Surtout que, étonnamment, je n'ai personnellement pas vu passer de commentaires homophobes par rapport à cette affaire.Bon, après, je ne fréquente pas twitter
C'est quand même pas dur de faire les comptes : d'un côté, un toxico qui a du mal à se sortir de son addiction (mais qui avait les moyens d'appeler un taxi s'il fallait qu'il se déplace urgemment) et deux fuyards. De l'autre, un homme et un enfant grièvement blessés, potentiellement avec des séquelles à vie, une femme qui a perdu son enfant et un foetus qui était peut-être viable. Bilan: je n'aurai pas de compassion pour Palmade ni pour ses potes. .
(Au passage, l'orientation sexuelle de Palmade n'a absolument rien à voir avec le schmilblick.)
On peut faire tout un débat sur la drogue et ses mortelles conséquences ( alcool aussi), oui certes, mais je préfère rester sur mes rails à moi et pas ceux de Palmade en me concentrant davantage sur la famille touchée de plein fouet dans cet accident.
Le gamin est sorti du coma, info bfmtv.
J'étais pas au courant de tout ça. O_oMais bon BFM qui fait du BFM ...
Plus ou moins et plus que moins, le chemsex est une "valeur" (sic !) Issue des orgies gays...
Mais, on s'en fout de cette histoire de chemsex ! Déjà, il va falloir me confirmer que c'est une "pratique" gay. Parce que, je ne suis pas spécialiste, mais le "sexe sous drogue" me parait parfaitement "compatible" avec une pratique hétéro.
Mais, surtout, c'est totalement accessoire !Cette histoire de chemsex est un détail, voire un petit bonus sordide pour faire vendre du papier !Les... hmmmm... "circonstances" de la prise de cocaïne ne sont pas fondamentale dans cette affaire. Palmade aurait tout aussi bien se camer dans n'importe quelle autre circonstance.
À sa connaissance, le jeune homme n'avait jamais eu d'ennuis avec la justice auparavant. Elle suppose qu'après l'accident il a eu peur de l'arrivée de la police, étant en situation irrégulière en France. Elle, en tout cas, assure qu'elle n'était au courant de rien. Lorsqu'elle avait interrogé son ami sur les blessures qu'il avait au visage, il lui avait répondu qu'il ne se souvenait plus de rien.
«Les deux passagers du véhicule que conduisait Pierre Palmade, qui avaient quitté les lieux de l’accident, ont été placés en garde à vue. Ils ont confirmé s’être enfuis avant l’arrivée des secours. Ils avaient également consommé des produits stupéfiants», a précisé Jean-Michel Bourles, procureur de la République, dans un communiqué.
Les deux jeunes hommes de 33 et 34 ans, ex-escorts boys selon nos confrères du Parisien, "fréquentaient l'humoriste depuis plusieurs mois" lequel les hébérgeait régulièrement chez lui. Au moment de l'accident, alors que l'un d'eux a "juré s'être endormi et n'avoir pas vu que Pierre Palmade changeait de trajectoire", ils ont subitement pris la fuite, comme l'ont déclaré plusieurs témoins. Aux enquêteurs, le premier à avoir été entendu a expliqué qu'à l'initiative de son comparse, ils étaient retournés chez le comédien pour récupérer leurs affaires, et a reconnu avoir consommé de la cocaïne ce fameux jour, confirmant les déclarations de Pierre Palmade. Le comédien a en effet également été entendu sous le régime de la garde à vue, alors qu'il se trouvait toujours hospitalisé pour de multiples blessures.
Qui le pratique ?Le phénomène naît dans les années 2000 dans la communauté homosexuelle, d’abord à Londres (Royaume-Uni). Selon le Journal du sida, c’est l’activiste et militant gay David Stuart, responsable du service addictologie d’une clinique londonienne, qui a développé l’accompagnement des usagers et baptisé la pratique chemsex, contraction de « chems » (chemicals) et « sex ».La pratique se répand par la suite dans les communautés gays des grandes villes européennes, puis de plus en plus dans les milieux hétérosexuels, urbains ou non. « On a vu apparaître le chemsex à Paris il y a un peu plus d’une dizaine d’années dans le milieu gay. C’était marginal au départ. Et cette pratique concernait surtout les hommes séropositifs, parfois à cause de l’impact du virus sur leur vie sexuelle », nous confiait Thibaut Jedrzejewski, médecin généraliste au 190, le centre de santé sexuelle installé à Paris.
Hallucinant...
Stupéfiant plutôt