C'est assez étonnant, vu que les administrations et institutions éducatives ont largement forcé le passage au français après 1945, en humiliant au passage ceux qui souhaitaient "au moins" continuer à apprendre les deux.Si elle est née en 1930, je me demande comment elle est passée au travers.
Et au final on se retrouve avec une situation assez ubuesque : elle a la nationalité française mais ne parle pas un traître mot de la langue française.
C'est assez étonnant, vu que les administrations et institutions éducatives ont largement forcé le passage au français après 1945, en humiliant au passage ceux qui souhaitaient "au moins" continuer à apprendre les deux.
Ce fut également le cas en Basse Bretagne. Mon arrière-grand-mère, Mémé, a été tellement humiliée pendant la guerre qu'elle n'a plus jamais sorti un mot de breton de sa vie. Heureusement, Mémé était de la ville et parlait aussi le français.
Oh de dieu, une française de souche non-francophone ! Welcome to the past ! (t'y feras la bise de notre part, la Foufoune)
Au passage, le 7 a disparu dans la nature