Hum comment je peux expliquer ma façon de voir les chose.Pour moi au départ, et comme c'est expliqué depuis un moment maintenant. Quand une œuvre est crée dans le Jump, la Shueisha en acquis les droits de production ainsi que le nom. L'auteur, lui, est seulement l'employé qui donne vie à cette licence.De ce fait, lorsqu'une entreprise souhaite produire quelque chose, il lui faut l'accord de la Shueisha. Donc, c'est suite à une demande que Saint Seiya fut adapter en animé.Pour le reste, le chemin est le même à mon avis. L'animé, bien que produite par la Toei reste, pour moi, un produit Shueisha. C'est comme une œuvre dans un magasin. Nouveau modèle du magasin x produit par y. D'ailleurs, en allant sur le site de l'animé de RnK, la Shueisha est mentionné dans le lien copyrithe (au côté de Kurumada et la Toei)Donc, je pense que pour les Jeux vidéo, où autre produit dérivé, c'est la même.D'ailleurs je me souviens lors que je suivais de près, sur leurs forum, le studio Arcadia (je suis pas sur du nom) qui avait débuté le rpg sur Saint Seiya (à ce nom) Il avait eut des contact par Bandai, et eux, leurs avait expliqué, que si il voulais produire quelque chose sur Saint Seiya, il devais avoir l'accord de Kurumada lui même étant donné qu'il possédé les droits de son œuvre.Pour finir, pour vraiment répondre à ta première question.On sait que Kurumada a racheté les droits sur Saint Seiya. Mais d'un autre côté, sur les sites des animé, la Shueisha et toujours mentionné tout comme c'est eux qui produise les rééditions des mangas. Donc, le manga en lui même appartient toujours à l'entreprise, Kurumada, à dû juste pouvoir racheter le nom, afin d'avoir une maitrise sur les produit dérivé (G - TLC - Film - etc). J'espère que c'est compréhensible ^^
Parce que tu imagines qu'ils vont le dire publiquement ?
Shuho Sato indique qu'en 2009, 5 300 mangaka ont eu les honneurs d'un titre édité en tome relié. Et pour les 5 200 mangaka qui ne font pas partie du top 100, la moyenne des revenus générés par les droits d'auteur en 2009 était de 2,8 millions de yens (presque 24 000 €).À titre de comparaison, Shuho Sato rappelle que le salaire annuel moyen d'un employé d'une société au Japon est de 4,09 millions de yens (environ 35 000 €). Selon l'auteur de Say Hello to Black Jack pour qu'un mangaka touche le même salaire mensuel qu'un employé il doit vendre au moins 120 000 exemplaires de son, ou ses, manga publiés dans l'année.
À partir de quand ils commencent à respirer un peu, du coup ? Quand on adapte leurs titres en animés ? Ou quand ils perçoivent une partie des droits dérivés (s'ils en perçoivent) ?