Moi par exemple je pourrais très bien aller voir un artiste qui me plaît, ou acheter une de ces oeuvres, même si humainement c'est la réincarnation du diable, je sépare totalement les 2, je pense pas être unique dans ce cas là.
Sur ce je vais revoir un épisode de b5 sur ce problème.
Passing Through Gethsemane, je suppose.Magnifique épisode. J'en ai pleuré à chaque fois.Fuu-chan.
J'avoue que je n'y arrive pas à séparer l'oeuvre d'un artiste. Je ne peux plus lire du Marion Zimmer-Bradley par exemple. Pire, toutes les fois où sa déviance transparaît dans ses oeuvres m'a sauté à la figure rien qu'en m'en souvenant, et j'ai sincèrement eu envie de vomir (parce que hélas, oui, ce genre de chose transparaît toujours d'une manière ou d'une autre).
Je suis toujours gêné par le deux poids, deux mesures et la relative indulgence dont bénéficient certains artistes alors qu'un individu lambda condamné pour les mêmes faits verrait sa vie détruite pour de bon, ou en tout cas avec nettement moins de chances de réinsertion.
Les seuls qui on le droit d'être écœuré sont les proches de Marie Trintignant.
Et si ça se trouve il a pété un câble parce qu'il en avait commandé une sans anchois.