La Fondation Hergé c'est encore pire ... qui fait des procès à tour de bras dès lors qu'on ose ne serait-ce que citer Tintin quelque part
Voilà qui vient mettre une épine dans leur pied : http://www.rtbf.be/info/medias/detail_moulinsart-perd-son-proces-contre-un-fan-club-neerlandais-de-tintin?id=9000908
La Fondation Hergé c'est encore pire [...] qui fait des procès à tour de bras dès lors qu'on ose ne serait-ce que citer Tintin quelque part
c'est bien fait pour leur gueule.
Voilà qui pourrait susciter l'envie chez tous ceux qui ont payé pour l'utilisation de vignettes d'en réclamer le remboursement à Moulinsart. C'est ce qu'explique un spécialiste d'Hergé et professeur de publicité à l'IHECS, Jean-Claude Jouret, au micro de la RTBF: "Ceux qui ont payé, effectivement, des droits pour l’utilisation de l’image de Tintin à la Société Moulinsart seront probablement amenés à récupérer ces droits, ou en tout cas à revendiquer la récupération de ces droits et, dorénavant, effectivement, c’est auprès de l’éditeur Casterman que ces demandes devront être adressées. Le tout est de voir maintenant le délai qui va s’écouler entre les demandes et les applications de ces différents jugements".
Ah le gros parasite ! Mais dans la mesure où il pioche des fanfics et qu'il les commercialise telles quelles, il risque malgré tout des ennuis.
Surtout que rien qu'avec les titres on peut voir que ça lui aurait rien couté (ni temps, ni argent, ni migraine à force de réflexion) d'écrire les siennes.Mais toi Alaiya, il t'en a volé?
Une récente décision de justice a en effet estimé que les musiques sous licence libre sont bien soumises à la redevance appelée « rémunération équitable » instaurée pour compenser les titulaires de droits voisins pour la diffusion publique de musique enregistrée. Cela veut dire que même si un artiste veut autoriser complètement librement la réutilisation de sa musique (et ils sont nombreux à le faire, notamment ici), y compris à des fins commerciales, il ne le peut plus en France. Des sociétés de gestion collective (SACEM, SPRE) vont pouvoir prélever une dîme au passage, ce qui signe l’impossibilité juridique de mettre en partage sa création.
Une idée comme celle de la licence de panorama n’est au fond qu’une forme de résurgence des visées que poursuivent aujourd’hui les maximalistes les plus acharnés du droit d’auteur pour atteindre les intermédiaires techniques. Ils cherchent à faire peser des menaces sur des acteurs comme Youtube pour les transformer peu à peu en une « police privée du droit d’auteur ». Et aujourd’hui, même des acteurs comme Wikipédia ne sont plus à l’abri, que l’on voudrait soumettre au nom du droit d’auteur à une sorte de « gabelle numérique »…
Ah ouais, pas mal... On atteint un beau niveau de cynisme, là...
je croirais volontiers à une mauvaise blague d'un gamin pour cette affaire <w<