https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/vendee-ils-tabassent-leur-voisin-qu-ils-croient-pedophile-parce-qu-il-ecoute-pierre-perret_3603363.htmlNon mais oh.Et je suis plombier si j'aime écoute "Qu'il est beau le Lavabo" de Lagaffe ?
Le magistrat a rappelé aux deux prévenus que la victime n'avait jamais été mise en cause par la justice pour pédophilie. « Vous le tenez d'où, que votre voisin est pédophile ? », a-t-il demandé. « C'est parce que j'ai couché avec sa femme, c'est elle qui me l'a dit », a assuré l'un des prévenus.
Info supplémentaire :
Pareil de mon côté. Désolé mais c'est bien la faute du lien.
@AZB Pour toi AZ noursSpoiler (click to show/hide)
Sinon, petite pensée pour AZB et ses relations compliquées avec la poste :https://www.actualitte.com/article/monde-edition/retirer-son-colis-amazon-dans-une-maison-de-la-presse/96697
Sinon, on vire quand le gouvernement brésilien ?Car bon, encore s'en prendre à Brigitte Macron, faut vraiment le vouloir.Le pire est qu'ils en ont pas honte, ils attaquent même pas la France sur le fait qu'on sait pas gérer les Gilets Jaunes, etc, y a tellement de façons...Mais non, "Bouh ta femme est moche".
Dans une interview au magazine brésilien Época, l'écrivain et essayiste chilien et argentin Ariel Dorfman, qui a publié de nombreux écrits sur la dictature, souligne que ces attaques ciblées de Bolsonaro n'ont rien d'étonnant :Bolsonaro, tout comme son héros Trump, pense qu'il faut revenir à la torture. Michelle est quelqu'un qui défend la démocratie, et Bolsonaro est quelqu'un qui piétine honteusement la démocratie dès qu'il le peut."Pour l'éditorialiste d'O Globo Miriam Leitão, "L'admiration compulsive et illimitée de Bolsonaro pour les dictatures et les régimes tyranniques, comme celui de Pinochet, est pathologique. [...]. Son plaisir à blesser les personnes atteintes par les crimes des dictatures latino-américaines est malsain." [..]Malgré sa superbe, estime la page brésilienne d'El País, les propos de Jair Bolsonaro pourraient aussi coûter cher au Brésil sur le plan diplomatique, alors que le pays brigue une place au Conseil des droits de l'homme des Nations unies : "La plus grande opposition à sa campagne [à ce poste] s'appelle aujourd'hui Bolsonaro", tant le président montre "qu'il n'est pas disposé à reconnaître que des crimes contre l'humanité ont existé dans certaines régions du monde" et qu'il passe le message selon lequel "la violence d'État est permise".
Mais cette raclure de compétition... J'en reste pantois.https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/bresil-bolsonaro-glorifie-pinochet-et-blesse-michelle-bachelet