J'ai beaucoup aimé l'aspect "shônen" de son récit quand il décrit l'état de fatigue des byzantins et les colères de Mehmet II. Niveau cartes, c'est propre et d'une grande lisibilité.
Allez, un mini-bémol parce l'univers parfait n'existe pas : je ne suis pas fan de ses vues en gros plan de son visage, ça coupait un peu mon attention sur ce qu'il disait.
D's©