Vos plus grands chefs-d'oeuvre.

[Degadezzo]

Duel et les Dents de la Mer. ça vieillit comme le bon vin, tout repose sur l'humain qui doit se surpasser.

[Samantha Rosenwood]

Les films qui m'ont marqué sont:

-L'Histoire Sans Fin I et II.
-Dark Crystal.
-Star Wars.
-Antartica (l'histoire de Taro et Jiro).
-Bienvenue au Paradis.
-Robin Des Bois, Prince Des Voleurs.
-Le Choc Des Titans (le classique, pas le remake).
-Hachiko.
-Notre-Dame De Paris (avec Anthony Quinn et Gina Lollobrigida).

[Pulsion73]

Notre Dame, pas celui avec timsit ? 

[Exar Kun]

Antartica....Vangelis ... LE film que je ne peux voir sans pleurer à chaudes larmes.  Attention, pas l’œil mouillé, mais des larmes à n'en plus finir.

Et ce, depuis que j'ai 12 ans.

La musique - je fais référence à Conan le barbare cité ci-dessous que j'adore - est pour moi, dans certains films, un perso à part entière.

Hans Zimmer pour Inception, Interstellar, Dunkerque ...   

[Samantha Rosenwood]

Non, Pulsion73, pas celui de Timsit!

Oui, la musique de Vangelis sur Antartica est superbe! Et vous reste dans la tête des années entières...surtout celle-là!

[Pulsion73]

Et pourquoi au fait Notre Dame....? ( ça me fait penser que j'aurais bien vu Ron Perlman, en bossu du Nom de la Rose, interpréter ce rôle).
Des acteurs que tu apprécies particulièrement par exemple ?

[Samantha Rosenwood]

Oui, Pulsion73.

Comme le regretté Alan Rickman, le merveilleux Severus Snape d'Harry Potter, le touchant patron dans Love Actually, et impressionnant shérif de Nottingham, dans Robin Des Bois, Prince Des Voleurs. David Thewlis, qui jouait Remus, et Gary Oldman qui était Sirius. Sans oublier Jason Isaacs, qui jouait Lucius. Ensuite, vient Leonardo DiCaprio, avec toute sa palette de rôles très variés, qui m'a amené plus d'une fois à réfléchir sur la nature humaine...enfin, Mark Hamill, Harrison Ford, Billy Dee Williams, Peter Mayhew, Kenny Baker, Anthony Daniels, Warwick Davis et Kevin Costner.

Mention spéciale pour une actrice que j'apprécie plus que tout, pour sa palette de rôles tous aussi déjantés ou sérieux les uns que les autres: Helena Bonham Carter, qui jouait Bellatrix, dite "Bella".

[sharivan]

Je rajoute un film à ma liste, qui est déjà très longue, le Robocop de Paul Verhoeven est une œuvre qui m'aura vraiment marqué par sa violence quand j'étais gamin, je l'avais vu à 8 ans mais où étaient mes parents ?
Lorsque j'étais enfant, je le voyais comme un chouette film de science-fiction avec les scènes d'explosion et d'action qui émaillent le long métrage. Puis, à l'âge adulte, on se rend compte qu'il faut le prendre au second degré quand on voit le malin plaisir que prend le réalisateur à critiquer ouvertement la société de consommation et ses dérives, ainsi que le capitalisme américain. En tournant à la dérision ce qu'il dénonce, Verhoeven en livre une critique diablement efficace.
On ajoute les compositions exceptionnelles de Basil Poledouris, le casting parfait, Peter Weller (très grand acteur), Nancy Allen, Miguel Ferrer et Ronny Cox (dans des rôles de composition en interprétant de vraies pourritures) et Kurtwood Smith (vraiment effroyable dans ce rôle de psychopathe et tueur de flics).
Dommage que les suites ne furent pas du même acabit. Finalement, le remake de 2014 fut une bonne surprise, c'est clairement le meilleur opus après celui de Verhoeven.

[Pulsion73]

Robocop de 1987 ! Le top, une référence. Une ambiance cruelle, crasse, violente.
Et tu avais 8 ans ?!!! Et ben alors ? 
Je devais avoir 13-14 ans. Je l'avais vu seul en salle. Quel souvenir.

