The T-72B3, a product of Uralvagonzavod in Nizhny Tagil, is one of Russia’s newer tanks. And unlike, say, the T-64BV, the T-80U or the T-72AMT, Ukrainian industry doesn’t have much experience with the type.So when a Ukrainian tanker with the callsign “Kochevnik” ran into problems with his captured Russian T-72B3—problems local expertise couldn’t immediately solve—he called Uralvagonzavod tech support. And incredibly, the help line actually helped.Militarnyi captured Kochevnik’s calls on video.
Les promoteurs immobiliers chinois, qui croulent sous les stocks, sont prêts à tout pour vendre appartements et maisonsSimon LeplâtrePour contourner les restrictions qui empêchent les baisses de prix, les promoteurs chinois multiplient les cadeaux allant de la bouilloire électrique à la voiture en passant par le lingot d’or.Elle trône au milieu d’une vaste salle des ventes aux murs carrelés de faux marbre, entre deux panneaux rouges, et les roues baignant dans un amas de papiers dorés : dans cet écrin, la petite voiture électrique Wuling beige sourit aux clients de la résidence Binjiang, un immense complexe au nord de Xi’an, métropole du centre de la Chine.A côté de la voiture, un autocuiseur à riz, un purificateur d’air, un réfrigérateur et une imposante bouilloire électrique. Autant de cadeaux offerts pour l’achat d’un appartement par ce promoteur qui peine à trouver des acheteurs, alors que l’immobilier chinois traverse une crise sans précédent. « Les cadeaux valent environ 40 000 yuans (5 175 euros), mais, si vous n’en voulez pas, on peut vous donner de l’argent directement », précise un agent immobilier en costume.La pratique est courante en Chine. Officiellement, les promoteurs n’ont pas le droit de baisser les prix au-delà d’une fourchette, souvent fixée par les autorités locales à 10 % ou 15 % des prix moyens. Certains promoteurs ont été accusés de « réduction malveillante des prix ».Trésors d’inventivitéEn mai, deux entreprises de la ville de Kunshan, à proximité de Shanghaï, ont ainsi écopé d’une amende pour avoir proposé des baisses de 25 % sans autorisation. « La réduction non autorisée a affecté les ventes des résidences alentour, ce qui a perturbé l’ordre normal du marché », avait justifié le régulateur immobilier local, auprès de la presse chinoise.En réaction, les promoteurs déploient des trésors d’inventivité pour contourner ces restrictions : ils proposent souvent la décoration intérieure, des places de parking gratuites, et parfois même des lingots d’or pour l’achat d’un bien immobilier. En 2022, certains ont accepté des paiements en ail ou en pastèques.Résultat, malgré deux ans de crise immobilière, les tarifs officiels sont quasiment stables : les prix du neuf ont baissé de 0,2 % depuis un an, et ceux de l’ancien de 2,4 %, d’après la China Index Academy, un cabinet de conseil immobilier. Faute de baisses, le nombre des transactions immobilières a plongé de 19,1 % sur un an en août, et au moins 80 autres promoteurs chinois ont fait défaut depuis deux ans.Arsenal de mesuresLa volonté de contrôler les prix dans une bande étroite remonte à 2016 : au lendemain d’une année noire pour l’immobilier, les autorités avaient facilité les achats, abaissé les taux d’intérêt, au point qu’une nouvelle envolée des prix s’est produite. Dans certaines villes, les prix ont augmenté de 20 % à 30 % l’année suivante.Pour limiter les mouvements, à la hausse à l’époque, les collectivités locales ont imposé des limites sur les mouvements de prix, en plus d’un arsenal de mesures pour limiter les achats : augmentation des apports initiaux, limite à l’achat de deuxième logement, restriction pour les non-résidents… Aujourd’hui, des dizaines de municipalités font marche arrière pour tenter de relancer le marché moribond.L’obsession des autorités pour la stabilité des prix fait sens en Chine, où 70 % de la fortune des ménages est investie dans l’immobilier. Des propriétaires manifestent parfois contre des promoteurs après des baisses de prix importantes, qui dévaluent indirectement la valeur de leur logement. De plus, beaucoup d’emprunts sont garantis par des biens immobiliers, à la fois pour des particuliers et des entreprises. Les collectivités locales, dont en moyenne 40 % des recettes provenaient des ventes de terrains immobiliers en 2020, n’ont pas non plus intérêt à voir les prix chuter.313 millions de mètres carrés en stockJusqu’ici, les autorités semblaient vouloir opérer une correction des prix contrôlée, sur plusieurs années. Mais la chute des transactions pose un autre problème : faute de rentrées d’argent, même les promoteurs considérés comme raisonnables, comme le numéro un du secteur, Country Garden, peinent à payer leur dette.En août, les promoteurs chinois avaient 313 millions de mètres carrés en stock, soit environ 3,5 millions d’appartements, en hausse de 20 % sur un an, d’après des chiffres officiels. Les autorités semblent prendre conscience de ce problème : ces dernières semaines, plusieurs éditoriaux ont été publiés dans les médias d’Etat appelant à abolir ces limitations, pour permettre aux promoteurs d’écouler leurs appartements invendus. Début septembre, plusieurs villes, dont Canton, la capitale du Guandgong, au sud-est, ont décidé de relâcher ou même d’abolir ces mesures de contrôle
Ça me fatigue, cet encroûtement de la vie politique...
D'un autre côté le dernière fois qu'on a eu un jeune ambitieux qui a fini élu Président et tout... ça nous a donné Macron
D'un autre côté le dernière fois qu'on a eu un jeune ambitieux qui a fini élu Président et tout... ça nous a donné Macron -Sergorn
Un petit village du Finistère était dépourvu de commerce de proximité depuis 20 ans. Le maire a réussi à dénicher un couple très motivé pour reprendre l'affaire et ouvrir un bar-épicerie. Il s'agissait d'un couple gay, et peu de temps après l'ouverture ils ont constaté qu'ils étaient la cible d'attaques homophobes. Résultat : malgré le soutien que leur témoigne nombre d'habitants du village, ils mettront la clé sous la porte à la fin du mois prochain. Et le village sera de nouveau dépourvu de commerce de proximité, chapeau, les crétins homophobes ! https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/finistere/brest/temoignage-bande-de-phoques-victime-d-homophobie-ce-couple-jette-l-eponge-et-ferme-son-bar-epicerie-2849591.html