De toute façon, le fait d'avoir des gamins reste le contraceptif le plus répandu et efficace.
Ça me fait penser à un cousin éloigné qui a des mouflets de partout (qui ne veulent pas le voir et / ou dont il ne s'occupe pas) et autant de pensions alimentaires (qu'il ne paie pas). Comme lui a dit ma grand-mère, "Si ça te démange tellement t'as qu'à aller fourrer des taupinières, ça te coûtera moins cher !".
Avant d'étudier à Harvard, Amanda Gorman a été élevée par une mère célibataire, elle a eu des problèmes d'élocution qui ont fait croire à un retard. Son travail et sa vie sont forcément marqués par son expérience et son identité de femme noire. Dès lors, n'est-ce pas pour le moins une occasion manquée que de confier ce travail à Marieke Lucas Rijneveld??"Ce choix est un exemple typique du "surplomb de la pensée blanche", abonde dans ce sens l'écrivaine néerlandaise Olave Nduwanje, citée par De Standaard. "Comment ont-ils pu proposer quelqu'un qui n'a pas d'expérience en traduction et qui ne dispose pas de solides connaissances en anglais?? Ce choix s'explique par des motivations commerciales et par la paresse blanche : les personnes blanches sont en effet convaincues de pouvoir comprendre n'importe quel vécu." [...] Ce retrait n'a pas pour autant mis fin au débat dans la presse belge et néerlandaise. Ainsi, sans pour autant défendre le premier choix de l'éditeur, le poète et traducteur Samuel Vriezen n'est pas d'accord avec l'idée que "seule une jeune femme noire soit capable de traduire l'oeuvre d'une jeune femme noire", comme il l'explique au quotidien belge De Standaard.Pour moi, poser le débat de cette façon constitue une menace pour le métier de la traduction littéraire. Je ne dis pas ça parce que j'ai peur de perdre ma propre position mais parce que ça touche à l'essence de notre profession. Un traducteur doit savoir dépasser sa propre identité. En tant qu'homme blanc cisgenre, je dois pouvoir traduire l'oeuvre d'une Américaine queer. Il ne s'agit pas de connaître l'expérience de l'autre, mais de reconnaître l'altérité de cette expérience."Il n'est pas facile de déterminer quelle personne est la plus à même de traduire un texte littéraire, ajoute l'autrice et traductrice Gaea Schoeters, dans un autre article du Standaard. Les critères sont nombreux, comme la maîtrise de la langue, la connaissance du genre, la sensibilité... "Je peux entendre que l'on choisisse quelqu'un qui, de par son propre parcours, a une meilleure perception des références culturelles. Mais j'ai un peu peur qu'on tende vers une approche où seules les femmes peuvent traduire d'autres femmes, les Blancs d'autres Blancs, et les Noirs d'autres Noirs." C'est vrai, tranche le chroniqueur Mohamed Ouaamari dans les colonnes du Morgen : iI en va des traducteurs comme des écrivains, ils doivent pouvoir concevoir d'autres réalités que la leur et "c'est la qualité de la plume, pas la couleur de peau, qui fait la valeur d'un texte". Mais il ajoute aussitôt : "Le problème, c'est qu'il n'y a à ce jour pratiquement pas de place pour les plumes issues des minorités, et que le secteur littéraire est encore très largement blanc." Sans parler du peu de cas qui est fait du slam.En offrant une tribune à Amanda Gorman, Joe Biden et Kamala Harris ont montré qu'ils avaient entendu le mouvement Black Lives Matter. "Tout le contraire des éditions Meulenhoff qui, par leur choix, ont refusé de faire de la place à toute une scène qui lutte pour la reconnaissance de ce genre littéraire.""Peut-être les éditions Meulenhoff auraient-elles mieux fait de regarder du côté de Fayard", écrit De Standaard, relevant que l'éditeur français a fait le choix, pour traduire le texte d'Amanda Gorman, de l'artiste belgo-congolaise Lous and the Yakuza.
Je voudrais très sincèrement qu'on puisse ouvrir une souscription publique pour faire un charter, le bourrer à ras-bord et l'envoyer parachuter les cons au Mongolistan...
Si jamais t'ouvres une cagnotte, je participerai !
Je participe à la fois pour le charter et la fourniture de cons pour le remplir !
Vous avez pas pensé à le faire stériliser? Nan parce qu'un type qui fourre sa queue partout où il peut sans se soucier des conséquences, j'appelle ça un clebs en fait
Ouais ! Allez ! Quelle bonne idée !https://www.lefigaro.fr/international/covid-19-le-texas-leve-l-obligation-du-port-du-masque-va-rouvrir-l-economie-a-100-20210302
Le plus comique, c'est que l'autrice noire elle-même qui a choisi l'écrivaine blanche pour assurer sa traduction. Du coup, va-t-on l'accuser d'ethnomasochisme?
Pas gentil d'insulter les chiens en les comparant à Trump.
Nan mais à partir du moment où c'est l'auteur lui-même qui choisit son traducteur, y'a juste RIEN à dire, en fait. Donc les abrutis de SJW qui se mêlent de ce qui les regarde pas, pouet pouet camembert ( pour rester poli )