Non mais vivement le moins de novembre et que l'on soit enfin débarrassé de cet abruti.
4 MORE YEARS ! 4 MORE YEARS !
1460 jours...
Si on devait chercher une chose positive, on pourrait se dire que ce seraient les quatre dernières et qu'il n'y en aurait plus derrière. Mais non je n'espère pas, 4 p... d'années, 48 mois, 1460 jours...
S'il devait être réélu je pense qu'il tenterait d'abolir le XXIIe amendement (limitation à deux mandats), qui ne date que de 1951, pour rester au pouvoir le plus longtemps possible.
Ou bien "être un connard", c'est selon. La distinction est ténue.
C'est ce qu'on appelle "faire une Poutine" !
Elles ne sont pas dans un modèle anthropologique musulman traditionnel : famille, enfants nombreux, femmes effacées. Un bon salafiste ne veut pas qu’on voie sa femme ni que celle-ci se mette en avant. Or les niqabées ne sont pas invisibles : au contraire elles veulent être vues, elles veulent sortir. Cette ambivalence profonde entre pudeur et exhibitionnisme est un élément clé, qui rebute par ailleurs bien des maris potentiels.La rhétorique féministe qu’elles mettent en avant (mon corps c’est mon affaire, je veux me réaliser moi-même, non à la marchandisation du corps de la femme) est en opposition avec la culture traditionnelle à laquelle on associe le voilement.De plus, et c’est une découverte intéressante faite par Agnès De Féo, la pratique religieuse des femmes niqabées est faible, même dans leur appartement privé.Comme si le port du niqab absorbait tout ce qu’il pouvait y avoir de religieux chez elles. Leur dévotion tourne entièrement autour de la mise en scène de soi-même. Agnès De Féo note que la profession la plus représentée chez les niqabées est… esthéticienne.[...]Les niqabées tiennent les hommes à distance, souvent en avançant le prétexte qu’ils ne sont pas assez dévots (mais qui peut bien être suffisamment dévot ?), elles contrôlent ainsi leur éventuel époux en lui faisant la morale en permanence (je suis plus religieuse que toi) tout en jouant sur la casuistique salafi (forme d’argumentation en théologie morale) pour faire des mariages temporaires, c’est-à-dire s’offrir des aventures.[...]Les niqabées vivent donc dans un univers imaginaire : recherche d’un prince charmant sur Internet, rêve de faire la hijra (Hégire) dans un pays musulman et, pour une petite minorité, fascination pour Daesh qui leur offre la communauté imaginée dont elles rêvent, mais qui ne tient que par la guerre. Elles ne sont jamais adaptées à la société qui les entoure.C’est pourquoi le niqab n’est souvent qu’un moment dans la vie de ces « born-again » ou converties. Elles ne basculent pas, en mettant le niqab, dans une contre-société salafisée et territorialisée. Elles se font leur « cinéma », d’où la véhémence de leur propos et la recherche de l’incident, ce qui les distinguent des femmes voilées, version « foulard », qui cherchent l’insertion professionnelle, la reconnaissance et tout simplement la banalisation de leur voile. Une niqabée ne supporterait pas la banalisation de son geste.
Pendant ce temps, j'apprend que les blindés russes et américains jouent parfois aux autotamponneuses quand ils se croisent en Syrie. Est-ce bien raisonnable de confier des véhicules armés à de tels grands enfants ?
Il a tué celui qui manque de respect au prophète.
J'ai vu ça. Et on va en avoir d'autres vu que ce courant se répand en Asie et qu'il "se consacre exclusivement au culte du prophète Mahomet".