Chiya Minakami décède à l'âge de 92 ans d'une insuffisance cardiaque après avoir passé sa vie à faire le bien autour d'elle. Lorsqu'elle se retrouve devant Enma, sorte de Saint Pierre du bouddhisme qui choisit les âmes dignes de se rendre au Paradis, tout semble joué d'avance : une sainte pareille a manifestement mérité de se reposer parmi les anges... Pourtant, contre toute attente, Dieu, par le biais d'un e-mail laconique, émet un avis négatif : il s'avère qu'ayant trop donné d'amour, Chiya n'en a pas assez reçu. Comprenez qu'elle est... toujours vierge ! Loin des préceptes catholiques prônant la chasteté, le tribunal divin condamne alors l'ancien médecin à expier sa "faute" dans l'enfer du plaisir, le Chichon Manchi. La voilà donc projetée vers une terre étrangère, avec le corps de ses vingt ans, sommée de connaître enfin les joies du sexe. Et ce, sous toutes ses formes...
Par rapport à Otaku girls, ça vaut quoi ? Cette série me fait également penser à Otomen (Delcourt) où l'on suit l'histoire d'un jeune homme BG accroc aux shôjo.18.
Je ne sais pas si le manga dont je vais parler est du genre "underground" mais, en tout cas, il ne semble pas avoir été le sujet d'une publicité démentielle. Donc, il s'agit de Jackals de Shinya Murata (scénario) et Byung Jin Kim (dessin).
Sicile, 241 avant J.-C. Après deux décennies de conflit avec Rome, l’armée carthaginoise menée par Hamilcar Barca doit déposer les armes. Son fils, Hannibal, a six ans quand il assiste à cette bataille. Mise en déroute, Carthage doit un tribut astronomique au vainqueur, et l’enfant est témoin, impuissant, de l’humiliation des siens.Mais le jeune Hannibal refuse l’échec : élevé dans la haine de Rome, il va vouer son existence entière à la destruction de l’ennemi. Commence alors l’affrontement exceptionnel d’un des plus grands tacticiens de tous les temps et de son alter ego romain, le génie militaire Scipion l’Africain. Traversée des Alpes à dos d’éléphant, pillages impitoyables et combats parmi les plus sanglants de mémoire d’homme : un duel à mort qui a marqué l’Histoire…
Komikku, c'est pas un magasin ? ^^'
Komikku c’est avant tout une petite librairie qui déborde d’idées et d’énergie.Implanter komikku, dans le quartier japonais parisien, un quartier d’affaires et culturel symbolise bien l’évolution du public et de l’offre manga, devenues plus mâtures. Un lieu sobre, soigné, et une formule qui séduit puisque komikku ne cesse de multiplier les événements, les rencontres, les expositions, avec le soutien des plus grands éditeurs… et anime chaque jour un blog, des pages facebook et twitter.Qualifié de «Libraire de Deuxième Génération» dans «Livres Hebdo» N°826 (Juin 2010), magazine lu par tous les professionnels de l’industrie du livre en France, Sam SOUIBGUI, (votre Sam-san) décide de confier la direction de la librairie, à sa petite sœur Sonia (So-chan), libraire de formation, et devient le directeur éditorial de komikku éditions.Le marché, en France, est arrivé à maturité. Il devient difficile de faire progresser et évoluer le lectorat. Trop de titres sortent sans appui promotionnel.Komikku éditions ne souhaite pas contribuer à la saturation du marché, ce qui le fragiliserait, mais plutôt élargir celui-ci et le redynamiser.La ligne éditorial de komikku éditions est claire : la diversification autour du Japon.Komikku éditions proposera surtout manga pur bien sur, mais il y aura aussi de la jeunesse, de la cuisine, des carnets de voyage…« Je prévois de gros efforts en termes de marketing et de communication pour chaque titre, car le secteur a besoin de nouveaux acteurs dynamiques », confie le jeune directeur éditorial à Anne-Laure Walter dans le Livres Hebdo n°915 du 22 juin 2012.C’est pourquoi komikku éditions souhaite s’engager sur un travail éditorial impeccable, des adaptations intelligentes et des ouvrages de qualités. Le tout en harmonie parfaite avec le travail des auteurs et des éditeurs japonais. La nouvelle maison d’édition souhaite bâtir toute sa réputation sur des ouvrages de qualité et sur une politique et une ligne éditoriale claire, variée et assumée.
Akira était dans la réserve du gymnase lorsque le séisme le plus violent qu’il ait jamais vécu survint. Il ne se réveilla que plusieurs heures après, avec quelques contusions. Mais alors qu’il sortait rejoindre son meilleur ami Eiji, il vit une chose qui lui glaça les sangs. Durant ces quelques heures, le monde avait changé et était désormais peuplé de monstres gigantesques...Désormais, son avenir se résumait à un seul mot : SURVIVRE !
Daikichi, trente ans, célibataire, n’est pas ce qu’on peut appeler un don juan. Pas très à l'aise avec les femmes, encore moins avec les enfants, cet homme on ne peut plus ordinaire va, du jour au lendemain, décider de devenir le tuteur légal de la fille cachée de... son grand-père ! Mais comment élever une jeune enfant quand on a déjà du mal à s’assumer soi-même ?
J'ai fait un tour hier dans les Gibert. 8 euros le volume de Doro, même abimé