Mmmmh, SUD qui écrit des courriers pour défendre leur intervenant France Inter. Cette volonté de ne SURTOUT PAS mentionner l'islam. Surtout pas.https://www.facebook.com/sudeducalsace/posts/3429079507316420?__tn__=-REt les antifa qui défendent le CCIF aussi :https://www.facebook.com/afasxb/posts/136951971474832?__tn__=-R
Décomplexée, Guilfoyle semble l’être aussi sur son lieu de travail. Après sa prestation remarquée de la fin août (saluée par Donald Trump comme « l’une des meilleures qu’[il ait] jamais vues » et « tellement pleine d’énergie »), la voilà de retour dans l’actualité, pour des raisons moins glorieuses. Dans une enquête du 2 octobre intitulée « L’histoire secrète du départ de Fox de Kimberly Guilfoyle », le New Yorker confirme les soupçons qui planaient depuis deux ans sur l’éviction express de cette ancienne présentatrice star de la chaîne, en juillet 2018.On y retrouve les éléments désormais familiers des cas de harcèlement sexuel qui ont fait tomber ces dernières années nombre d’hommes haut placés : des contrats de confidentialité empêchant les victimes de s’exprimer publiquement, des accords à l’amiable afin d’acheter leur silence et surtout une atmosphère d’abus de pouvoir au profit des puissants. En l’occurrence, d’une puissante. « J’écris sur ces affaires depuis l’affaire Anita Hill, en 1991, nous a écrit l’autrice de l’article, Jane Mayer, dans un e-mail, mais c’est la première fois que je couvre le cas d’une patronne femme accusée par une subordonnée femme de harcèlement sexuel sur le lieu de travail. »Quand sa jeune assistante à Fox News est embauchée en 2015, Kimberly Guilfoyle est une figure de la maison, à l’antenne depuis 2006. La plainte qu’est parvenu à se procurer le New Yorker détaille une armada de pratiques habituellement associées à la masculinité toxique des hommes de pouvoir. Préférant parfois travailler de chez elle, la présentatrice se baladait nue devant sa subalterne, exigeait de faire chambre commune avec elle lors de déplacements professionnels, avait pour habitude de montrer à qui voulait les voir les photos des pénis de ses anciens amants ainsi que des vidéos pornographiques et encourageait sa jeune recrue à céder aux avances sexuelles de ses supérieurs masculins… [...]Autrice de Delirium : The Politics of Sex in America (2012, non traduit), essai sur la contre-révolution sexuelle, l’historienne Nancy L. Cohen a observé de près l’ascension de cette nouvelle caste de femmes de pouvoir. « Au cours des quatre dernières années, Donald Trump a remodelé le Parti républicain à son image : narcissiste, raciste et misogyne, analyse-t-elle. Dans ce contexte, Kimberly Guilfoyle, comme quelques autres, s’est adaptée pour flatter les ego fragiles des hommes en place, ce qui est un des seuls moyens d’obtenir du pouvoir au sein du parti et du gouvernement. Elle exploite sa sexualité pour qu’ils se sentent machos et virils. »Si cette stratégie déroute, c’est qu’elle n’est pas destinée à séduire les mères de famille indécises ou les chrétiennes antiavortement, mais à réconforter les électeurs de Trump, « blancs, mâles et peu éduqués » sur leur masculinité mise à mal par la modernité et la crise économique. Ceci explique, conclut Cohen, que Guilfoyle ait pris pour modèle de réussite « les pires exemples de pouvoir masculin ».
Ouh, je sens venir des rageux chez les plus rigoristes...
il sera bien temps de le remplacer.
N’empêche, c'est a ce demander en quoi croit les pro catho, si Jésus descendait parmi nous maintenant, il ce ferait caillasser et traiter de tous les noms par ceux même qui demande son amour...
Vous oubliez qu'en plus il pratiquait la sorcellerie. Transfiguration de l'eau en vin, charme de multiplication des pains ...