Tout le monde ne cherche pas à théoriser, la plupart des spectateurs regardent sans se prendre la tête.
Spoiler (click to show/hide)Wyatt = Dolores, Moui pourquoi pas. Ça change de son rôle de potiche en détresse. Mais pourquoi a-t-il fallu qu'elle se parle à elle-même à la fin de sa quête . De tous les clichés possibles, il a fallu qu'on tombe sur le monologue intérieur avec deux fois le même personnage à l'écran . Ah c'est sûr ça fait classe, métaphysique et tout ça, mais ça reste quand même un putain de poncif éculé et facile. Pourquoi ne pas lui avoir fait taper la discut' avec Wyatt, vu qu'ils avaient casté un acteur exprès et que sa personnalité est planquée en elle? Là ça aurait eu un impact différent. Mais non, penses-tu...
Spoiler (click to show/hide)De mémoire, elle était arrivée au bout du labyrinthe et "parlait" avec sa conscience donc avec elle-même chose que les autres, pas même Maeve, ne pouvait faire à ce moment. Ca ne m'a pas dérangé et est trouvé ça normal que ce soit mit en scène ainsi.
Westworld saison 3 :Alors je kiffe malgré la baisse (relative) de qualité à chaque saison.Le problème de Westworld est que chaque saison suit un arc narratif bien précis (ce qui est une bonne chose !), mais que les sujets traités dans chaque saison sont de moins en moins intéressants !Mini spoiler :Spoiler (click to show/hide)Saison 1 : l'éveil des robots à la conscience. Forcément, on est à la croisée de la SF et de la philo. Et il y a de bons twists. C'est que du bonheur !Saison 2 : Les robots rebelles se lancent dans une lutte sans retour pour s'échapper du parc d'attraction. Moins de philo, davantage de fusillades, et toujours différentes périodes qui s'entremêlent. Là, la série commence à devenir un "Lost" bis. Mais j'adore "Lost", donc tout baigne pour moi!Saison 3 : (4 épisodes lorsque j'écris cette critique) La série explore le monde réel, dans un récit linéaire. L'histoire continue de progresser, mais les personnages déjà connus n'ont plus rien à raconter. Et pourtant je continue de suivre, car la série a clairement une destination et refuse de faire du sur-place. Ses auteurs auraient pu ressasser la 1ere saison pour ne pas prendre de risque, mais ils ont une histoire à raconter, et je veux voir où celle-ci va aboutir.
Le personnage de Serac est un antagoniste parfait : on désapprouve, mais on comprend parfaitement son point de vue.