- Les autres Bronzes réapparaissent d'on ne sait où.
- Shuna est (très/trop) optimiste.
Son animation a encore cet aspect un peu automate. Je n'arrive pas à ressentir de véritable émotion en la voyant, même lorsqu'elle pleure un peu. Shiryu non plus ne ressent pas d'émotion et le montre en se préoccupant surtout de l'armure d'or (Shiryu serait-il un avatar de Tatsumi ?)
- Mû récupère l'armure d'or et la file en douce à Seiya dans cette version... C'est bien pratique ces petits médaillons, mais vraiment pas spectaculaire.
- Seiya (traduit du Seiya) : " T'as envie d'être affreusement incompétente ? ", puis il balance sa petite vanne piquante. Il n'a pas grandi, lui.
- Saori, par la voix de Viriginie Ledieu, fait en revanche bien plus âgée que dans les années 80. Certes, Saori est plus rapidement assimilée à Athéna et moins gamine mais tout de même, elle a une voix de femme d'âge mûr.
- Un peu d'originalité dans les animations d'attaques avec les corbeaux et la chaîne d'Andromède.
Ici, Saori a des doutes et un malaise par rapport à sa nature d'incarnation divine quand à ce moment du manga elle voulait se montrer à la hauteur de son rôle révélé. Une sorte de cheminement inverse, même si, dans l'original, elle apprenait et voyait sa conscience grandir au fur et à mesure. La récupération du sticker d'or (et les conditions qui y ont mené) l'interroge.
- Cela nous amène à un début de flirt sans discrétion, sur fond de réflexion sur la destinée et de clair de lune. Situation inévitablement interrompue par l'arrivée du vol de corbeaux.
- L'attaque des plumes m'impressionne moins, probablement parce qu'ils restent debout et ne semblent pas si souffrants.
- La transition " Saori constate ébahie " - " Saori vole endormie accrochée par des fils aux corbeaux " n'a pas progressé en plus de 30 ans et ne se fait pas bien.
- Jamian fait un peu moins laideron qu'en 86 (mais cette exagération était un choix artistique à l'époque). Il n'a pas retenu des 80s qu'il fallait prendre du fil de pêche plutôt.
- Seiya Jarre nous offre un son et lumière nocturne devant une cascade !
- Shina is back ! Elle est plutôt au niveau, mais son maquillage la rend plus visible et moins mystérieuse voire terrifiante que son masque intégral. Notons qu'elle sait pertinemment que Saori = Athéna et a donc ici choisi son camp selon la prophétie. Son semblant de regret est intéressant lorsqu'elle voit le choix de Seiya. On peut en profiter pour penser que Seiya n'avait pas l'air tant blessé et aurait pu combattre avec Athéna à ses côtés (de mémoire il n'était pas en état en 86, d'où son choix du saut).
- Un peu d'histoire sur le secours de Saori enfant. L'apparition des ailes de Pégase sur Seiya donne nefin une explication plus rationnelle à sa survie avec Saori (chute de 300 m !) que le pouvoir de l'amour de 86.
- Saori dit encore " Seiyar " ?
- Le saut se fait avec une caméra en plongé, ce qui rend le vide impressionnant, mais on perd en sens par rapport à la réplique de Shina qui le compare à une étoile filante. La récupération se fait dans l'animation des ailes qui se transforment en une sorte de comète plongeant vers le sol (au lieu de chercher à planer d'ailleurs).
- On n'attendra pas le petit matin pour prendre des nouvelles de nos tourtereaux au réveil. Jamian part constater de suite et Saori cherche rapidement Seiya. Enfin un moment d'émotion avec la princesse pleurant son chevalier, toujours aussi bref mais là c'est Jamian, et non Shina, qui se charge de mettre fin à la séquence tristounette.
- Pourquoi le Sanctuaire mettrait aussi vite Shina à l'écart ?
- Après Shina, Ikki is back avec sa grosse voix !
Les Ailes du Phénix avaient bien commencé mais la fin tombe à plat, quel dommage !
- Beaucoup de dissensions apparaissent au grand jour (façon de parler) d'un coup : Seiya/Saori et cie vs. Ikki(/Grad ?) vs. le Sanctuaire (Dante et Algol) vs. Shina qui d'un coup semble douter (ou tient aussi à sa vengeance personnelle).
- Le positionnement d'Algol est clairement exposé mais un peu étrange : il choisit le Grand Pope contre sa déesse qui devrait être la référence suprême et dont le Grand Pope n'est que le représentant.
Je veux bien qu'il y ait la prophétie mais, si c'est cela, c'est un peu bancal comme raisonnement.
- Dante et Algol ont un côté " Dupond et Dupont " ensemble.
- Ikki est clairement montré comme simplement poussé par l'attaque de Dante mais ce dernier le voit d'un coup décapité (ou simplement sans sa tête) ? Pas très crédible comme illusion...
- Les chaînes de Shuna pour achever l'épisode et faire un plan original, où les protagonistes sont vu chacun de leur côté avec la chaîne entre les deux.
- Les scènes de nuit sont tout de même moins spectaculaires, ça manque de lumière. Difficile de faire autrement avec de la 3D à rendu photoréaliste là où garder les couleurs (à peine assombries éventuellement) dans l'anime permettait de garder une vision claire des choses.