Euh, je n'ai lu que les premiers chapitres mais il me semble qu'au premier, il est fait allusion à une de ses expériences qui est de frapper des cadavres pour voir s'ils peuvent avoir des hématomes. C'est de ça dont tu parles ?
Mince Harsiesis, tu viens de m'ôter toute envie de lire Terremer . Ca a l'air bien barbant, dommage. Au fait, tu vas regarder le film, du coup?
Ben figure toi que je serais assez curieux de voir ce que ça donne en DA. Il me semble avoir lu que Le Guin n'a pas trop aimé le film, mais j'avoue que ça attise encore plus ma curiosité... j'ai tendance à penser que trahison ou pas, ça ne peut être que moins ennuyeux Sinon sur terremer, il y a aussi un téléfilm avec Isabella Rosselini, mais je ne l'ai pas vu non plus. C'est ptet très con, mais quand j'ai vu la jaquette du DVD ça m'a un peu refroidi
rien que de voir Kristin Kreuk au casting ça vous refroidit durçit son homme.
Ah tiens, je l'avais repéré ce bouquin, mais j'ai lu ici et là qu'il y a une très grosse tendance marysuesque dedans
Citation de: Alaiya le 17 février 2010 à 14:13:20Ah tiens, je l'avais repéré ce bouquin, mais j'ai lu ici et là qu'il y a une très grosse tendance marysuesque dedansEst-ce qu'un personnage à tendance Marysuesque peut être blessé ? Est-ce qu'il "normal" que plein de ses potes meurent à cause de ses décisions ?Non, je demande ça parce qu'en fait, je suis pas totalement familier du terme (à part qu'en principe, ça veut dire que le héros est le reflet de son auteur et qu'il très souvent uber perfect).
En l'occurrence, tu as plusieurs types de Mary Sue: ici, d'après les échos que j'ai eus, l'héroïne est "crocro" belle et sexy en diable. Déjà, bon... Ensuite dans les différents types:- La mary sue qui éclipse tous les autres personnages, tellement qu'elle est belle, intelligente, maligne, elle comprend tout avant tout le monde, bref, science infuse powa.- La mary sue qui sauve le monde avec ses petits bras musclés, à elle toute seule.- La mary sue "qu'elle a eu une vie crocro triste", violée par son père, battue par sa mère, eu une relation incestueuse avec son frère, se voit déchirée entre plusieurs amours (parce que, bien évidemment, tout le monde tombe amoureux de la mary sue), c'est toujours à elle qu'arrivent les pires malheurs quoi qu'elle fasse, ça c'est de la mary sue dite "emo", que tout le monde plaint.Donc dans certains cas, la mary sue est le reflet de l'auteur tel qu'il est, mais elle est aussi - souvent - le reflet de l'auteur tel qu'il voudrait être. Plus sérieusement, le piège suesque est est grand ouvert, et tout le monde finit par tomber dedans un jour ou l'autre (je l'ai fait, je sais de quoi je cause). Après, il suffit souvent de quelques ajustements ultérieurs, pour gommer les pires aspects mary sue, et rééquilibrer l'histoire. Mais dans tous les cas, faut pas se leurrer: un héros créé de toutes pièces, super canon, super gentil, que tout le monde aime et respecte, qui a zéro défaut, qui a une personnalité top moumoute ou à l'inverse, trop badass, trop fort, trop "c'est à moi que tu parles?!", que tout le monde craint et admire en même temps, c'est un gary stu (ou une mary sue, en mode féminin). Je dis pas que c'est mal, hein... Tout dépend de la dextérité de l'auteur à le faire passer auprès des lecteurs sans le leur imposer.
- La mary sue "qu'elle a eu une vie crocro triste", violée par son père, battue par sa mère, eu une relation incestueuse avec son frère, se voit déchirée entre plusieurs amours (parce que, bien évidemment, tout le monde tombe amoureux de la mary sue), c'est toujours à elle qu'arrivent les pires malheurs quoi qu'elle fasse, ça c'est de la mary sue dite "emo", que tout le monde plaint.
Pas encore lu, mais j'avais adoré crimes et châtiments, l'idiot, le joueur, et les frères Karamazov. Je retiens le titre, ce sera le prochain de cet auteur