Tout a démarré vers 19 h 30, lorsqu’une unité militaire indienne a entrepris de démonter un campement ennemi. « Les Chinois n’avaient pas retiré leur tente malgré l’accord qui venait d’être passé, les soldats indiens ont donc décidé de la démanteler et d’y mettre le feu »[...] Les Indiens auraient gardé le contrôle de la situation « durant une heure », jusqu’à ce que l’armée chinoise envoie des renforts « équipés de barres de fer ». Les premiers se seraient défendus « à mains nues » et le corps-à-corps, d’une extrême violence, aurait conduit, délibérément ou accidentellement, à la chute de nombreux soldats dans la rivière située en contrebas. Certains seraient morts en tombant, d’autres par noyade. « Ils ont été débordés et beaucoup d’entre eux ont été poussés dans une pente pierreuse raide. Ils sont tombés comme des objets en chute libre », précise une source sécuritaire citée par l’Agence France-Presse.Le combat aurait pris fin autour de minuit et demi. Ce n’est qu’après le lever du jour, mardi, que les corps des victimes, ainsi que les blessés, ont pu être récupérés. Aucune arme à feu n’a été employée, comme le stipule un accord passé en en 1996. [...]« La Chine avance sur un territoire sans enjeu fort, où elle n’a jamais été partie prenante. Mais depuis que l’écart économique et militaire a grandi entre les deux géants asiatiques, elle fait pression pour créer de nouvelles zones tampons »[...]L’objectif de la Chine, vu d’Inde, est multiple. Empêcher, d’abord, que l’armée indienne achève la construction de la route reliant Leh, capitale du Ladakh, au village de Daulat Beg Oldie, où se trouve une piste d’aviation permettant de prendre position non loin du col de Karakoram, et donc du Xinjiang et du Pakistan. Eviter, ensuite, que l’Inde entreprenne de récupérer l’Aksai Chin, annexé par les Chinois en 1962, dans le contexte de reprise en main du Ladakh : ce territoire a été séparé de l’Etat du Jammu-et-Cachemire pour être placé sous la tutelle directe de New Delhi, en octobre 2019.
Bah tu sais on peut aussi parler de la pastèque et du poulet frit dans le genre. -Sergorn
Sauf que sérieusement, Uncle Ben's, j'ai toujours trouvé l'image très belle.La personne représentée dessus montre un homme souriant, appréciant le riz qu'il offre aux autres, avec un air vraiment charmeur.Mais après, n'étant pas lié de près ou de loin à toute cette histoire, je n'ai sûrement pas la même vision que ces personnes.La seule chose, c'est qu'après, il ne faudra pas venir se plaindre que "Les noirs sont sous représentés dans la culture !" car ce seront eux les responsables.
Ca ne date pas d'aujourd'hui, ce mouvement envers les marques véhiculant une image raciste. On a eu la même chose en France avec notamment la boisson cacaotée Banania et aussi avec les biscuits Bamboula.
Je ne sais plus qui en parlait récemment, Pal ou max, mais Uncle Ben's et d'autres marques disent revoir leur charte graphique. J'ai l'impression qu'un noir sur un paquet de bouffe c'est plus possible. En plus les portraits que j'ai vu sont assez normaux, j'y ai pas vu de caricatures...par contre ils sourient tous, c'est peut-être pour ça.
Pareil.Dans cette pub, les gens sont excessivement heureux et souriant. Tellement que c'en est louche. Mais pas plus que dans une pub lambda "avec des Blancs".Le coté "c'est troooop le bonheur d'utiliser notre produit", c'est quand même une grosse ficèle de la pub.
Sur certain sites américains et les sections commentaires ils disent que le problème viens du uncle. Apparement utilisé uncle et aunt pour des afro américains c'est raciste car les gens utilisait ça de manière méchante et raciste au XXeme siècle.