Jusqu'à ce qu'un juge quelconque reconnaisse la validité de la création par une IA. Il me semble qu'il y a eu des tentatives de ce genre.
Entre l'extrême droite américaine qui veut faire disparaitre les livres, et l'extreme gauche qui veut les réécrire, on est bien barrés pour l'avenir. Le plus "drôle" c'est que certains choix paraissent parfois pire que le terme original comme le "fat" transformé en "enormous"-Sergorn
L’inclusif, c’est de m’inclure moi et les gens que j’aime bien, les autres peuvent aller se faire enculer.
Il était une fois une personne à l’ego surdimensionné. Elle était tant et si bien persuadée d’avoir atteint le sommet le plus élevé de la montagne morale qu’elle s’octroyait le droit de juger autrui et de le faire taire à sa guise. Elle était si imbue d’elle-même qu’elle se donnait toutes les qualités, à commencer par l’empathie et l’amour des autres. En conséquence, elle ne doutait jamais de ses actes, certaine que ses immenses qualités la protégeaient de toute erreur et de toute dérive. Et puisqu’elle avait raison sur tout, ceux qui s’opposaient à elle n’étaient-ils pas dans l’erreur ? Puisqu’elle était une championne de l’amour, alors n’étaient-ils pas les agents de la haine ? Voilà bien pourquoi il était naturel, et même bienveillant de sa part de faire taire ces voix discordantes, ces propos contraires à ses propres pensées. Bien sûr, elle n’avait aucune notion de ce qu’était le « totalitarisme », et son absence complète d’empathie véritable l’empêchait de prendre du recul sur ses propres errances et le mal qu’elle causait. Un matin, elle sortit de chez elle.
Vous me direz « Oui, mais pensez à ce que vont ressentir les gens visés !« Si les sentiments faisaient office de loi, mon mépris pour vous vous aurait déjà tous collés au gnouf mes petits amis. Tout comme l’auteur a le droit de faire ce qu’il veut, le lecteur aussi. Il peut sauter des pages, refermer le livre, voire ne pas le lire du tout. Et si jamais vous avez envie de vous exclamer « Ouiii mais imaginez les dégâts que peuvent causer ces livres !« , je commencerai à croire que ça vous intéresse quand vous vous attaquerez aux livres dont les gens font des religions. Mais tant qu’on aura une armée de courageux qui tombe sur le rab’ du Club des Cinq ou de Charlie et la Chocolaterie, excusez-moi de maintenir, mais je pense qu’on peut parler de gros lâches qui tailladent courageusement les affaires des enfants.Aussi, chers lecteurs en sensibilité, laissez-moi terminer :Votre sensibilité, elle est quand même drôlement mal placée.
elle était si imbue d’elle-même qu’elle se donnait toutes les qualités, à commencer par l’empathie et l’amour des autres. En conséquence, elle ne doutait jamais de ses actes, certaine que ses immenses qualités la protégeaient de toute erreur et de toute dérive. Et puisqu’elle avait raison sur tout, ceux qui s’opposaient à elle n’étaient-ils pas dans l’erreur ? Puisqu’elle était une championne de l’amour, alors n’étaient-ils pas les agents de la haine ?
Ce que loupe cette analyse c'est que wokisme et appat du gain ne sont pas incompatibles. Le choix des modifications n'est pas du tout innocent et vise bien un certain public précis. -Sergorn