Présentation de l'éditeur" Tout commença en décembre 1966, qui marqua le début d'une série extraordinaire d'événements dans ma vie. J'étais en troisième année à l'université de Californie à Berkeley. Un jour à trois heures vingt du matin, dans une station-service ouverte toute la nuit, je rencontrai pour la première fois Socrate. (Il ne me dit pas son vrai nom, mais après avoir passé un moment avec lui cette nuit-là, je l'appelai d'instinct comme l'ancien sage grec ; le nom lui plut et lui resta.) Cette rencontre fortuite, ainsi que les aventures qui ont suivi, allaient changer ma vie. " L'homme que l'auteur appelle Socrate a réellement existé. Agé de presque cent ans, Socrate révèle une formidable jeunesse d'esprit et un humour décapant. A son contact, Dan, un sportif de haut niveau en mal de vivre, voit ses croyances complètement bouleversées. Guidé par le vieux sorcier excentrique, Dan triomphe peu à peu de ses peurs et de ses illusions pour vivre comme un amoureux et un guerrier... pacifique
Sinon en ce moment je lis l'Ombre du Vent, qui était sorti il y a un ou deux ans je crois et qui apparemment a eu pas mal de succès. C'est une sorte d'enquête sur l'auteur d'un livre trouvé par un barcelonais après la guerre... pour l'instant je trouve que ça se lit bien et est assez vivant
Yep, merci du conseil . Donc, si je pige bien, pas mal de romans d'Asimov sont liés au cycle de Fondation . D'ailleurs, y aurait pas baleine sous gravillon avec une histoire qui se serait déroulé sur Terre, dans un autre roman, vu le nom du dernier tome? Et, surtout, le fait qu'un archéologue en parle dans le premier comme du monde mystérieux d'où aurait commencé la conquête spatiale. C'est une porte ouverte parfaire pour une préquelle, ça.
Citation de: Chrysos le 18 septembre 2010 à 12:45:14Yep, merci du conseil . Donc, si je pige bien, pas mal de romans d'Asimov sont liés au cycle de Fondation . D'ailleurs, y aurait pas baleine sous gravillon avec une histoire qui se serait déroulé sur Terre, dans un autre roman, vu le nom du dernier tome? Et, surtout, le fait qu'un archéologue en parle dans le premier comme du monde mystérieux d'où aurait commencé la conquête spatiale. C'est une porte ouverte parfaire pour une préquelle, ça.Bien vu.Il y a en fait une réunion des cycles, celui des robots et celui de fondation par le biais des deux romans que je t'ai conseillé et le dernier volume de fondation, mais je ne t'en dis pas plus.
Plutôt d'accord avec toi Harsi sur le final de fondation. Sinon le dernier grand cycle que j'ai lu était le cycle de la culture de Iain T Banks que j'ai adoré, tu connais?
Fondation, j'étais tombé dessus par hasard en me baladant dans les rayons de la Fnac. Je ne sais pas pourquoi ça a attiré mon regard, n'étant pas fan de SF, Asimov ne devrait pas m'intéresser. Toujours est-il que j'ai lu le texte du quatrième de couverture et ça m'a donné envie de l'acheter. Bien content de savoir que j'ai fait un bon achat. Ne reste plus qu'à le lire.
Ce commentaire fait référence à cette édition : World War Z: An Oral History of the Zombie War (Broché)Max Brooks, fils de Mel, n'est pas un béotien quand le sujet à traiter est celui du fameux mort-vivant, le zombie. Déjà coupable d'un premier bouquin sur la survie après une infestation de mort-vivants (The Zombie Survival Guide: Complete Protection from the Living Dead), étrange parodie de guide de survie qui étonne par sa complétude et son sérieux, Max prolonge son oeuvre horrifique avec ce rapport sur la guerre mondiale Z.Construit comme un rapport factuel commandé par l'UNPCR (la Commission d'Enquête d'Après-guerre des Nations Unies), le livre est une collection de témoignages sous la forme d'interview de personnages ayant participé de près ou de loin aux moments clés de la guerre mondiale Z. Il n'y a donc pas à proprement parler d'intrigue. L'Histoire avec un grand H se déroule lentement, chronologiquement, à travers les yeux de ces quelques survivants. L'approche est résolument réaliste, l'auteur s'attachant à traiter les aspects sociaux, économiques, militaires et politiques d'une menace à l'échelle planétaire différente de tout ce que l'Humanité ait jamais connu. Les zombies ne sont finalement qu'un prétexte pour mieux imaginer comment le monde réagirait après une telle gueule de bois.Cela peut paraître aride au premier abord, c'est pourtant passionnant. Chaque histoire se dévore et les personnages sont attachants. Max égratigne au passage quelques travers de son Amérique natale, comme l'armée, le gouvernement ou la toute puissance des médias (il s'est d'ailleurs fait traiter de gauchiste pour ça.) Fort heureusement, le reste du monde n'est pas en reste et l'auteur s'est attaché à étudier autant que possible toutes les implications au niveau mondiale, du niveau micro au niveau macro.En conclusion, je recommande chaudement ce divertissement intelligent.
Citation de: HarsiesisSinon en ce moment je lis l'Ombre du Vent, qui était sorti il y a un ou deux ans je crois et qui apparemment a eu pas mal de succès. C'est une sorte d'enquête sur l'auteur d'un livre trouvé par un barcelonais après la guerre... pour l'instant je trouve que ça se lit bien et est assez vivantLu il y a 3/4 ans, c'est de Zafòn. J'avais beaucoup aimé, à noter que c'est très représentatif de la littérature espagnole, dans le ton, dans l'atmosphère, dans l'attention portée aux personnages secondaires. Un très joli roman.
(Chrysos ne lit pas ce spoil ^^)Spoiler (click to show/hide)C'est peut-être appréciable pour qqn qui a lu le cycle des robots, mais comme ce n'est pas mon cas, le fait de poser Seldon en instrument de Daneel est ce qui m'a fait détester la fin de Fondation. Mais même sans ça le dernier tome m'a paru bien ennuyeux par rapport au reste du cycle Pour moi Asimov aurait du en rester au tome 3 (le 4 en soi n'est pas mal, mais fait plutôt office d'introduction au 5). Le 5 me donne presque envie de brûler la saga entière...
Dites-donc, les prix goncourt et renaudot de cette année, je ne sais pas ce qu'ils valent sur le plan littéraire, mais alors l'un comme l'autre, quand je les entend à la radio, j'ai comme des envies d'autodafé.
pour le goncourt il suffit de lire wikipedia