[Kuwa]

Je crois que je devais avoir plus ou moins le même age que sharivan lorsque j'ai vu les deux premiers.
La scène du début lorsque Clarence Bodiker "tue" Murphy en lui explosant le bras... A jamais gravé dans ma mémoire. J'étais très mal à l'aise devant cette scène et en était effrayé.
Ce n'est qu'en voyant vos messages que je comprends le pourquoi, n'ayant plus jamais pensé à cela. Mon âge n'était pas en parfaite adéquation avec le film.
J'ai du le revoir 1 seul fois depuis vingt ans. Ca me donne envie d'y rejeter un oeil.

[Pulsion73]

J'avais trouvé l'acteur tellement touchant à ce moment-là. On souffrait pour lui.
Une scène mémorable en effet.

[Samantha Rosenwood]

Je rajoute deux autres œuvres, mais du Pays du soleil Levant, cette fois-ci:

-Rêves, visionné en fin d'année de troisième. Je me souviens tout particulièrement de l'histoire référant à la Yuki-Onna, la femme des neiges. Ce n'est que des années plus tard, en lisant l'histoire racontée par Lafcadio Hearn, que j'ai fait le lien avec ce que j'avais vu.
-Battle Royale, que j'ai regardé un soir, alors que je veillais sur ma grand-mère. Au début, j'avais appréhendé un peu ce que j'allais voir, et en fin de compte, je suis rapidement entrée dans l'histoire et ai accrochée. Maintenant, j'ai très envie de lire le livre dont il est tiré.

[The Endoktrinator]

Tu as vu d'autres films de ces deux réalisateurs (Akira Kurosawa pour Rêves et Kinji Fukasaku pour Battle Royale) ?

[Samantha Rosenwood]

Non, ce sont les deux seuls que j'ai vus, The Endoktrinator.

[The Endoktrinator]

A voir par rapport à Rêves:

Rhapsodies en août (1991).

DoDes 'KaDen (1970).

Dersou Ouzala (1976).

Pour aller plus loin :

Le Château de l'Araignée (1957), Vivre dans la Peur (1955), Les Salauds Dorment en Paix (1960), Yojimbo (1961), L'Idiot (1951), Les Sept Samouraïs (1954) et éventuellement Ran (1985).

Chez Fukasaku :

Combat sans Code d'Honneur (1973).

Le Cimetière de la Morale (1975).

[Pulsion73]

Dommage, je ne connais aucun des films que tu cites. Lequel me conseillerais-tu vraiment ?

Très bons films, de Jacques Tati : Jour de Fête (1949) et Les Vacances de Mr Hulot (1953) , sans oublier dans une moindre mesure Mon Oncle (1958). J'adore ces 3 films. Sont-ce pour autant des chefs d'oeuvre, à leur manière je dirais oui. 

Le Président ( 1961) de Henri Verneuil avec Jean Gabin, chef d'oeuvre !

[The Endoktrinator]

DodesKaDen et Dersu Ouzala surtout.

Le premier a fait un four bien sale au point de pousser Kurosawa au suicide (raté) et d'accepter un co-financement soviétique pour le film suivant (Dersu Ouzala). Un machin par moments indescriptible.

Sinon, tu as vu aussi Playtime et Traffic ?

[Mysthe]

C’est chiant à en mourir Dodes’kaden, et pourtant j’aime facilement le cinéma japonais classique.

[AZB]

le Robocop de Paul Verhoeven est une œuvre qui m'aura vraiment marqué par sa violence quand j'étais gamin, je l'avais vu à 8 ans mais où étaient mes parents ?

En fait je crois que c'est surtout le niveau de tolérance par rapport à ce qui est montrable à un jeune public qui a grave baissé en une trentaine d'années 

Parce qu'à l'époque, c'était tout à fait normal de regarder des films d'action comme Robocop, Terminator, Total Recall, Aliens, etc. en étant gosse, et ce malgré leur niveau de violence élevé et la présence de scènes assez gores voire possiblement dérangeantes. Le remake de Robocop en est d'ailleurs l'illustration parfaite: c'est un bon film, mais niveau violence, c'est très aseptisé par rapport à l'original, ça manque de scènes choc du genre Murphy qui se fait exploser la main, le type transformé en passoire par un robot qui bugge ou l'autre qui fond après s'être pris des litres de produits toxiques dans la tronche...

[Pulsion73]

DodesKaDen et Dersu Ouzala surtout.

