50 épisodes qui se détacheront toujours de toutes les autres productions.
IP archivée
Je ne partage pas mes bonbons.
cacaman
Victime du médiator
Membre Héroïque
Messages: 6124
Total likes: 373
Chuck lives on.
Re : Blood+ Tutoriel : comment buter du Chiroptère en trois étapes faciles
«
Réponse #1 le:
06 décembre 2012 à 10:45:35 »
Ca m'intéresse fichtrement ton truc, en dépit du « Ca n’a pas été assez exploité et ca aurait pu être tellement mieux », car j'ai eu la même impression sur Monster et GTO ; pourtant ça ne m'a pas empêché d'adorer ces deux séries.
Je vais tenter l'aventure.
IP archivée
"Je veux une bonne fois tenter l'épreuve qui fera voir jusqu'à quel point nos semblables, si fiers de leur liberté de pensée, supportent de libres pensées" Nietzsche
Alaiya
ex-Modo = Mascotte
Membre Héroïque
Messages: 10253
Total likes: 605
Re : Blood+ Tutoriel : comment buter du Chiroptère en trois étapes faciles
«
Réponse #2 le:
06 décembre 2012 à 10:55:34 »
J'avais commencé à regarder cet anime, je crois que je me suis arrêtée grosso merdo un peu avant le milieu parce que, pfiou, je trouvais que ça n'avançait pas. Ceci étant dit, je dois avoir en stock quelques épisodes d'avance, faudrait quand même que je m'y remette. J'aimais bien, hein, c'est juste qu'à un moment donné ça ralentit pas mal.
A noter qu'il y a pas mal de côtés dramatiques dans l'histoire qui m'ont bien fait accrocher, mais pour cette semi moitié que j'ai regardée, j'avais effectivement le sentiment qu'on n'allait pas au fond des choses. Sinon, techniquement, c'est homogène, ce qui mérite d'être signalé.
IP archivée
http://archiveofourown.org/users/Alaiya
"When the fires, when the fires are consuming you
And your sacred stars won't be guiding you,
I've got blood, I've got blood - Blood on my name"
Sojiro
Membre Héroïque
Messages: 11778
Total likes: 180
Re : Blood+ Tutoriel : comment buter du Chiroptère en trois étapes faciles
«
Réponse #3 le:
06 décembre 2012 à 12:53:11 »
J'avais regardé à sa sortie, donc ça date un peu dans mes souvenirs ( surtout que je regardais tellement d'anime à une époque que je me souviens de la plupart que par bribes, l'avantage c'est que je peux les redécouvrir 7-8 ans plus tard comme neuf, le désaventage est que j'ai l'impression d'être déjà sénile
) mais j'avais plutôt bien apprécié, une belle qualité visuelle, de très jolies musiques, un univers assez sombre, pas mal de persos bien charismatique.. Le point noir c'est qu'a mes souvenirs la fin m'avait réellement déçu, comme si on attendait toujours la chose qui viendrait faire passer là série de "bonne, sympa" à "épique, incontournable" et elle n'arrive jamais en fait..je vais pas trop préciser pour ne pas spoil et car mes souvenirs sont assez flous aussi..
Je me les rematerais surement quand j'aurais le temps, pour voir si j'ai toujours cette impression de légère déception par rapport au potentiel de la série.
«
Modifié: 06 décembre 2012 à 12:55:10 par Sojiro
»
IP archivée
chevkraken
Membre Héroïque
Messages: 5299
Total likes: 163
Re : Blood+ Tutoriel : comment buter du Chiroptère en trois étapes faciles
«
Réponse #4 le:
06 décembre 2012 à 17:26:34 »
Pour moi, Blood+, ça a a été, une première moitié un peu lente, mais très sympa et une seconde moitié nulle à chier, semblant improvisée et introduisant tout plein de persos inutiles avant de ne plus savoir comment faire pour leur faire quitter la série.
Bref très loin du fablueux film dont elle est le spin off, Blood the last vampire, mais aussi franchement meilleure que la daube qui lui a fait suite, Blood C.
Après ça reste avec Mai Hime, Air, Shana, Aquarion, Gungrave et Gankutsuo une des grosses série de 2005.
IP archivée
bien que ce soit surprenant, j'ai davantage touché à Korra qu'à Bayonetta, le fait que j'ai Korra dans mon lit le soir avant de dormir et Bayonetta non doit jouer.
Imprimer
Pages: [
1
]
En haut
« précédent
suivant »
Tags:
SaintSeiyaPedia
»
En dehors de Saint Seiya
»
Manga / anime
»
Blood+ Tutoriel : comment buter du Chiroptère en trois étapes faciles