Fallait bien que ce soit lui qui inaugure ce formidable événement !
Agnès Soral a publiquement dénoncé son frère a plusieurs reprises et de ce qu'on sait ne le fréquente plus depuis longtemps donc je vois pas trop en quoi elle débecterait le même genre de choses. Mais bon ce serait pas la première fois que Byaku lance n'importe quoi -Sergorn
J'ai eu une dérive cognitive avec Veronique GENEST, pour ça que je parlais de jambonnade (MADRANGE.... toussaaaa....)Mes excuses à Agnès
Tu as osé confondre Agnès Soral et Véronique Genest !
Et oui, Trump est donc officiellement le premier ancien président américain à être inculpé au pénal. https://www.huffingtonpost.fr/international/article/donald-trump-inculpe-au-penal-par-un-grand-jury-a-new-york_215965.html
https://nypost.com/2023/03/30/male-powerlifter-enters-womens-event-breaks-record/Quand on invente de nouvelles règles et qu'on en modifie d'autres, fallait bien que ça se retourne un peu ...On a pas fini d'en entendre parler de ces choses là ...D'ailleurs à ce sujet, je crois qu'un truc lié aux JO est sorti récemment aussi. (mais je suis pas sûr)
Je me réjouirais SI il finit en taule personellement.Inculpé c'est bien, mais bien pour bien trop de puissance ça ne mène à rien au final. -Sergorn
UE : les gauches fracturées par la guerre en UkraineDans plusieurs pays européens, des courants sont hostiles ou réticents à aider militairement KievOlivier Bonnel, Philippe Jacqué, Sandrine Morel, Marina Rafenberg, Jean-Pierre Stroobants et Thomas Wieder Olivier Bonnel, Philippe Jacqué, Sandrine Morel, Marina Rafenberg, Jean-Pierre Stroobants et Thomas Wieder Olivier Bonnel, Philippe Jacqué, Sandrine Morel, Marina Rafenberg, Jean-Pierre Stroobants et Thomas Wiederpage 6Athènes, Berlin, Bruxelles, Madrid, Rome - correspondants - Pour certains courants de la gauche européenne, le soutien militaire à l’Ukraine ne va pas de soi. S’ils se sont faits discrets au moment de l’invasion, un an plus tard, leurs réserves ou leur hostilité s’expriment davantage. Le concours apporté à un pays en guerre, la montée en puissance de l’OTAN, le compagnonnage avec des Etats-Unis jugés impérialistes et l’opposition frontale avec Moscou heurtent le credo de ces mouvances politiques à la gauche de la social-démocratie, attachées à l’antimilitarisme et à l’antiaméricanisme. Cela provoque des tensions au sein de formations politiques, voire de gouvernements, où cohabitent plusieurs traditions.Les livraisons d’armes à Kiev, le mandat d’arrêt lancé pour crimes de guerre contre Vladimir Poutine par la Cour pénale internationale, le texte de la Chine sur le « règlement politique de la crise ukrainienne » , rebaptisé « plan de paix » pour l’occasion, ont été saisis comme autant d’occasions de manifester leurs désaccords. Le document de Pékin « peut être une solution » , a ainsi assuré en France le coordinateur de La France insoumise (LFI), Manuel Bompard, le 21 mars.« Une honte » pour PodemosSur ce point comme sur beaucoup d’autres, les Espagnols de Podemos sont en accord avec leurs partenaires de LFI. Red TV, la chaîne de télévision en ligne lancée début mars par le fondateur de ce parti, Pablo Iglesias, a consacré l’une de ses premières émissions au « plan de paix chinois », « l’initiative la plus sensée pour parvenir à un cessez-le-feu » . Sur le plateau, pour le commenter, figurait notamment l’ancienne responsable de la chaîne Russia Today en espagnol, Inna Afinogenova, collaboratrice de la nouvelle chaîne. Selon elle, les articles de la presse occidentale sur le plan de Pékin semblaient « écrits par un responsable