- la grosse brute imbattable, qui se révèle être un vilain avec un sale plan (tu veux créer un monde "pur", non corrompu, mais tu dégommes des statuts de manière totalement random, sans savoir s'ils étaient bons ou evil... t'es pas un peu con-con, en fait ? tout ça pour montrer au spectateur que -oh boubou- t'es vraiment krokro méchant)
Kanata no Astra a été très surprenant dans son dernier épisode et me fait encore plus aimer le personnage de Luca. Plus on avance et plus l'intrigue sur le traitre devient obscur tellement personne ne semble suspect. Le voyage est agréable et je le continue volontiers.
J'ai commencé par curiosité l'animé de la "honte": Tsuujou Kougeki ga Zentai Kougeki de Ni-kai Kougeki no Okaa-san wa Suki desu ka? (atchoum).... et autant, j'aimais bien le pitch et le gag de situation de base (la maman cruche et trop collante qui devient une guerrière OP à l'inverse de son fils qui est forcé de resté dépendant d'elle), en plus d'un ton volontairement parodique d'isekai, mais... je trouve que les gags volent pas si haut que ça pour le moment, en plus des gags "ecchi" autour de la mère dont on aurait pu s'en passer tellement qu'ils sont usés.Le scénario semble se résumer à une série de sketch autour d'une nouvelle thématique/exemple d'une relation enfant/mère, après la structure me dérange pas. Comme KonoSuba, on est dans une comédie qui se moque des codes du genre sans chercher à faire du "worldbulding" autour, mais KonoSuba reste au-dessus en terme de scénar et de gags.Bref... ... ça peut plaire aux coquins fan des archétypes "MILF ara ara"...
Oh vous savez, moi, tant que ça reste en famille.