il est quand même puissant mentalement.
Question : quel était l'état de la russie niveau financier, force politique, avant l'arrivée de poutine comparé à maintenant ? Mieux ou moins bien ?
La CPS a officiellement obtenu le statut d’observateur permanent la nuit dernière, suite à l’adoption d’une résolution de l’Assemblée générale des Nations Unies, à New York.
Tant qu'on les emmerde pas ou qu'on ne s'approche pas trop de ce qu'ils considèrent encore comme leurs colonies, il me semble qu'ils restent globalement courtois, ça ça ne change pas. Militairement ils ont encore les moyens d'intervenir dans ce proche-étranger, comme les Géorgiens et les Ukrainiens l'ont découvert, mais de ce que j'ai pu en lire ça reste une armée de conscrits : matos un peu vétuste qu'ils modernisent, manque de discipline (surtout ceux qui ont stationné dans le Caucase où l'impunité règne). Financièrement, les hydrocarbures les ont enrichis considérablement, mais ils partaient d'assez loin, surtout après les années Eltsine. Politiquement, Vlad a tout repris en main et muselé tout ce qui pouvait lui tenir tête (y compris Medvedev, son premier ministre) en s'appuyant sur les réseaux tissés quand il était encore au KGB, et à ce que me disait une collègue russe, il est vraiment très populaire.
Je ne vois pas en quoi c'est un problème de ne pas mettre de crèche dans une mairie. Religion et politique doivent rester chacun de leur côté, point barre. Ou alors, on affiche la photo du Président de la République dans les églises, et pourquoi pas les Tables de la Loi dans certains palais de justice, comme aux USA si on va par là.Bref, chacun chez soi et les vaches seront bien gardées.
Dans ce cas la autant être logique, il faut aussi supprimer les jours fériés relatifs aux faits religieux (15 aout par exemple). Interdire la galette des rois dans les écoles (arrivées des rois mages a ladite crèche), et tout autre mentions de religions dans la société civile. Ce que je trouve dommage (je suis agnostique a titre personnel, je crois que j'ai lu plus de sourates du coran que de verset de de la bible et je m'inspire plus de philosophie bouddhique qu'autre chose), c'est que la crèche, la galette et tout le folklore qui va avec fait partie a mon sens d'un ensemble de tradition qui ne fait de mal a personne. A Paris la mairie organise des festivité pour la rupture du jeûne du Ramadan, pourtant je n'ai vu personne demander au tribunal de l'interdire (Mais je ne doute que ca viendra)Personnellement les "Laiques" me font tout aussi peur que les "fervent religieux". Les second veulent que la religion soient au centre de tout, alors que les premières veulent nier purement et simplement qu'une vaste partie de la culture Français a été construite sur la base de traditions chrétiennes.Mais bon, on es plus a un intégrisme près.
Sinon, on peut aussi mettre dans les mairies une hanoukkiah pour Hanoucca, juste pour le folklore. Et puis ils sont jolis, ces chandeliers, après tout. Mais allez savoir pourquoi, je pense que ça passerait beaucoup moins bien qu'une crèche....
La période des "fêtes" de fin d'année me foutait déjà le cafard comme ça depuis longtemps, maintenant avec toutes ces polémiques grotesques, je vais vraiment finir par détester...
Article 1La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-après dans l'intérêt de l'ordre public.Article 2La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte. En conséquence, à partir du 1er janvier qui suivra la promulgation de la présente loi, seront supprimées des budgets de l'Etat, des départements et des communes, toutes dépenses relatives à l'exercice des cultes.Pourront toutefois être inscrites auxdits budgets les dépenses relatives à des services d'aumônerie et destinées à assurer le libre exercice des cultes dans les établissements publics tels que lycées, collèges, écoles, hospices, asiles et prisons.
Article 28Il est interdit, à l'avenir, d'élever ou d'apposer aucun signe ou emblème religieux sur les monuments publics ou en quelque emplacement public que ce soit, à l'exception des édifices servant au culte, des terrains de sépulture dans les cimetières, des monuments funéraires, ainsi que des musées ou expositions.