"Oh, il a peaucoup chanché, fous safez!"
Ça fait le deuxième en pas longtemps, au bout de 10 y'a un cadeau bonus?
Brexit et Covid font fondre la main-d’œuvre au Royaume-UniCornalin, IseultDepuis fin 2019, le nombre de postes à pourvoir a bondi de 40 % à 50 % selon les métiers.Les employeurs britanniques vivent des temps perturbés. Aux bouleversements engendrés par le Covid-19 s’ajoutent les premiers effets du Brexit. Une simultanéité explosive: de nombreux secteurs manquent massivement de main-d’œuvre. Le nombre d’emplois disponibles en ligne enregistre une hausse de plus de 40 % depuis le dernier trimestre 2019 dans cinq des douze régions dupays, a révélé une étude réalisée par la société Adzuna. Sur les 27 catégories d’emplois proposées en ligne, six sont en hausse de plus de 50 %: l’industrie, la construction, les transports/logistique, la maintenance, les ressources humaines et l’aide à domicile. Sans prendre en compte les absences déjà remarquées dans les services, en particulier l’hôtellerie-restauration.Pour le cabinet d’audit KPMG et la Confédération du recrutement et de l’emploi, la situation est grave: en juin, le nombre de travailleurs disponibles a plongé plus rapidement que jamais depuis 1997. Au début du mois, la Chambre de commerce britannique a indiqué que 70 % de ses adhérents désireux d’embaucher avaient eu du mal à trouver des employés.Quarantaines en hausseAux yeux de Michael Saunders, économiste à la Banque d’Angleterre et membre de son comité de politique monétaire, le Brexit et la pandémie sont responsables de cette situation. « Il y a eu un flot important de départs de citoyens européens depuis la fin 2019, ce qui a réduit l’offre de main-d’œuvre , a-t-il précisé lors d’un récent discours. Les changements de comportement peuvent aussi affecter l’offre de main-d’œuvre dans certains secteurs. Par exemple, des gens peuvent hésiter à travailler s’ils sont en relation avec des consommateurs par crainte pour leur santé ou à cause du risque d’être obligés de s’isoler s’ils ont été en contact avec quelqu’un qui a été testé positif .» Le nombre d’employés à la recherche d’un emploi a également atteint son plus bas niveau depuis vingt-cinq ans. En pleine pandémie, la priorité est à la stabilité.Depuis un an et demi, entre 500.000 et 1,3 million de citoyens de l’Union européenne ont quitté le Royaume-Uni. L’Association du transport routier en a vu les conséquences directes: un manque de 100.000 conducteurs de camion en raison du départ de nombreux Européens de l’Est. Environ 60.000 en raison du Brexit et 40.000 à cause de la pandémie. « Ils sont rentrés chez eux et depuis ils ne veulent plus revenir, vu qu’ils peuvent gagner autant en Allemagne, en France ou en Pologne » , a expliqué à la BBC Dan Gray, le directeur commercial de Willmotts Transport.Cette situation guère réjouissante a empiré ces dernières semaines avec la nouvelle vague de contaminations liée au variant Delta. Lors de la semaine du 15 au 21 juillet, 1,2 million d’Anglais et de Gallois ont dû s’isoler après avoir été prévenus par la NHS App (l’application mobile du système de santé), par SMS ou par e-mail, qu’ils avaient été cas contacts, en plus des 307.758 nouveaux cas positifs. Les effets de cette «pingdémie» sont déjà bien visibles. Les principales chaînes de supermarché n’arrivent plus à trouver de chauffeurs disponibles pour leurs livraisons. Leurs employés en magasin sont également touchés. Marks & Spencer est tellement affecté que son directeur exécutif, Steve Rowe, craint «de devoir réduire les horaires d’ouverture des magasins» . Le distributeur Iceland a dû embaucher 2000 employés temporaires « parce que 4 % de (ses) 30.000 employés ont été “pingués” », a fait savoir son patron, Richard Walker. Il a même été forcé de fermer certains sites temporairement.À travers le consortium britannique de la vente au détail, l’entité de lobbying du secteur de la distribution, ils réclament que le gouvernement exempte de quarantaine les employés ayant reçu les deux doses du vaccin contre le Covid-19. Mais, pour le moment, le gouvernement maintient le cap. À chacune de ses interventions, le premier ministre Boris Johnson répète le même message: « Vous avez été “pingués” par la NHS App? Vous devez vous isoler! » Et la règle ne changera que le 16 août.
Pour quelqu'un qui passe son temps à parler d'immigration, c'est un peu dommage qu'il ne sache pas faire la distinction entre un immigré et un étranger. Et encore plus savoureux, il ne savait même pas qu'il était immigré, le prenant même comme une insulte lorsqu'un journaliste lui fit remarquer.
Pendant ce temps, quelques minutes de sourire narquois gratuit.Spoiler (click to show/hide)https://www.lefigaro.fr/conjoncture/brexit-et-covid-font-fondre-la-main-d-oeuvre-au-royaume-uni-20210801
Je ne le connais pas et c'est tout ce qu'il mérite.Pendant ce temps, quelques minutes de sourire narquois gratuit.Spoiler (click to show/hide)https://www.lefigaro.fr/conjoncture/brexit-et-covid-font-fondre-la-main-d-oeuvre-au-royaume-uni-20210801
Oh il n'est pas à une contradiction près, genre récemment dans une de ses récurrente diatribe anti-Islam il te lançait que "Mohammed Ali ne s'appelle pas ainsi mais Cassius Clay" rejetant donc le droit de changer de nom... alors qu'il a lui même rejeté son prénom de naissance, Hossam (un nom qu'il n'aime pas qu'on lui rappelle), quand a obtenu la nationalité française