Auteur Sujet: Godzilla & King Kong  (Lu 4135 fois)

Hors ligne AZB

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Re : Re : Godzilla & King Kong
« Réponse #50 le: 19 avril 2021 à 13:40:10 »
avec son côté Jurassic Park

Euh oui non mais là, euh...

En fait ce film c'est ce que serait JP si c'était un gros nanar pourri  [:kred]
Hé, chuis ptet moche et rongé par la haine mais je... euh... c'était quoi la troisième chose? [:aie]

Hors ligne Kodeni

Re : Godzilla & King Kong
« Réponse #51 le: 19 avril 2021 à 14:56:06 »
Bah justement, ce Godzilla assume une partie de son côté nanard.
Pourquoi ne sommes nous pas immortels ? La menace qui plane sur le monde l'est bien elle !

Hors ligne Sergorn

Re : Godzilla & King Kong
« Réponse #52 le: 19 avril 2021 à 21:24:50 »
J'adore le Godzilla de Emmerich perso, plus que celui d'Edwards où il se passe rien pendant 1h40 :o

Oui c'est n'importe quoi, mais c'est génial :))

-Sergorn

Hors ligne Le Passant

Re : Godzilla & King Kong
« Réponse #53 le: 17 janvier 2024 à 22:35:45 »
Necropost puisque l'univers a maintenant une série live (sans parler de la série 3d sur Netflix).

J'ai fini cette première saison de Monarch. Je trouve que les 10 épisodes se tiennent très bien, il y a du rebondissement, des choses plus ou moins attendues mais ça s'enchaîne bien, les acteurs sont convaincants (sauf May je trouve, mais j'ai un problème avec ce type de perso dans tous les cas : il faut toujours le perso token qui cumule tout ce que je n'aime pas : rasta idéaliste latino Tony-Stark genius level), les persos sont rarement plats, même les persos secondaires évoluent, en bien ou en mal (en terme de moralité), énormément de références au Monsterverse mais sans être envahissantes. Ces dernières s'intègrent bien et se permettent le luxe de creuser un peu ce qui est parfois à peine évoqué dans les films. Aucune incohérence particulière (à part le pont de San Francisco que le film ne montrait pas détruit), en tout cas rien qui vienne poser des soucis de continuité à mon sens.

Y a de l'humain, y a du monstre, pas de blague toutes les 5 minutes, les effets spéciaux sont pas dégueu, on creuse l'univers...pour moi c'est à voir si on a apprécié l'univers présenté dans les films.

Hors ligne Wild Pegasus

Re : Godzilla & King Kong
« Réponse #54 le: 18 janvier 2024 à 05:30:50 »
Moi j'attends la sortie le 26 janvier de Godzilla Minus One Minus Color ici pour aller le voir une 3e fois mais cette fois en noir et blanc  [:disko]. Ca fait tellement bizarre de voir un bon film bien écrit pour changer qu'on en a presque perdu l'habitude ces temps-ci.  [:lol]
- Ne change pas cette signature jusqu'à ce qu'il soit révélé que c'est Tenma qui est dans le fauteuil roulant et non Seiya -

Hors ligne Kodeni

Re : Godzilla & King Kong
« Réponse #55 le: 31 janvier 2024 à 17:47:47 »
Godzilla Minus One

Une claque !
Je l’ai trouvé très très bon : très bonne écriture des personnages et de leurs traumas. L’époque choisie se prête à merveille à l’apparition du monstre.
La bande son est excellente, intense et immersive.
Le design choisi du monstre fait très Kaiju d’époque, voire cheap, mais c’est ce qui rend le film immersif avec l’époque où il se déroule.
Il n’y en a pas de trop, pourtant c’est époustouflant.
L’histoire est touchante.
Tout y est. Un grand « oui » !
Pourquoi ne sommes nous pas immortels ? La menace qui plane sur le monde l'est bien elle !

Hors ligne Nicodémüs

Re : Godzilla & King Kong
« Réponse #56 le: 31 janvier 2024 à 17:59:38 »
Vu hier et j'ai passé un très bon moment.

On est sur un style totalement différent de ce que les ricains font, à coup de grosses images de synthèse qui tachent, avec de la musique grandiloquente, des héros indécoiffables et de drapeaux gigantesque de la bannière étoilée. Là, on est à hauteur d'homme, ça prend son temps (au point qu'on en oublie presque que c'est un film Godzilla), les effets spéciaux sont simples, voire naïfs, mais le regard de la bestiole fixé sur la coquille de noix des héros fout les jetons ; y'a de longs silences, des personnages à échelle humaine et le peuple est davantage mis en avant que les politiques (qui se font égratigner au passage).

Après, on est sur un point de vue très japonais où l'honneur est très mis en avant et où on ressent d'autant plus le traumatisme qu'à été pour eux le fait de se prendre la bombe atomique sur le coin du crâne (et ça peut se comprendre).

Honnêtement, je ne regettre pas ma séance.

Normalement, le film n'était dispo au ciné que jusqu'à aujourd'hui mais, comme Skull Island, c'est vraiment le genre de film qu'il faut voir sur grand écran pour goûter tout le gigantisme du monstre.   
L'Epervier réussit là où les pirates !

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