Une telle évolution, légère, de la Loi, permettra de redonner ses lettres de noblesse à de nombreux produits locaux. Ce sera par exemple le cas d’une viennoiserie dont historiquement le nom a puisé son origine dans la Région Gasconne, et qui fait la fierté de tout le Sud de la France : la chocolatine.Quand nos députés connaissent les véritables priorités de not' bon pays D's©
Cet amendement permettra ainsi de compléter ce qui constitue une véritable « chaîne de la réussite ».
On peut ajouter aussi : "Doit-on mettre des pruneaux dans le far breton ?"
Ou encore : "Le Kouign-Amann, beurre salé ou beurre sans sel ?"
http://m.leparisien.fr/politique/on-n-est-pas-des-truands-un-depute-lr-veut-etre-mieux-paye-et-moins-controle-24-05-2018-7733820.phpY'en a qui manquent pas d'air, quand même...
Je dois avoir vu passer des centaines de commentaires sur ce type sur twitter...Le mec est devenu le député le plus détesté de France en 48h
Une deuxième affaire a mis la France aux prises avec la Russie. Fin 2017, cinq « diplomates » en poste à Paris ont été priés de quitter le territoire pour espionnage. Quatre de ces agents russes ont officiellement déménagé en mars. La décision a été présentée, à l'unisson des autres gouvernements européens, comme une réaction à l'attentat commis contre l'ex-agent russe, Sergueï Skripal, et sa fille au Royaume-Uni. Il n'en est rien.L'épisode, dont le Monde a eu confirmation, a été relaté en détail par L'Obs mi-avril. Fin décembre 2017, Emmanuel Macron a d'abord ordonné le renvoi immédiat d'un faux attaché commercial de l'ambassade russe à Paris, piégé par le contre-espionnage en flagrant délit de recrutement d'un haut fonctionnaire français. Par réciprocité, un agent français a été prié de quitter l'ambassade de Moscou. Des deux côtés, nul n'a cependant été déclaré persona non grata.Puis quatre autres espions russes ont été démasqués par la DGSI, presque par hasard à l'occasion d'une affaire de drogue, rapporte L'Obs . Priés de quitter la France d'ici l'été 2018, eux seront finalement partis plus tôt que prévu. Paris a « emballé » dans l'affaire Skripal ce contentieux préexistant, le tenant ainsi sous le radar par volonté de ménager la relation avec Moscou.Une troisième enquête, préliminaire, a été ouverte au cours de l'année 2017 pour intelligence avec une puissance étrangère contre un officier de la marine nationale, qui aurait été séduit par une espionne israélienne. Les investigations n'ont pas débouché, pour l'heure, sur des poursuites. [...]En Chine, les fonctionnaires et collaborateurs français font l'objet de multiples tentatives de retournement, plus ou moins couronnées de succès. Toutes ne débouchent pas sur des procédures judiciaires et se règlent en interne.