Je survole les news, et je dois bien dire que je trouve ca tres indecent de les voir tout sourire se feliciter d'eux meme et pavoiser alors qu'ils feraient mieux de faire preuve d'humilite et de se remettre un peu en question, car en realite ca a surtout ete "oulala, on a eu chaud aux fesses".
(et le non vote aussi parce que l’abstention, ca devrait être aussi compté comme une "expression" ).
Totalitaire totalitaire... autoritaire si tu veux mais que ce soit pour le FN, le PS ou LR, je trouve le mot inapproprié. Aussi "facho" puis-je considérer le FN, je ne sais pas s'il aura ce qu'il faut pour mettre en place un totalitarisme en France... Et même en l'état actuel avec l'état d'urgence, je peux crier au sécuritaire forcené, sans résoudre les problèmes de fond (Arabie Saoudite, Qatar, Syrie...), mais de là à dire que c'est du totalitaire... http://www.cnrtl.fr/lexicographie/totalitaire
Quand au vote blanc, la bonne blague, les bulletins blancs ça part directos in ze poub'
Mais, pour moi, voter "blanc", c'est donner son avis ; s'abstenir, c'est dire "je m'en fous, faites comme vous voulez".
Oh, dans leurs allocutions de 3/4 minutes, les "vainqueurs" ont quand même reconnu que l'heure était grave, et qu'ils allaient en tirer les conclusions qui s'imposent.
Je survole les news, et je dois bien dire que je trouve ca tres indecent de les voir tout sourire se feliciter d'eux meme et pavoiser alors qu'ils feraient mieux de faire preuve d'humilite et de se remettre un peu en question, car en realite ca a surtout ete "oulala, on a eu chaud aux fesses".Ca me laisse des sentiments partages, car d'une part l'idee du FN n'etait guere enchantante, mais ce n'est pas non plus satisfaisant de voir les gagnants passer sur des votes "contre" plutot que sur des votes "pour" (avec toutes les tactiques d'alliances et diabolisation qui vont avec). Je pense aussi qu'il faudrait que le vote blanc ait le droit d'avoir un veritable poids, avec possibilite de forcer une nouvelle tournee, peut etre avec d'autres candidats, si c'etait majoritaire (vote blanc avec cette intention, pas abstention, car si des gens sont apolitiques/pas interesse, pourquoi pas, mais ca fait une masse qui risquerait de tout paralyser sans pour autant etre susceptible de choisir ulterieurement quelqu'un d'autre). Mais bon ca c'est utopique, le vote blanc ne sera jamais reconnu.
Aby-bifoc dépité
Dépité européen ?
L'heure est grave, c'est un séisme politique d'une ampleur exceptionnelle (législatives 1997)L'heure est grave, c'est un séisme politique d'une ampleur exceptionnelle (présidentielles 2002)L'heure est grave, c'est un séisme politique d'une ampleur exceptionnelle (référendum 2005)L'heure est grave, c'est un séisme politique d'une ampleur exceptionnelle (européennes 2014)L'heure est grave, c'est un séisme politique d'une ampleur exceptionnelle (départementales 2015)L'heure est grave, c'est un séisme politique d'une ampleur exceptionnelle (régionales 2015)D's©
Oh, dans leurs allocutions de 3/4 minutes, les "vainqueurs" ont quand même reconnu que l'heure était grave, et qu'ils allaient en tirer les conclusions qui s'imposent.La routine, quoi
Aussi "facho" puis-je considérer le FN, je ne sais pas s'il aura ce qu'il faut pour mettre en place un totalitarisme en France...
"Si vous choisissez de vous taire en refusant de voter, ou de rester muet en votant blanc, ne vous étonnez pas a posteriori de ne pas être entendu"
« Concrètement, je vais quitter mes fonctions de député de l’Aisne et de maire de Saint-Quentin. Pourtant j’aime ma ville profondément. J’ai décidé, aussi, de ne pas être candidat à la primaire de la droite et du centre. » « Depuis ces trente dernières années, (…) il y a bien une faillite collective, et j’ai fait partie de cette classe politique. Aujourd’hui, je demande à être jugé sur ce que je vais faire à la tête de la région en m’occupant des gens et en m’y consacrant à 100 %. Si je réussis à faire mes preuves, là les gens se diront que je mérite peut-être mieux que les politiciens parisiens. Aujourd’hui, j’ai bien conscience que c’est à partir du terrain qu’on doit faire ça. »« (...) J’ai le sentiment que dimanche, les électeurs nous ont donné une dernière chance. »