Les âges sont abusé dans l'anime comme dans le manga, toujous est il que çà reste quand même des FAITS .
Bah, tu sais, le "fait" dans une fiction reste un élément de fiction, alors il ne marche que si c'est suffisamment bien écrit, mis en scène, etc pour avoir le phénomène de "suspension of disbelief". Sinon, ben, on rejette ce qui est mal fait, pas crédible, "fait" ou pas "fait" : ça reste une fiction, pas une réalité scientifique ^^Fuu-chan.
C'est des goutes de sueur sur le visage d'Ikki ? Il a peur d'être dans une voiture conduite par un enfant de 14 ans ?
Oui bah il est évident que les scénaristes de l'anime ont complètement zappé l'âge supposé des personnages - ça ne semble pas trop être le cas de Kuru néanmoins et même si les perso de Kuru font un peu trop vieux aussi, ils ont déjà plus un physique d'ado que dans l'anime.-Sergorn
Quand on regarde l'évolution des "fiches armures" des mangas on se rend quand même compte qu'ils perdent au fur et à mesure leurs physiques assez enfantins (notamment les Bronzes Five).
NOn non, ça ne marche pas comme ça.
Le suspension of disbelief c'est le terme jargonnant qui définit la frontière entre un élément crédible ou non, et par extension si le scénario est bien écrit, mais il ne donne jamais, en aucune façon, sous aucun prétexte, le droit au lecteur de changer un fait établi, écrit noir sur blanc, de façon incontestable. Le droit de trouver ça débile n'a absolument aucun lien avec le droit de changer l'histoire.
ALors je comprends que tout une pelletée de gourgandines et gourgandins aient vu leurs fantasmes humides ébranlés (hahaha) par cette assertion massue, mais le fait qu'au début de la série le physique ne corresponde pas n'annule pas le fait que par la suite, il a été très largement rectifié pour leur rendre leur âge supposé.
Ou alors effecivement, Aphrodite est une femme, en plus dans l'anime VF c'est une nana qui la double ("ah non mais c'est pas pareil" l'éternel argument vide).
Bref, le spectateur peut bien caqueter, sa perception rectifiée a autant de valeur qu'une fiente de goéland par rapport à celle de l'auteur lorsqu'il s'agit d'un fait.
Les auteurs aiment clamer que la première loi de l'écriture est que l'auteur est dieu (je suis la première à le faire, donc je peux me permettre de l'écrire). Cela n'empêche pas qu'une fois qu'ils publient, leur oeuvre ne leur appartient plus, et que chacun des lecteurs/spectateurs en fera quelque chose de différent. Parfois ça fait péter un fusible aux auteurs, mais ça ne change rien.