Le premier a fait un four bien sale au point de pousser Kurosawa au suicide (raté) et d'accepter un co-financement soviétique pour le film suivant (Dersu Ouzala). Un machin par moments indescriptible.

Sinon, tu as vu aussi Playtime et Traffic ?

Oui mais je n'ai pas eu autant de plaisir à les regarder et malgré une critique de la société aux petits oignons sur le plan visuel puisque chez Jacques Tati tout est dans le mime à la base,  le discours de l'image. Pas aussi réussis que les trois 1er ainsi que le court métrage sur le facteur François " L'école des facteurs" qui donnera lieu ensuite au film Jour de Fête.
J'y trouvais une simplicité et une fraîcheur, une innocence,  même dans mon Oncle, qui rendaient ces films très efficaces. Ils vous entraînent dans des moments savoureux faits de ces tout petit rien. Tati avait un sens de l'observation et du sens comique assez incroyable.

[Samantha Rosenwood]

Merci pour tes suggestions, The Endoktrinator. J'ai entendu parler de la plupart.

Je me suis souvenue d'un film vu à bord de l'avion, alors en route pour le Japon. Il s'appelle Maiko Han!, mais je ne connais pas le nom du réalisateur. C'est une comédie racontant l'obsession d'un salaryman pour les jeunes apprenties Geishas, suite à une visite dans une okiya avec son patron, après l'avoir supplié de l'emmener. Malgré la barrière de la langue, j'ai beaucoup ri, grâce au jeu exagéré de celui jouant le salaryman. Je me souviens très bien de la fin, où ce dernier apparaît...habillé en Maiko!

Il y a un autre film auquel j'avais donné un coup d'essai, s'inspirant d'une légende japonaise, avant de décrocher et de regarder Maiko Han! à la place. C'est The Three Cyrcles. Quand j'en avais parlé avec ma meilleure amie japonaise à l'époque, elle avait très bien comprit pourquoi j'avais déclaré forfait avec ce dernier, à cause de sa noirceur, et m'avoir avoué ne pas trop l'aimer non plus...

[Samantha Rosenwood]

Après le Japon, il y a une autre approche cinématographique que j'aime beaucoup: celle du cinéma indien. Le premier film bollywoodien que j'ai regardé, c'était lors de mon premier voyage à Singapour. Il y a avait l'actrice Tabu et un acteur indien que je ne connaissais pas, qui jouaient à "Je t'aime, moi non plus". L'histoire était touchante et drôle, entrecoupée de chants et danses, calqués sur les émotions du moment. J'en ai vus d'autres lors de mes deux autres voyages à Singapour, mais je me souviens surtout de celui-là.

Plus tôt, ma mère m'avait offert le livre tiré du film "Hanuman", que j'ai adoré aussi. Et encore plus tard, le DVD du film "Coup de foudre à Bollywood". Elle avait bien compris que Bollywood ne me posait aucun problème, puisque de la famille, je suis la seule à regarder ça sans me lasser!

Je me suis rendue compte que j'avais oublié de mentionner le film "Mémoires d'une Geisha", adaptation d'un livre que j'ai beaucoup aimé. Malgré les modifications, je l'aime autant que le livre.

[Pulsion73]

Je me souviens surtout d'une grosse production indienne, le film Devdas (2002, plus de 3h ouch  ) avec la superbe Aishara...flûte...Aishawaria Rai, j'y arrive. Ce n'était pas mon genre de films mais j'avais beaucoup apprécié malgré la durée du film et le jeu un peu trop appuyé de certains acteurs, le 1er rôle masculin en tête, acteur très célèbre là bas. Froncement des sourcils, souffrance intérieure et j'en passe.  . Je n'avais d'yeux que pour cette beauté indienne et ancienne Miss Monde. 

[Samantha Rosenwood]

Cette beauté indienne est aujourd'hui une maman et mariée! C'est elle qui joue également dans "Coup de foudre à Bollywood". C'est vrai, le jeu de certains acteurs peut-être un peu trop appuyé, mais c'est ce qui plait là-bas! Entre Tabu et Aishawaria Rai, c'est la seconde que je préfère. J'avais entendu parlé de "Dedvas", mais pas accrochée à l'époque. Sans doute encore marquée par mon premier film bollywoodien...

[Ras-Al-Ghul]

Devdas c etait top !
Vu au cinéma, acheté le dvd et l ost