Bah on était tous un peu comme ça étant petits, quand on voyait les séries à la télé, on se disait ouaaaaaaaah c'est kewl
"Curiosité mal placée" quand tu vis ici tu t'en aperçois très vite... ils sont maladroits.
Mardi 3 décembre, les cours reprennent sans rentrée échelonnée, sans accueil général des élèves par la direction et sans communication claire sur l'identité des casseurs. Le matin même, vers 10 heures, un attroupement sur le parvis requiert de nouveau l'intervention de la police et un départ d'incendie non loin du gymnase de l'établissement conduit un professeur à donner l'alerte. En début d'après-midi, une enseignante est menacée par une élève de sa classe, qui l'accuse de l'avoir "balancée". Une vingtaine de professeurs concluent que les conditions de sécurité ne sont décidément pas réunies. Une délégation d'enseignants se rend alors chez la proviseure pour déposer les fiches notifiant l'exercice de leur droit de retrait. "Elle les a refusées, témoigne un professeur. Elle a dit qu'il n'y avait pas de danger et que l'exercice de ce droit de retrait n'était pas pertinent.""Je n'ai pas refusé de prendre les feuilles ! J'ai dit aux enseignants que nous allions échanger, qu'ils avaient eu de mauvaises informations, et qu'il n'y avait pas de raison d'exercer leur droit de retrait", répond Marie-Hélène Pauly. Même embarras au rectorat, où l'on tente d'expliquer que les conditions de l'exercice du droit de retrait n'étaient pas réunies : "La directrice a donc considéré qu'il s'agissait d'une grève." Pourtant, le Code du travail est très clair. Un salarié confronté à un "danger grave et imminent" a le droit d'arrêter son activité sans l'accord de son employeur. Il n'est pas tenu de la reprendre tant que la situation de danger persiste. La proviseure, elle-même juriste, botte en touche : "Avez-vous d'autres questions ?"
"Nous, on est contents de travailler ici, explique pourtant une enseignante. On a une relation chouette avec nos élèves. Oui, il y a des problèmes de 'savoir-être', mais ça ne fait pas de ces gamins des délinquants. Cette violence, elle vient de l'extérieur, elle vient du chômage."
ce serait pas mieux de les tirer à la seringue hypodermique et de les larguer sur une île déserte, tous, sans nourriture ni eau potable ?
Un lycée de l'Oise est en situation de crise, et sa direction ne prend pas les choses au sérieux...https://www.francetvinfo.fr/societe/education/les-eleves-pouvaient-lire-la-peur-sur-nos-visages-les-enseignants-d-un-lycee-de-l-oise-denoncent-l-inaction-de-la-direction-apres-une-semaine-de-violences_3730123.html
Quand le gouvernement fait l'unanimité contre lui au Sénat en voulant avoir recours au vote bloqué contre une loi pour l'amélioration des retraites agricoles votée dans les deux chambres :https://www.publicsenat.fr/article/politique/retraites-agricoles-castaner-et-buzyn-subissent-la-bronca-du-senat-83450
Vu sur FB.Spoiler (click to show/hide)