https://www.leparisien.fr/amp/societe/tenues-a-l-ecole-on-vient-habille-d-une-facon-republicaine-estime-blanquer-21-09-2020-8388612.phpT'es bien gentil, Blanquer, mais il va falloir que tu nous expliques à quoi ressemble une "tenue républicaine". https://twitter.com/JeDisToutFort/status/1308095383114076163
Si le règlement de Cetelem impose de porter une tenue Cetelem, j'imagine la forêt de bonshommes Cetelem...
"raie apparente"
le truc c'est que "aucun sous-vêtement apparent", c'est trop facilement contournable.Par exemple: celles qui laissent apparaître le string au dessus du pantalon cesseront d'en mettre et porteront le pantalon de la même manière... et quand ce sera devenu la mode, t'auras remplacé "culotte apparente" par "raie apparente"
Sans vouloir défendre les partisan.e.s du string/slip/caleçon visible (parce que dans la catégorie "estétikachié", ça se pose là), je tiens à préciser, en tant que femme, que le problème du sous-vêtement ou de la peau qui apparait n'est pas toujours volontaire.
Quand on s'assoit, la ceinture du pantalon a tendance à descendre, or les fabricants de vêtements (pour économiser un peu de tissu ?) ont de plus en plus la manie de faire des hauts (chemises, t-shirts) qui ne descendent pas plus bas que la taille et des pantalons qui s'arrêtent déjà tout juste à la raie quand on est debout (le pantalon "taille normale" d'aujourd'hui correspond au pantalon "taille basse" d'il y a 20 ans).
Même quand on essaie de prendre une taille au-dessus, c'est la largeur qui est modifiée, mais c'est rarement le cas du bassin.
Certes, il y a des gens qui exagèrent et qui s'habillent avec deux abats-jours (un comme jupe et l'autre comme corsage) ou qui portent le pantalon tellement bas qu'on dirait qu'ils ont ch.é dedans, et ce sont ceux-là qui sont visés par la polémique, mais une réglementation atteindra aussi ceux et celles qui ont des problèmes pour trouver des vêtements adaptés à leur morphologie.
Et je précise que l'uniforme n'est pas une solution envisageable pour tout le monde : je connais des élèves qui n'auraient tout simplement pas les moyens de se les payer (quant à compter sur l'État pour les payer, ah !!! On attend toujours nos masques à l'heure où je vous parle).
A l’initiative de Riss, directeur de la publication de « Charlie Hebdo », des représentants de journaux français se sont réunis pour débattre des menaces qui pèsent sur la liberté d’expression. Plus d’une centaine de médias, dont « Le Monde », signent et publient une « lettre ouverte à nos concitoyens ».