Bah que ça coince pour des gens peu importe : c'est pas une raison pour vouloir censurer ou cancel l'auteur comme certains le veulent visiblement et les menacer encore moins. Que ça choque c'est une chose (c'est même sans doute voulu lol) mais ce n'est pas encore un crime d'écrre ce genre de choses dieu merci. -Sergorn
Voilà, il a créé des trucs beaufs / de mauvais goût mais c'est surtout l'attitude en ligne (harcèlement sur les réseaux sociaux) qu'on peut vraiment lui reprocher.
Bah je crois avoir lu un jour que la BD en question, c'était juste un gros délire fantasque pour lui, des trucs qui n'existent pas dans la vraie vie. Je veux bien le croire mais il joue avec le feu quoi.
Wonlonski, Pef, Reiser et bien d'autres, ont faire pire, ou autant... et pourtant on ne leur a jamais tenu rigueur....
Je regrette mais PETIT PAUL par exemple c’est complètement burlesque même si ça concerne un handicap sexuel improbable d’un gamin
petit Paul a un gros pénis, toutes les fermières du coin rappliquent pour voir ça, ho ho ho. Mouais. C'est très basique.
Wonlonski, Pef, Reiser et bien d'autres, ont faire pire, ou autant... et pourtant on ne leur a jamais tenu rigueur.... Ce puritanisme qui s’installe... mais putain... Je regrette mais PETIT PAUL par exemple c’est complètement burlesque même si ça concerne un handicap sexuel improbable d’un gamin (Et cette étiquette autocollante sur la couverture à enlever... )
Si. Vuillemin dans les années 80 avec Hitler = SS montrant un homosexuel se faire battre à mort par des co-détenus juifs.
Je ne sais pas si vous aviez vu passer ça : https://www.marianne.net/societe/education/orthographe-grammaire-calculs-chez-les-aspirants-professeurs-aussi-le-niveau-a-baisse
Moi aussi je retrouve souvent des millions chez moi sans savoir ce qu'ils font la.-Sergorn
Je regrette mais PETIT PAUL par exemple c’est complètement burlesque même si ça concerne un handicap sexuel improbable d’un gamin (Et cette étiquette autocollante sur la couverture à enlever... )
Heureusement, j'étais en train de laver ma tasse de café donc elles n'ont pas vu ma tête (parce que tout se voit sur ma tronche, c'est mon drame quotidien ).
Je ne sais plus qui a dit que la pauvreté du vocabulaire induisait à terme la pauvreté de la pensée.
D'après le Flibustier de chez NordPresse il y a bien des scènes de sexe dans cette BD...
C'est pas forcément un mal.
Pareil, j'ai un collègue de 25 ans, titulaire d'un Master et qui pourtant ne reconnaît pas certains mots que personnellement je trouve communs. Je n'ai plus l'exemple en tête mais après une définition d'un verbe relativement banal, il nous a sorti "mais...mais c'est plus utilisé ça !"Ben...si...la preuve je viens de l'utiliser.Et ça fait des années que chez moi les étudiants confondent "défaillants" avec "déficients", c'est rigolo les cinquante premières fois mais au bout d'un moment les "bonjour, je suis déficient, je ne comprends pas", ça gonfle.
Je ne prends plus tout ça au sérieux depuis que j'ai entendu parler d'un rapport de l'inspection d'académie datant de 1915 (dans ces eaux-là) disant que les jeunes sont nuls par rapport à l'année dernière
Récemment, une de mes anciennes collègues a été embauchée au service communication et gestion des réseaux sociaux de la maison mère, ce qui sous-entend que tout ce qu'elle va écrire va apparaître aux yeux de tout le monde, alors qu'elle a un niveau plus que passable en orthographe (le nombre de fois que je me suis pris la tête entre les mains quand j'ai lu ses revues mensuelles envoyées à toute l'unité...). En plus des accents manquants, elle a du mal à faire les accords en genre et en nombre, mélange avoir et être, et a de sérieuses lacunes en conjugaison. Mais on l'a prise parce qu'elle gère super bien les réseaux sociaux et qu'elle sait faire du montage.
Antoine Guillot ne tremble -légèrement- dans ses bottes que sollicité de livrer son opinion sur l'homme Bastien Vivès -à distinguer de l'oeuvre, comme chacun sait. N'est-il pas troublé, par exemple, d'entendre le dessinateur expliquer de micro en micro que son but est d'exciter ses lecteurs ? "Moi je vends une petite histoire d'amourette sur la plage, expliquait Vivès sur Radio Nova en 2017, alors en promotion pour Une soeur (la vidéo vient d'être suspendue de YouTube, mais on peut écouter l'extrait ici) et le lecteur se dit merde alors, mais il a vraiment treize ans, c'est pas un peu jeune ? Ça m'excite mais ça devrait pas m'exciter. Il faut amener tranquillement en confiance le lecteur vers un endroit qu'il ne connait pas, pour le faire réfléchir sur sa vie, ses goûts, ses envies..."(*) "Je dessinais pour me faire bander" admettait déjà le dessinateur, évoquant ses débuts en 2011, au micro d 'une émission Mauvais genres, à laquelle participait...Antoine Guillot.
La révolte anti-Vivès avait-elle été anticipée par le festival d'Angoulême ? "On avait anticipé les critiques, mais pas leur ampleur, répond Guillot. On n'avait pas anticipé les réactions de personnalités repérées, comme Andrea Bescond (actrice, autrice, engagée contre les violences faites aux enfants, ndlr) ou Caroline de Haas". "Il y a derrière tout ça de longue date un procès en misogynie contre le festival" analyse-t-il, ajoutant aussitôt : "il est loin d'être infondé".
Ça dépend des situations, crois-moi
Si j'ai bien lu, le mec est une raclure au niveau harcèlement sur twitter
Ce grand artiste est aussi très franc sur la nature de ses motivations à dessiner de manière obsessionnelle des "oeuvres" pédopornographiques :(*) s'il ne s'agit pas de l'aveu que son but est d'inciter et de faire l'apologie la pédophilie, je ne sais pas ce que c'est.[...]Et qu'on me dise que je dois faire la différence entre l’œuvre et son auteur, ça me fait bien rigoler.
Vas-y, fais-moi rire et dis-moi qu'évidemment elle utilise "l'écriture inclusive"