+1En ce qui me concerne, ce gros sac à merde de fils de pute de parent d'élève de mes deux est directement complice de ce meurtre. En taule, et sans espoir d'en sortir un jour de préférence, s'il-vous-plaît.
Encore une belle illustration de la magnifique invention que sont les réseaux sociaux.-Sergorn
Et encore une belle illustration que les religions, c'est vraiment un poison qui fait ressortir ce qu'il y a de pire en l'être humain
combien de musulmans pensent, sans être pour autant des criminels en puissance, que finalement les victimes l'ont bien cherché?Doit-on remettre l'affaire Mila sur le tapis?
Oui il y a une infime minorité de désaxés qui passent à l'acte, mais combien de musulmans pensent, sans être pour autant des criminels en puissance, que finalement les victimes l'ont bien cherché?Doit-on remettre l'affaire Mila sur le tapis?
La religion est ce qu'on en fait
C'est bien ça le problème.
Jugement radical de la religion tout de même.L'usage de la religion peut en effet être ce qui fait ressortir ce qu'il y a de plus barbare en l'homme, mais dans ses dimensions transcendantes et métaphysiques, la religion peut aussi présenter ce qu'il y a de plus serein pour l'âme humaine.
Quand on voit Notre Dame de Paris, que l'on écoute des chants grégoriens ou que l'on a des attentes supra-humaines (lorsqu'on a la Foi), la religion peut aussi être ce que l'on peut envisager de plus merveilleux face aux tourments de l'âme...
Combien de centaines de millions de morts dans l'histoire à cause de problématiques non religieuses: pillages de ressources, jalousies matérielles, course au profit, capitalisme, communisme etc...?
N'importe quel outil peut devenir une arme mortelle, même un simple véhicule, alors qu'il n'a pas été conçu dans ce but. Doit-on pour autant les rejeter en bloc ? Les frapper d'un anathème irrévocable sous prétexte que maintes fois ils ont été détournés de leur usage d'origine pour faire le mal ?
Mais des tas de choses peuvent être détournées et utilisées de façon malveillante ! La religion est loin d'être une exception. N'importe quel outil peut devenir une arme mortelle, même un simple véhicule, alors qu'il n'a pas été conçu dans ce but. Doit-on pour autant les rejeter en bloc ? Les frapper d'un anathème irrévocable sous prétexte que maintes fois ils ont été détournés de leur usage d'origine pour faire le mal ?
Je ne suis pas loin de commencer à considérer que la foi relève plus du gros problème psychiatrique que de la métaphysique réfléchie et bienveillante. De mon point de vue il y bien plus de morts, de souffrances et de haine transmise par delà les générations à cause de la religion (athéisme communiste compris, ce n'est après tout qu'une autre religion puisque le communisme affirme aussi détenir toutes les réponses à toutes les questions) qu'à cause du capitalisme.
Il y a un énorme tabou politique concernant la radicalisation de l'islam en France
Les réseaux sociaux c'est juste les nouveaux cafés du commerce.
Une première vidéo est postée le 8 octobre sur la page Facebook de Brahim Chnina, père d’une élève. Il y apparait le visage recouvert d'un masque chirurgical. “J’ai décidé de faire cette vidéo pour vous dire en face que ma fille a été choquée par le comportement de son prof. Je ne veux même pas employer le mot prof, c’est un voyou. Un voyou d’histoire qui est censé leur apprendre l’histoire et la géographie. Cette semaine il s’est permis de leur dire “les élèves musulmans lèvent la main”. Ils ont levé la main. Et il leur a dit voilà vous sortez. Ma fille a refusé de sortir en lui demandant pourquoi. Il a dit qu’il allait diffuser une photo qui allait les choquer. Certains élèves sont sortis, ma fille n’est pas sortie. Effectivement il a montré un homme tout nu, en leur disant c’est le prophète (pause). Quel est le message qu’il a voulu passer à ces enfants, quelle est la haine ? Pourquoi cette haine, pourquoi un prof d’histoire se comporte comme ça avec des élèves de 13 ans. (...) Et à mon avis il se comporte comme ça depuis des années. Alors tous ceux qui ne sont pas d’accord avec ces comportements, ou alors tous ceux qui ont rencontré des difficultés où leurs enfants ont été renvoyés parce que ma fille elle a été renvoyée de la classe parce qu’elle n’a pas voulu sortir, le prof il l’a renvoyée en lui mettant un autre motif. Si vous voulez qu’on soit ensemble et qu’on dise stop, touchez pas à nos enfants, envoyez moi un message au 06 XX XX XX XX, ce voyou ne doit plus rester dans l’éducation nationale, il ne doit plus éduquer des enfants il doit aller s’éduquer lui-même. Merci de partager un maximum, je pense que vous êtes tous concernés.” Partagée 182 fois à la date du 16 octobre, cette vidéo n’a pas un retentissement immense. Brahim Chnina a fait en tout 8 publications sur le sujet depuis le 7 octobre, dont la dernière, une republication de son live, vendredi à 15h04. [...]Au cours de cette attente, Sefrioui interroge la jeune Zaina, la fille de Brahim Chichna, qui livre une version différente de celle de son père, l'invitation de l'enseignant à sortir de la salle étant cette fois présentée comme une simple proposition : "On était en train de