https://www.20min.ch/fr/story/leur-bebe-na-pas-de-billet-ils-labandonnent-a-laeroport-886919501540
Je crois qu'il n'y a pas de mots assez forts pour qualifier ces deux m...
Ma foi, s'ils préfèrent celui-là. https://www.20minutes.fr/societe/4021885-20230203-martinique-drapeau-independantiste-noir-vert-rouge-adopte-collectivite
A Jérusalem, les attaques contre les chrétiens en hausseClothilde MraffkoDepuis le début de l’année, cinq actes de vandalisme ou d’agression perpétrés par des juifs ont eu lieu dans la Ville sainte. Les Eglises dénoncent l’inaction des autorités israéliennes.Jeudi 2 février au matin, un homme est entré dans la chapelle de la Condamnation, dans la vieille ville de Jérusalem, édifiée à l’endroit où Jésus aurait été promis à la mort par Ponce Pilate, première étape du chemin de croix dans la tradition chrétienne. L’inconnu a frappé une statue du Christ en bois avec un marteau. Une vidéo le montre criant : « Vous ne pouvez avoir d’idoles à Jérusalem, c’est la Ville sainte ! » Le gardien des lieux a fini par le maîtriser. La police a arrêté l’assaillant, un touriste américain juif orthodoxe, et l’a soumis à un examen psychologique.Il s’agissait de la cinquième attaque en cinq semaines contre des chrétiens, leurs lieux de culte et leurs propriétés en Terre sainte – contre treize sur toute l’année 2022 et neuf en 2021, d’après les données collectées par le Jerusalem Inter-church center et la campagne Protecting Holy Land Christians, qui regroupent diverses Eglises chrétiennes. « Ce n’est nullement une coïncidence si la légitimation de la discrimination et de la violence dans l’opinion publique et l’environnement politique israélien actuel se traduit aussi par des actes de haine et de violence contre la communauté chrétienne », a condamné le patriarcat latin de Jérusalem. « Bienvenue dans le nouvel Israël qui hait les chrétiens, encouragé et soutenu par l’actuel gouvernement ! », a écrit sur Twitter le père Nikodemus Schnabel de l’abbaye de la Dormition, située juste en dehors des remparts de Jérusalem.Tombes, centre culturel et restaurant vandalisésCertains membres du nouveau gouvernement israélien, tels que Bezalel Smotrich, ministre des finances, promeuvent une politique suprémaciste, dirigée contre ceux qui ne partagent pas leur religion et ceux qu’ils considèrent comme de « mauvais juifs ». « Plus que sur des agressions anti-chrétiennes, il s’agit souvent d’agressions contre les non-juifs », observe Marie-Armelle Beaulieu, rédactrice en chef de Terre Sainte Magazine, le journal des franciscains de la custodie de Terre sainte.Le 1er janvier, plus d’une trentaine de tombes ont été vandalisées dans le cimetière protestant du mont Sion, en contrebas de l’abbaye de la Dormition. Les caméras de vidéosurveillance montrent deux adolescents juifs lançant des pierres et démontant les croix, en plein jour et à visage découvert. Le ministère israélien des affaires étrangères a condamné l’attaque et les assaillants ont été arrêtés. Le 11 janvier, un centre culturel maronite a été vandalisé dans le nord d’Israël et des menaces en hébreu ont été tracées sur les murs du quartier arménien de la vieille ville de Jérusalem. « Mort aux chrétiens », « mort aux Arabes et aux Gentils » (terme qui désigne les non-juifs), « mort aux Arméniens » pouvait-on lire.Le 26 janvier, de jeunes juifs ultranationalistes ont attaqué un restaurant arménien porte Neuve, une des entrées de la vieille ville qui ouvre sur le quartier chrétien ; ils venaient d’être empêchés d’y pénétrer par la porte de Damas, à quelques centaines de mètres de là. Une vidéo les montre lançant chaises et tables sur la terrasse. « Ils ont crié : “les chrétiens, rentrez au Vatican” », raconte le propriétaire, Miran Krikorian. L’un de ses employés a été aspergé de gaz au poivre.Agressions d’ArméniensDeux jours plus tard, deux hommes juifs s’en sont pris à des Arméniens qui rentraient chez eux. Ils ont été arrêtés, l’un d’eux a été relâché depuis. Un autre groupe de jeunes juifs a escaladé les murs du patriarcat arménien pour décrocher les drapeaux. Des Arméniens les en ont empêchés, les assaillants juifs les ont alors attaqués et poursuivis, en hurlant : « attaque terroriste ! ». La police israélienne a mis en joue les Arméniens, protégeant les agresseurs et blessant un jeune chrétien lors de son arrestation. Ce dernier est toujours assigné à résidence.Ces agressions s’inscrivent dans la politique de judaïsation menée par les autorités.