C'est de la SF contemplative très longue et parfois très lente dans la progression de la narration mais j'ai malgré tout réussi à m'enfiler la saga en un mois et demi. Et j'ai adoré.
Je ne connais pas ton livre Damien, mais ça m'a l'air d'être intéressant.
J'ai fini le 1er tome de la Fondation d'Asimov, c'est du bonheur en barre.Je vais rendre le bouquin à son propriétaire et me commander l'intégrale
Al' : je ne connais pas l'auteur. Répulsif ?
Je galère comme jamais sur le tome cinq de Fondation . Au bout de cent pages avecSpoiler (click to show/hide)Trevize qui se demande encore et toujours si sa décision est la bonne, Pelorat qui se demande s'il refilera un orgasme général à Gaïa en couchant avec Joie, et celle-ci qui s'inquiète que ses excréments soient perdus pour Gaïa en tentant de convaincre Trevize que Galaxia c'est le bien[:petrus]J'en viens à regretter les premiers tomes où l'histoire bougeait, et où les héros, les situations et pour tout dire l'intrigue globale étaient quand même plus variés. Et puis ras le bol du trio, ils sont tous plus insupportables les uns que les autres, et le pire, par rapport au tome quatre, c'est qu'on n'a plus le point de vue d'autres éventuels personnages, alors que c'était un élément plus qu'appréciable du cycle. En plus, il n'y a plus aucune cohérence avec le premier tome, où l'archéologue dit à Salvor Hardin (bon dieu, qu'il me manque, lui) que la position de la Terre était connue. Et là, trente ans passent (dans la réalité, 500 ans d'ans l'univers de la Fondation) et Asimov en fait l'objet de la quête (c'était déjà le cas dans le tome 4, mais la pilule passait mieux que maintenant). Mouais, t'es gentil Isaac, mais t'aurais quand même pu te relire. A moins que l'explication de ce bug n'arrive plus tard. Et puis, je n'ai toujours pas digéré le coup du Mulet qui:Spoiler (click to show/hide)Serait originaire de Gaïa. Non seulement ça fait perdre toute classe au personnage, en en faisant une simple partie de Gaïa et plus un mutant venu de nul part. Mais en plus, comment expliquer que le Mulet n'ait plus ce foutu lien qui unit tout le monde à la planète et qu'il parle de son enfance malheureuse et solitaire, alors que Gaïa, c'est sensé être l'utopie, le nirvana ultime, etc...
Cacaman, si tu tiens jusqu'au tome 5, je suis curieux de lire ton avis .