Perso je comprends pas cette obsession de vouloir absolument tout franciser, c'est juste du chauvinisme mal placé à ce niveau; les langues empruntent toutes plus ou moins des mots/expressions à d'autres langues, les anglophones ont bien des mots en Français dans leur vocabulaire aussi, je vois pas où est le problème en fait
COURRIEL ! Les titres, aucun problème. Par contre ce qui m'exaspère, ce sont les slogans! A la télé, 80% des pubs, toutes pourtant en français, se terminent invariablement par un slogan en anglais!Qu'ils mettent la pub entière en anglais, alors! Je préférerais...Mais cette façon de terminer sur 2-3 mots d'english ça me hérisse le poil..
"mél", c'est le mot écrit sur tous mes papiers de concours. Il est toujours employé. ^^; A tout prendre, je préfère "courriel", au moins c'est une vraie tentative de francisation, "mél", je trouve ça ridicule.
Alors celle-là c'est la meilleure ! http://www.lefigaro.fr/elections/presidentielles/2017/04/11/35003-20170411ARTFIG00298-sur-les-listes-electorales-fillon-est-toujours-domicilie-a-matignon.php
Euh, c'est au delà du bête, c'est un gag.Ainsi il y en a qui nous prennent pour un pays d'Amérique du Sudhttp://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/04/13/qu-est-ce-que-l-alliance-bolivarienne-que-souhaite-rejoindre-melenchon_1562258
Corbière précise : "Cher Patrick Cohen, vous mettez sur le même plan une alliance militaire [l’OTAN] à laquelle nous disons qu'il ne faut pas participer, et cette alliance [bolivarienne] et de nouveaux modes de coopération avec d’autres pays, ça peut-être des pays d’Afrique ou des pays d’Amérique du sud". Une alliance économique, explique-t-il, qui vise, à"maintenir une diplomatie non alignée avec aujourd’hui les grandes puissances économiques."
L'"Alliance bolivarienne pour les peuples de notre Amérique", Alba selon son acronyme espagnol, est un groupement économique et géopolitique régional fondé au début des années 2000 dans le sillage de l’arrivée au pouvoir en Amérique latine des gauches radicales. Créé en 2004, à l’initiative d’Hugo Chavez et de Fidel Castro elle a été conçue comme une réponse alternative à la zone de libre-échange des Amériques (ZLEA) que les Etats-Unis de Georges W. Bush cherchaient alors à instaurer sur l’ensemble du continent américain.Mais à la différence des autres alliances économiques latino-américaines comme le Mercosur, le projet de l’Alba s’inscrit très explicitement dans les pas de Simon Bolivar et des libérateurs historiques de l’Amérique latine. L’Alba a pour ambition de promouvoir l’autonomie et la souveraineté des pays latino-américains et de contrecarrer la politique d’influence nord-américaine. Elle compte aujourd'hui parmi ses membres le Vénézuela, Cuba, l'Equateur, la Bolivie, le Nicaragua et plusieurs petits Etats insulaires dont Sainte Lucie, la Dominique, Antigua et Barbuda.L'Alba compte également trois pays observateurs : l'Iran, la Syrie et Haïti. Quant à la Russie ? Elle fut invitée à titre d'observateur, lors du sommet de l'Alliance en 2009 en Bolivie. "Pour dissiper tout malentendu : ces pays dit «observateurs» sont en réalité des pays qui ont envoyé des représentants à des sommets pléniers de l’Alba, mais en aucun cas, ces pays ne siègent ou n'ont de représentation organique dans les instances de l’Alba", explique Christophe Ventura, membre de la France insoumise, chercheur spécialiste de la géopolitique de l'Amérique latine et auteur du livre L'éveil d'un continent (Armand Colin). il poursuit : "Vu de France ça choque. Mais, il faut savoir que pour des raisons géostratégiques, quels que soient les régimes politiques, les gouvernements latino-américains ont toujours entretenu des liens de coopération historiques avec l’Iran et la Syrie autour d'intérêts communs : leurs intérêts pétroliers et leur rejet d'une certaine politique américaine notamment".Une banque et une monnaie virtuelleAnti-atlantiste, à rebours des préceptes de concurrence et de néolibéralisme, cette coalition régionale, vise à multiplier les projets de coopération en matière de commerce, de transfert de technologies, d’alphabétisation, de culture mais aussi de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale. C’est dans ce cadre que Cuba s’est par exemple engagé à envoyer plusieurs milliers de médecins au Vénézuela. C’est aussi dans le cadre de l’Alba que, sous le nom d’"opération miracle", ont été ouverts des centres de santé en Bolivie, ont été attribuées des bourses à des étudiants en médecine et que la Havane a pris en charge les soins ophtalmiques de milliers de Boliviens pauvres. "L'un des pays a besoin de quelque chose ? Un autre pays va lui fournir dans des conditions qui ne sont pas celles du marché", explique l'auteur de L'éveil d'un continent, géopolitique de l'Amérique latine et de la Caraïbe. Il précise : "C'est ainsi que le Vénézuela a fourni en pétrole nombre de pays à des cours en-deça du marché. La Bolivie a fait de même avec son gaz."Mais outre les échanges énergétiques, les programmes de santé, d'alphabétisation et de lutte contre les inégalités, l’Alba s’est également dotée d'instruments visant à oeuvrer au rapprochement économique des pays de l’Alliance. C'est ainsi qu'elle a lancé en 2008 sa propre banque de coopération pour financer ses projets de développement (une cinquantaine à ce jour) en matière d'infrastructures, d'environnement, d'industrie ou encore de communication. C'est notamment ainsi qu'a été lancée la chaîne de télévision panaméricaine Telesur qui vise à contrecarrer le soft power américain de CNN.
J'ai de toute façon du mal à vouloir voter pour un type qui n'a pas vu le problème de l'invasion du Tibet en son temps (j'avais sauté au plafond face à ses déclarations lors des Jo...). Il n'y a que sur les bêbétes que je suis d'accord avec lui, mais ça ne suffit pas à diriger un pays, surtout quad sur le plan économique et international j'ai du mal à un point, mais à un point...