Et une supérieure n'est pas un barbarisme.
(Quant à auteur, son féminin historique est autrice, avant que les jaloux des succès des femmes de l'Academie de l'époque ne décident de se venger en masculinisant tout
AZB !!
Le français ne dispose pas d'un suffixe unique permettant de féminiser automatiquement les substantifs. S'agissant des métiers, très peu de noms s'avèrent en réalité, du point de vue morphologique, rebelles à la féminisation quand elle paraît utile. Comme bien d'autres langues, le français peut par ailleurs, quand le sexe de la personne n'est pas plus à prendre en considération que ses autres particularités individuelles, faire appel au masculin à valeur générique, ou «non marquée».
Un auteur, une autiste, tout le monde sait cela
Certains noms sont transposables au féminin, d'autre non, c'est comme ça. On va pas modifier la langue française à chaque fois qu'un(e) féministe sait plus quoi faire pour s'occuper
Quouèstcheun : Marin, c'est : le maître/la maître/la maîtresse de Seiya ?
C'est sa soeur
Pourquoi dit-on "un amant/une maîtresse", au fait ?
Je dois tout à mon père avant qu'à ma maîtresse.
Ou alors à une maîtresse d'école si on parle d'un gamin de 7 ans.
Je soupçonne qu'à la base, ça doit dériver de la maîtresse de maison, qui était donc l'épouse du monsieur, sa bien-aimée, que ça a dérivé même quand on n'était pas marié.