faire un cours sur l’Islam, il a dit les musulmans levez la main. Avec une copine de ma classe on n’a pas compris mais on a levé notre main, il a dit "là je vais montrer une image, vous allez peut-être être choqués donc vous pouvez sortir du cours". Du coup on a dit on est comme tout le monde donc on veut voir comme tout le monde la photo que vous allez montrer, du coup moi j’ai refusé de sortir du cours, il a montré la photo, c’est le prophète Mohammed sans vêtements, il nous l’a montrée comme ça. Dans la classe on a tous été choqués, même ceux qui étaient pas musulmans ils ont tous été choqués, on a tous été choqués et on est partis voir la CPE." Interrogée par Sefrioui, Zaina poursuit : "Ils nous respectent pas, pour eux on est pas égal à eux, comme eux. Comme je me suis exprimée, il a dit que je dérangeais son cours donc il m’a exclue de l’école deux jours." À noter que la teneur de son témoignage est retranscrite d'une façon conforme au récit de son père, mais déformée par rapport à la version de l'adolescente, dans un texte en surimpression de la vidéo : "il leur demande alors de sortir du cours car il allait montrer une image qui risquait de les choquer !!!"Sefrioui prend ensuite la parole, pour raconter le rendez-vous avec la principale et la CPE : Après avoir invoqué un "manque de respect à la base de le laisser attendre une heure dans le froid et le vent" il poursuit : "on a expliqué la gravité de la chose mais ça n’avait pas l’air de choquer autrement la principale, ni la CPE. Apparemment elles étaient au courant, et que ça se faisait depuis 5-6 ans. Ca fait 5-6 ans que des enfants de 12-13 ans, des musulmans (...) et ça ne pose aucun problème. Nous avons exprimé notre désaccord, et notre stupéfaction, de savoir que l’administration pouvait savoir ça et le tolérer, d’ailleurs on nous a dit même que c’était sur le site du programme de l’école. Donc on lui a fait savoir une chose, c’est que nous, Conseil des Imams de France, et les musulmans de France, refusent catégoriquement ce genre de comportements irresponsables et agressifs et qui ne respectent pas le droit de ces enfants à garder leur intégrité psychologique. Donc on a dit qu’on exigeait la suspension immédiate de ce voyou parce que c’était pas un enseignant. Un enseignant c’est autre chose, c’est une fonction qui a beaucoup de noblesse et c’est le cas d’une bonne partie des enseignants qui respectent leur travail. (...) Elle nous a fait savoir qu’elle allait remonter l’information. Effectivement, (...) dans l’après-midi, l’inspection académique a contacté le parent d’élève, et lui a exprimé aussi son étonnement de savoir que ça s’est passé comme ça dans le cours de ce voyou, et qu’ils allaient sévir, qu’il allaient vraiment s’activer dans ce sens-là et qu’ils allaient envoyer des inspecteurs voir ce voyou." "Nous nous attendons dans les jours à venir des décisions de l’inspection académique, conclut Sefrioui, qui ajoute : "Zaina n’a pas osé parler à ses parents le premier jour, parce qu’elle avait honte de parler, elle se sentait même coupable d’avoir vu cette image, c’est dire à quel point ils infligent à ces enfants de 13 ans une violence psychologique".Qui est Abdelhakim Sefrioui ? Se présentant comme membre du bureau du “conseil des imams de France”, par ailleurs fondateur d’un “collectif Cheikh Yassine”, du nom d’un dirigeant du Hamas tué en 2004, il était à la tête d’un groupe de manifestants ayant fait intrusion, en 2010, dans la mosquée de Drancy, où prêchait alors Hassen Chalgoumi, imam favorable au dialogue entre les religions, qui avait pris position en faveur d’une loi proscrivant la burqa dans l’espace public.[...]D’autres familles d’élèves ayant assisté à ce cours ont eu une réaction toute différente. "Il a fait ça pour préserver les enfants, pour pas les choquer, a expliqué un père vendredi soir, interrogé par le journaliste indépendant Clément Lanot. Mon fils, qui est musulman, a compris directement, que c’était pas pour discriminer, qu c’était par gentillesse. Il m’a dit que c’était un prof très aimable, pas islamophobe ou quoi que ce soit".
Les religions portent en elles la racine de nombreuses souffrances rien que par leur principe de base : nous détenons la vérité vraie et absolue. Ce qui ne peut que déboucher sur le rejet de l'autre. Certes des religieux et des croyants ont fait l'effort de se distancer d'un tel postulat de départ, et on ne peut que les en félicité, mais la nature humaine fait qu'il est beaucoup plus facile de se laisser aller à une lecture littérale qui a souvent l'avantage de renforcer le corps social en resserrant les liens par l'approche "c'est nous contre eux" que d'essayer de prendre du recul sur son texte sacré, les interprétations qui en ont été faites, ses pratiques, etc.
Le sikhisme considère que toutes les religions peuvent mener vers Dieu. Si la religion sert à se croire supérieur aux autres, il ne s'agit pas de religiosité – mais de vanité humaine, orgueil ou démon que le sikhisme demande de détruire (les symboles physiques sikhs sont là pour rappeler cet ordre à la conscience : combattre, vaincre et tuer l'ego, qui empêche la communion avec Dieu-Un).