faudrait une limite légale à ce qu'on peut considérer assez grave pour porter plainte
Les flics ont déjà suffisamment de vraies plaintes pour violences conjugales ou sur enfants pour avoir du temps à perdre avec ce genre de conneries.
Non mais je comprends ce que veut dire Bouloche : qui va décider des limites ? On ne pourra pas réglementer tout, et ce qui te paraît absurde peut paraître légitime à un autre, ce qui te paraît légitime, peut paraître absurde à un autre, etc...
Tandis que "mais oui, Madame, je le note, le papa a attenté à l'intégrité de vos enfants à coup de brocolis. Je vous remercie pour cette dénonciation, et vous souhaite une bonne fin de journée" doit être plus rapide que de raisonner avec une folle.
Non. Non. NON.http://www.medias-presse.info/lordonnance-est-passee-en-france-desormais-une-banque-pour-se-renflouer-pourra-ponctionner-les-comptes-de-ses-clients/42401
@ Rincevent : ça m'intéresse ça De quoi donc ?
PS : y en a un qui a réussi à avoir mon numéro et qui voulait porter plainte contre mc do parce que le wrap chèvre avait disparu du menu
Je le savais que la canicule coupait la libido !
Non. Non. NON.
Le texte de la directive "BRRD" qui permet prétendument aux banques de prélever sur "nos comptes" de quoi se renflouer en cas de faillite.J'ai rapidement jeté un œil, je ne vois rien de tel.De plus, tous les sites (globalement conspi) qui en parlent ne donnent à AUCUN moment la référence du texte, l'article concerné ou même une citation, ce qui faciliterait le travail.Je lirai donc ça un peu mieux plus tard, mais globalement, étant donnés tous ces éléments, j'ai envie de dire que pour l'instant, le "BRRD qui va nous piquer nos sous sans rien nous demander", c'est globalement du flan. J'ai surtout l'impression de lire le contraire, par exemple dans la considération 31 :"Les plans de redressement et de résolution ne devraient tabler sur aucun soutien financier public exceptionnel, niexposer les contribuables à un risque de perte."Petite considération sympa, la 35 :"Les plans de redressement et de résolution devraient comporter des procédures visant à informer et à consulter, lecas échéant, les représentants des travailleurs à toutes les étapes des processus de redressement et de résolution. Lecas échéant, il y a lieu de respecter, à cet égard, les conventions collectives, ou les autres accords prévus par lespartenaires sociaux, ainsi que le droit national et le droit de l’Union concernant la participation des organisationssyndicales et des représentants des travailleurs aux processus de restructuration de l’entreprise."La considération 45, qui fait un peu voler en éclat ce mythe :"Les objectifs de la résolution devraient donc être de garantir la continuité des fonctions critiques, d’éviter les effets négatifs sérieux sur la stabilité financière, de protéger les ressources de l’État par une réduction maximale du recours des établissements défaillants aux soutiens financiers publics exceptionnels et de protéger les déposants couverts, les investisseurs ainsi que les fonds et actifs des clients"La 55 enfonce le clou :"Sauf disposition expresse de la présente directive, les instruments de résolution devraient être mis en œuvre avanttoute injection de fonds publics ou soutien public équivalent de nature exceptionnelle à un établissement. Ceci nedevrait cependant pas empêcher l’utilisation de fonds provenant des systèmes de garantie des dépôts ou des fondsde résolution dans le but d’absorber les pertes qu’auraient sinon subies les déposants couverts ou les créanciersexclus à titre discrétionnaire"Et la 70 termine le boulot en disant exactement l'inverse de ce que prétendent les conspirationnistes (et leurs alliés dont-il-ne-faut-pas-dire-le-nom) :"Il n’est pas approprié d’appliquer l’instrument de renflouement interne aux créances qui sont sécurisées, couvertesou garanties de toute autre façon. Pour que cet instrument soit efficace et atteigne ses objectifs, il est néanmoinssouhaitable qu’il puisse être appliqué à un éventail aussi large que possible d’engagements non garantis del’établissement défaillant. Il convient toutefois d’exclure de son champ d’application certains types d’engagementsnon garantis."(et je ne vous copie/colle pas la 71 qui insiste encore sur ce point)Donc en gros, si vous avez un fond garanti, vous ne risquez rien. Si vous prenez des risques sur des fonds non-garantis, vous risquez, mais vous avez signé pour ça.Ça mériterait d'être approfondi et lu plus sérieusement, avec la démarche de debunk qui va bien. Mais une première lecture très rapide indique (et je vous donne les éléments hein, je ne fais pas que dire des trucs sans citer la moindre source) que la BRRD ne permet pas de prendre notre argent sans rien dire ni demander. Au contraire, elle renforce la nécessité de protection des fonds couverts.
pourquoi continuer à se méfier des homos quand on prétend voir les cesser de les discriminer ?