« Ceci est notre pays, affirme au Monde le père Afghan Gogchyan, chancelier du patriarcat arménien, l’une des plus anciennes communautés de Jérusalem. Nous n’avons toujours pas vu de réactions politiques. Nous espérons que c’est pour bientôt ». « Nous n’avons aucun interlocuteur, renchérit Marie-Armelle Beaulieu. Les Eglises n’ont pas de reconnaissance juridique dans l’Etat d’Israël. On est la minorité de la minorité ». Le quartier arménien, précise-t-elle, se trouve à proximité de yeshivot, des écoles religieuses juives, « qui ont un discours radical politiquement et antichrétien. On leur dit que les chrétiens souillent la terre d’Israël ».Dans ce contexte, les Arméniens ont créé un groupe What’s App pour alerter en cas d’attaque. Le 8 février, ils doivent rencontrer la police et espèrent obtenir une condamnation de l’agent qui a frappé le jeune Arménien. Les agressions « se succèdent et personne n’est puni », regrette M. Krikorian. Dans une réponse au Monde, la police israélienne indique avoir arrêté plusieurs suspects liés à ces différentes attaques, précisant que « des mises en examen ont été prononcées et que pour d’autres cas une enquête est toujours en cours ».Les propriétés des chrétiens convoitéesA Jérusalem-Est, partie arabe de la ville annexée illégalement par Israël en 1967, ces agressions s’inscrivent dans la politique de judaïsation menée par les autorités, qui touche les propriétés des différentes Eglises. Le patriarcat grec-orthodoxe a perdu sa bataille judiciaire contre une organisation de colons, Ateret Cohanim, qui a acquis quatre de ses propriétés. L’Etat envisage d’installer un parc national sur le mont des Oliviers où se trouvent plusieurs dizaines de propriétés chrétiennes.Fin 2021 déjà, les franciscains dénonçaient l’augmentation des violences à leur encontre. Le père Francesco Patton, custode de Terre sainte, exprimait alors dans le journal anglais The Telegraph sa crainte que ces attaques visent à « débarrasser la vieille ville de Jérusalem de sa présence chrétienne, même dans le quartier chrétien. Nous avons besoin de l’aide extérieure pour survivre ».
Mmm, pourquoi ce genre de récit me fait-il penser à d'autres pays ? https://www.lemonde.fr/international/article/2023/02/03/a-jerusalem-les-attaques-contre-les-chretiens-en-hausse_6160490_3210.html
https://nypost.com/2023/02/02/florida-girl-9-beaten-by-two-boys-in-school-bus-attack/Plus que l'article en lui-même (c'est habituel en Amérique), c'est surtout ça mon problème :An increasing number of administrators have sought to ban the filming of fights across the country, cautioning kids that they will face disciplinary consequences along with those who actually throw the punches.Some parents and students have pushed back on that policy, contending the leaked videos are often the only window parents have into school safety.------------Yep, punissons ceux qui filment parce que si y a pas de preuve visuelle, ça veut dire que rien s'est passé.M'enfin, c'est comme chez nous avec la police ...
C'est pas le principe de non assistance à personne en danger d'être juste là à filmer au lieu d'intervenir ?
Je l'ai pas vu de cette manière, je dois avouer ...Mais en même temps, à trois contre un, si tu veux aider mais que tu as pas la carrure d'un golgothe, tu fais comment ?Tu passes de "non-assistance à personne en danger" à "personne en danger" toi-même ?
Tu te mets à l'écart et tu appelles la police. Comme ça tu ne restes pas sans rien faire et tu ne te mets pas en danger.
Et puis, ça tombe bien, t'as déjà un téléphone dans les mains !
La police aux USA risquerait d'abattre la victime avant de serer la main des agresseurs si on en crois leur reputation.