Je vous surtout une mairie qui semble vouloir se trouver une meilleure excuse foireuse que la première, après avoir exercé une rétorsion contre un titre ayant publié un article dérangeant.
Les décisions échappant toujours au chef de service ou directeur de bibliothèque sont faciles à dénombrer : la fixation du budget et son exécution (sauf parfois une délégation de signature des bons de commande jusqu'à un certain montant), les effectifs (création et transformation de postes, décision de pourvoir un poste vacant), les tarifs, les horaires. Tous domaines où son rôle relève de l'aide à la décision. Rien d'autre n'est fixé par aucun texte.L'intervention directe des élus dans les acquisitions documentaires est généralement considérée comme illégitime, mais aucun texte contraignant ne définit ni ne protège cette situation. Seule la persuasion locale, et parfois le débat public quand il survient, peut conduire à ce que cette frontière soit respectée. Quand elle survient, elle peut porter sur des retraits d'ouvrages ou la suppression de titre sur une liste de commande (on peut alors parler de censure) ou l'imposition de titres.
C'est pas raciste vu que le racisme ani blanc n'existe pas Faut tout vous apprendre
Bah tu sais c'est le même genre de blocage que quand on leur explique que l'esclavage était commun en Afrique avant même que les blancs n'y arrivent et que beaucoup d'esclaves étaietn vendu aux esclavagites blanc par d'autres tibus qui se débarassaient ainsi d'ennemis Mais bon c'est plus simple d'imaginer un monde tout blanc et tout noir où tout ce qui est blanc de peau est LE MAL.(N'essayez pas non plus de leur expliquer le concept de racisme entre noir entre tribus/ethnies d'Afriques et tout les horreurs que ça a créé.)-Sergorn
C'est pas raciste vu que le racisme ani blanc n'existe pas Faut tout vous apprendre -Sergorn
ActuaLitté : Le 2 mars, journée nationale de la lecture aux États-Unis, six ouvrages sont supprimés de la vente, qu’en pensez-vous ?Stephen Carrière : Cela m’effraie.
L'écriture inclusive me paraît être une arme de destruction massive de notre plus beau bien commun, notre langage – une prédatrice de toute aspiration à vivre ensemble.