J'ai achevé ma lecture de Star Wars: Le Destin Des Jedi: Proscrit.
J'ai reçu un véritable coup de massue, quand j'ai découvert que Daala, la Chef d'Etat, n'avait absolument rien compris à ce qu'être un Jedi, et l'Ordre en lui-même, représentaient réellement. Et avait décidé de sanctionner Luke Skywalker en le condamnant à l'exil, et l'Ordre à être contrôlé et surveillé par des observateurs, où qu'il intervint. J'ai toujours aimé Daala, mais sur ce coup-là, elle m'a extrêmement déçue. Au contraire de Jagged Fel, qui a su conservé mon estime, car il avait clairement choisi son camp depuis longtemps, et pour lui, pas question d'abandonner l'Ordre Jedi, et ses amis et connaissances qui en faisaient partie. Tahiri Veila m'a émue, quand il a été évident qu'elle pleurait toujours l'amour de sa vie, Anakin Solo, bien qu'elle ait voulut convaincre Jaïna, et se convaincre du contraire. La résilience et le courage de Luke face à son bannissement ne m'a guère surpris: quoiqu'il arrive, il tient bon, et garde la Foi. Et il n'est pas seul dans son exil, son fils Ben ayant choisi de l'accompagner. Bonne pioche: ils dévoilent une supercherie, ayant cours sur la planète Dorin depuis des décennies, tandis que Leia et Han réussissent à sauver les mines de Kessel, propriété du clan Calrissian, d'une destruction certaine. Et l'ombre d'Abeloth se profile déjà, à travers une voix désincarnée, ayant essayé d'entrer en contact avec Allana, la petite-fille du clan Solo. Les pièces ont amorcées leur mise en place. La partie a commencée...