A titre personnel, je trouve qu'au contraire ils sont nullement radicales dans leur conception dans le sens où dans le projet qu'ils suivent il y aura des élus. C'est pourquoi j'y vois des personnages grandement modérés.
J'ai toujours eu du mal à comprendre pourquoi les fans idolâtraient un lâche et un traitre de sa trempe....Et que leur Dieu soit manipulé ou non, au moment où celui-ci se réveille leur but premier est de préserver ses intérêts et son projet, chose que Sorrento n'a absolument pas fait.
Moi c'est plutôt le côté "meute" qui me fait tiquer dans cette scène....On pourrait remplacer Io, Krishna, Bian et Isaak pas un seul et même personnage, ça fonctionnerait toujours.
C'est être "grandement modéré" de ne vouloir faire périr par noyade que 99.9% de l'humanité ? Ah oui, quand même, je ne veux pas savoir ce que tu considères être un extrémiste
Comme le dit megrez, difficile de le considérer comme un traître alors que toute la bataille repose sur les mensonges de Kanon et n'est pas la volonté de Poséidon. Certes, Poséidon continue le combat quand il se réveille, mais à ce moment-là les bronzes sont en train de s'attaquer directement à lui et de détruire son domaine, ce qui semble donc confirmer les mensonges de Kanon sur les intentions belliqueuses d'Athéna...Sorrento contribue à arrêter un conflit que son maître ne désirait pas à la base et à ramener la situation à ce qu'elle aurait été sans Kanon : Poséidon enfermé dans une urne, dont il peut en fait s'échapper quand il le souhaite. Et d'ailleurs, à froid, Poséidon ne semble pas lui en tenir rigueur par la suite, ni vraiment à Athéna puisqu'il l'aide directement.
Je commences un peu à comprendre megrez alberich et aller dans son sens. Cette scène est malvenue. Ou alors elle arrive un peu tôt. On commence à s'attacher à des personnages, et vous foutez tout en l'air par un procès en pleine bataille. Surtout un personnage dont on sait qu'il va échouer (déjà parce que c'est un shônen, et ensuite parce que je doutes fort que ça se passe après Hadès sauf absence d'unité de temps).
Ces personnages (ou plutôt ce personnage vu qu'effectivement ils n'ont pas de personnalité) sont du mauvais côté de la barrière, on ne peut pas s'y attacher lorsque leurs paroles donnent envie de s'arracher les cheveux. Et puis la comparaison avec les insectes... non, non et NON !!!
maîtres pour lesquels il ne semble n'avoir en rien perdu son respect.
il a clairement changé de camp, car ni il ne raisonne son Dieu, ni n'agit dans son intérêt.
Je pars du principe que l'on a un affrontement idéologique
Euh si. Sixième page du premier chapitre, il leur a tout raconté.
Ouais, comme Dieu et sa grosse pelle avec la fourmilière, quoi Comme je l'ai dit, ce n'est pas tant qu'ils aient une idéologie que je trouve abjecte et à laquelle je n'adhère pas (bon sang, j'adore des types comme Deathmask, Aphrodite ou Alberich), c'est qu'ils se résument à ça et à rien d'autre. Aucune nuance, aucune qualité qui rachèterait leurs défauts.... Ça et le fait qu'ils n'aient aucune personnalité propre, ce qui fait qu'on a l'impression d'être devant un bloc de 4 gus totalement interchangeables.Si ça passe crème et suffit largement pour des antagonistes, ça coince nettement plus quand il s'agit d'en faire des protagonistes, je trouve.
Le temple du Zénith, gardé par un redoutable adversaire : Dorothée ! D's©