Mignon comme tout, mais pourquoi ce ne sont les Saints d'or dessus ? Après tout ce sont les personnages principaux de son histoire, non ?
Tu as quand même plusieurs flèches et la Cloth du Taureau
Est-ce qu'une personne connaissant le japonais pourrait préciser la traduction Google Trad ?https://twitter.com/cmk_k/status/1352073778881204225"Chaque mois, je lutte contre le nombre de pages restantes, mais je dessine une scène qui laissera une impression durable sur les fans de Seiya ...!"Dans le sens où elle cherche à condenser l'histoire avant la fin programmée ou bien parce que tenir les délais de rendu est tendu ?
Ou du Boeuf. Je suis pas fort avec les signes chinois. Mais c'est évident vu que c'est Xiaoling (... et son bonnet nounours) qui tient le drapeau.
J'ai pas compris.
Quelqu'un a mis en avant que Okada avait "inventé/popularisé" le faites de mettre les texte/mots sans bulles dans ses œuvres pour marquer un point important (tel les attaques).A quoi, il a répondu,Quand il était jeune, il est partit dans une école pro, qui ne possédant pas de département manga s'est dirigé vers celui de l'animation.Et il s'est retrouvé à étudier (et réaliser) des scènes dont celles des "réutilisation d'image" pour marquer le spectateur sur quelques chose d'important à l'œuvre (scène de portage armure ou de technique dans Saint Seiya pour l'exemple).Et donc, il a cherché a reproduire ce phénomène dans un manga, sachant qu'il était conscient qu'il ne pourrait faire comme dans un animé; reproduire le même dessin pour chaque chapitre.Et c'est comme ça, qu'il lui est venu l'idée, entre autre, de produire ses "moments forts" en insérant le texte dans ses planches, sans y mettre de bulles.
Dans les mangas, action rime souvent avec combat, notamment chez Megumu Okada. Les affrontements occupent une place centrale dans ses œuvres ; nombre d'entre eux s'étalent ainsi sur des dizaines voire des centaines de pages ! En tant que véritable passionné d'arts martiaux[1], il n'a pas son pareil pour mettre en scène des duels grandioses. Pour ce faire, il n'hésite pas à multiplier les cases, pour décomposer méthodiquement les mouvements de ses personnages, ainsi que les doubles-pages, pour souligner la puissance des coups et/ou des propos échangés. Ce faisant, ses planches s'apparentent à des storyboards de cinéma. À cela s'ajoute le fait que Megumu Okada écrase constamment ses planches de caractères énormes afin de les rendre plus percutantes. Cette technique, dont il passe pour l'inventeur[2], a fait par la suite des émules dans le monde du manga. Interrogé à ce sujet, il déclare avoir été influencé par la publicité et par... Masami Kurumada !
Faut dire que Kuori lui fait pas mal de concurrence !