Moi je propose une milice civile, ça a fait ses preuves les milices civiles
Minneapolis, la ville où George Floyd est mort, envisage une alternative à la Police. Je suis curieux de voir par quoi ils vont la remplacer et si ce sera efficace. https://www.huffingtonpost.fr/entry/apres-la-mort-de-george-floyd-minneapolis-va-supprimer-sa-police_fr_5edd7060c5b6bd197e141345
Trump, son deuxième prénom c'est Attila. Là où il passe, la production trépasse. https://www.huffingtonpost.fr/entry/trump-visite-une-usine-de-tests-au-coronavirus-sans-masque-la-production-detruite_fr_5edc022dc5b6d24deb646016
Qu'est-ce que c'est que cette idée à la con ?
C'est possible d'être aussi binaire que ça?
Mais c'est pas déjà un peu le cas aux US ? La police c'est une institution locale, sans aucun contrôle national, non ?
Tu n'as pas écouté le monsieur, il vient de t'expliquer que oui.
Minneapolis, la ville où George Floyd est mort, envisage une alternative à la Police. Je suis curieux de voir par quoi ils vont la remplacer et si ce sera efficace.
Catastrophe écologique en Arctique :https://www.lefigaro.fr/international/pollution-en-arctique-que-s-est-il-passe-dans-le-grand-nord-russe-20200607
African teenagers and others should absolutely show solidarity for their black brothers in the US by supporting #BlackLivesMatter. At a deeper level you could argue that because the African American condition is rooted in slavery and ours in colonialism, and the architects for both are white, there is a common understanding that links Africans to this movement.
Les émeutes et la « révolution » sont au cœur de la philosophie de cet étrange mouvement qui rassemble, avec plus ou moins de bonheur, aussi bien des libertariens californiens que des néonazis du nord-ouest américain. Le nom même de Boogaloo, obscure référence aux relents racistes d’un film de 1984, Breakin’2 : Electric Boogaloo, de Sam Firstenberg, est utilisé comme synonyme de révolte armée. Les boogaloo bois vivent dans l’idée pré-apocalyptique qu’un bouleversement majeur est imminent aux Etats-Unis, et qu’il leur faut être « prêts » — essentiellement en étant armés.Une partie du mouvement appelle également de ses vœux le renversement du gouvernement, jugé coupable d’empiéter sur les libertés fondamentales des Américains — à commencer par le droit de posséder des armes à feu. Ses membres prêchent également l’opposition armée aux forces de l’ordre, et plus particulièrement aux « alphabet bois » — les agences fédérales, souvent désignées par leur sigle, et « bois » étant une déformation de boys (gars). [...]Pour les bois, comme pour une partie de l’opinion publique américaine, le confinement est un abus de pouvoir de l’Etat ; des manifestations sont organisées. Elles rassemblent peu de monde, mais on y aperçoit de très nombreux hommes armés, arborant pour certains la chemise hawaïenne qui est utilisée comme symbole du mouvement en raison d’un improbable jeu de mot sur « boogaloo » et la fête hawaïenne « luau ». [...]Mais les boogaloo bois ne sont pas uniquement un paravent pour ces groupes. Le mouvement a aussi une importante aile libertarienne, violemment opposée au contrôle des armes à feu et à l’Etat, mais très éloignée de l’idéologie suprémaciste. Dans certains espaces de discussion en ligne consacrés au mouvement, les commentaires racistes sont strictement modérés, ou accueillis par des moqueries, voire une franche hostilité. « Certains membres des communautés boogaloo en ligne expriment leur solidarité avec le mouvement de libération noir », note le Southern poverty law center, organisation de référence sur les groupes de haine aux Etats-Unis : [...]Cette neutralité affichée — même si le sous-forum penche clairement à droite — semble avoir facilité l’alliance improbable, sous la même étiquette « boogaloo », de groupes paramilitaires néonazis et de libertariens qui rejettent le suprémacisme blanc. Les deux « faces » du mouvement partagent, au-delà d’une passion pour les armes de guerre et une opposition aux forces de l’ordre, une contre-culture en ligne faite de références obscures et de mèmes plus ou moins cryptiques, basés sur des jeux de mots. Et qui fournissent, dans certains cas, pour les groupes d’extrême droite, une étiquette commode leur permettant de s’afficher comme de simples citoyens en masquant ou en minimisant leur affiliation à des groupes suprémacistes.