Et aussi : https://www.francetvinfo.fr/economie/greve/greve-des-transports/sncf-les-greves-ont-toujours-fait-ceder-le-gouvernement_2667500.html.
@Damien Aarrgh ! Mais qui a écrit cet article de l'UNEF ? Abattez-le !
Sachant qu'ils ne citent que 3 dates alors que, d'après l'article de Rincevent, il y a eu des grèves tous les ans depuis 1957, ça fait un peu court pour dire qu'ils ont toujours fait céder le gouvernement.
Ben de fait, ça me paraît louche cette histoire de tous les ans (y aurait eu un combat SNCF vs. gouvernement chaque année depuis 60 ans ? ).Après l'article ne parle que de la SNCF, mais y a d'autres corps qui ont parfois obtenu gain de cause en menant des actions collectives.
Restons avec les jeunes et écoutons cet argument. Je déteste Praud (en combo loto bingo avec Lévy) mais si on retire la forme sèche et brute de sa réaction... euh ouais, c'est effectivement ridicule.D's©
Je n'ai jamais eu de cours non plus pour m'apprendre des notes, je me suis débrouillé tout seul. Et je faisais ça depuis le lycée.
Comme la majorité d'entre nous. Quelques profs (Français, Histoire) nous ont appris à prendre des notes en ne répétant qu'une fois ce qu'elle disait.D's©
Donc à te lire, cela signifierait que les profs seraient devenus infoutus d'initier les élèves à la prise de notes durant la phase Lycée ?D's©
Le droit à la poursuite d’études n’est plus garanti (comme on a pu le voir avec la loi sélection en Master et maintenant avec Parcoursup)
les jeunes ne pourront plus choisir librement leur orientation
la loi de la concurrence généralisée va s’appliquer immanquablement entre les universités, les filières et même les étudiantEs
À l’entrée en L1, les enseignantEs vérifieront le dossier scolaire du lycée, des CV et autres lettres de motivation, l’expérience professionnelle (!) et pourront exiger l’obtention du BAFA pour faire STAPS, des tests de connaissances sous forme de QCM avant d’entrer en droit ou le fait d’avoir un bac S pour faire de la psychologie, alors même que ces matières ne sont pas enseignées au lycée !
Le mouvement que nous construisons actuellement est majoritaire, n’en déplaise à certainEs. Il est majoritaire car perçu comme légitime auprès de beaucoup de gens, jeunes et moins jeunes
Notre combat est celui pour l’accès de touTEs au service public de l’enseignement supérieur.
qui refusent les logiques libérales contre nos droits les plus fondamentaux (se nourrir, se loger, s’instruire, se soigner, se déplacer, se divertir)
Il est profondément égalitaire et s’inscrit dans une démarche de diffusion des savoirs et d’accès à la connaissance et à la culture du plus grand nombre, en particulier les enfants des classes populaires.
Nous ne sommes ni des terroristes, ni des utopistes.
Je reprends un article dont Pfedac a donné le lien en CB pour faire un point :https://www.ladepeche.fr/article-amp/2018/04/05/2774159-etudiant-e-universite-jean-jaures-mirail-depeche-midi.htmlLes rectorats ont OBLIGATION de caser les candidats qui n'auraient pas été retenus. Charge aux personnes concernées de se manifester et libres à elle d'ensuite refuser ce qui leur serait proposé.C'est sûr que si on ne demande que du sélectif ou du contingenté, on s'expose au risque de n'être retenu nulle part. Les places disponibles dans chaque Licence ont été calculées en fonction du nombre d'inscrits les années précédentes avec une majoration conséquente. A moins d'une explosion des demandes et d'une chute drastique de l'évaporation annuelle et automatique des admis avant même la rentrée, la situation ne peut pas être radicalement différente.Pour rappel, le budget d’une formation dépend en bonne partie du nombre d'étudiants qui y sont inscrits. Une filière n'a donc aucun intérêt à réduire volontairement le nombre d'étudiants qu'elle accepterait, à moins de contraintes matérielles empêchant la gestion d'un volume trop important d'étudiants. De ce point de vue, la stabilité est essentielle.La mise sur liste d'attente est évidemment un problème pour beaucoup de gens, mais comment faire autrement quand il y a 1000 demandes pour 100 places ?Sauf qu'il n'est pas possible de faire de sélection, simplement établir des critères qui permettent de classer les candidats. Je vais l'écrire en gras, car j'ai l'outil sous les yeux, Parcoursup ne permet pas d'exclure qui que ce soit du classement d'une filière non sélective. C'est matériellement impossible à moins de mal paramétrer, ce qui revient à s'exposer automatiquement à un recours. Il n'est à aucun moment possible d'exiger un bac S pour entrer dans une filière. Un bac S (ou autre) peut se voir valoriser, mais un excellent bac agricole restera probablement toujours plus haut dans le classement qu'un bac S moyen.Nous sommes majoritaires parce que nous sommes légitimes, et comme nous sommes majoritaires nous sommes légitimes.Le système actuel, comme l'ancien, ne permet pas de bloquer l'accès à l'enseignement supérieur.Je vois pas le rapport avec une réforme de l'accès à l'enseignement supérieur.Je ne suis pas sûr qu'empêcher des gens de travailler (personnel administratifs, enseignants), empêcher les étudiants d'apprendre ou de participer aux examens et donc de réussir leur diplôme et dégrader le matériel (et donc d'imposer des dépenses publiques supplémentaires) soit une démarche profondément égalitaire.La destruction de biens publics, et la proposition de démarches impossibles à réaliser faute de moyen ou de réalisme, me permettent de douter.
Oui, vu comme ça c'est comme s'il réclamaient de vivre en URSS où les autorités distribuaient les postes. Très souvent c'était soit merdique soit pas grand chose tendance emploi fictif, mais les gens n'avaient pas à se soucier du chômage.
Malgré l'absence officielle de chômage, la pauvreté et les pénuries était pourtant généralisées dans l'URSS.
Edit : @ShiroiRyu : je crois que tu te plantes de section ^^