La scène de la charge de la cavalerie anglaise au ralenti a quelque chose de poignant. Je suis à la fois rempli d'admiration et d'humilité pour ces hommes qui chargeaient sabre au clair, alors qu'ils pouvaient se prendre à tout instant un boulet de canon ou une balle en pleine face. C'est ce que j'appelle avoir des cojones.