du département d’Etat des Etats-Unis » .Ces positions sont partagées par une bonne partie de la coalition de gauche au pouvoir en Espagne, dont Podemos fait partie, et cela ne va pas sans heurts au sein du gouvernement du socialiste de Pedro Sanchez. Farouchement opposés à l’OTAN, qu’ils tendent à présenter comme le principal responsable de la guerre, les partis réunis sous l’étiquette Unidas Podemos se sont opposés à toutes les livraisons d’armes votées depuis un an par le Parlement. Ils ont refusé de condamner l’invasion de l’Ukraine et ont régulièrement critiqué les décisions de Pedro Sanchez concernant l’Ukraine.En octobre 2022, apprenant l’augmentation de 26 % des dépenses militaires, le porte-parole de Podemos au Parlement, Pablo Echenique, a dénoncé « une honte » et « la fureur militaire de l’OTAN » qui « attise » la guerre. Ce parti s’est aussi abstenu lors du vote sur l’adhésion de la Finlande et de la Suède à l’OTAN et les néocommunistes de la Gauche unie (IU) ont voté contre.En Grèce, dans l’opposition, le parti de gauche Syriza a certes condamné l’invasion de l’Ukraine par la Russie, mais il a aussi critiqué l’aide militaire à Kiev. Dès mars 2022, le chef du parti et ancien premier ministre, Alexis Tsipras, a qualifié l’envoi d’armes à l’Ukraine de « grande erreur » et il a demandé, au Parlement, « quels étaient les bénéfices » pour la Grèce de « s’impliquer dans la guerre » . La décision d’envoyer quarante chars BMP-1 stationnés sur les îles grecques a été particulièrement critiquée au motif que cela risque d’affaiblir militairement la Grèce, qui fait face à des provocations récurrentes dans les airs et dans la mer de la part de la Turquie. La position du parti est cependant assez ambiguë. En octobre 2022, les eurodéputés du Syriza ont approuvé une augmentation de l’aide militaire à l’Ukraine mais, le 19 janvier, ils se sont abstenus sur « une résolution qui exhorte l’UE à mettre en place un tribunal international spécial chargé de juger le crime d’agression de la Russie ».En Allemagne, la guerre en Ukraine met en lumière les contradictions de Die Linke (La Gauche), tiraillé entre son anti-impérialisme inspiré du marxisme, qui le conduit à condamner « la guerre d’agression » de la Russie, son antiaméricanisme hérité de la guerre froide et son antimilitarisme viscéral, qui le pousse à réclamer la cessation des livraisons d’armes à Kiev et à condamner la création d’un « fonds spécial » de 100 milliards d’euros pour la Bundeswehr, décidée par le gouvernement. Fondé en 2007 par des membres de l’aile gauche du Parti social-démocrate et les héritiers du Parti socialiste unifié de l’ex-République démocratique allemande, Die Linke peine à maintenir son unité face à la guerre.Violent débat chez Die LinkeEn février, le « manifeste pour la paix » lancée par l’ancienne présidente de son groupe parlementaire, Sahra Wagenknecht, et l’essayiste féministe Alice Schwarzer, a provoqué un violent débat dans ses rangs. Signé par 700 000 personnes, le texte n’a pas été approuvé par plusieurs membres importants de la direction du parti, qui ont reproché à ses autrices de faire le jeu du Kremlin en n’exigeant pas comme condition d’un cessez-le-feu le retrait préalable des troupes russes du territoire ukrainien, mais aussi de se montrer trop ambivalentes envers l’extrême droite pro-Poutine. Le différend a achevé de sceller le divorce entre Mme Wagenknecht et son parti. Née en RDA, Mme Wagenknecht a annoncé qu’elle ne serait plus candidate sous l’étiquette Die Linke, qu’elle représente au Bundestag depuis 2009.Le 26 février, à Bruxelles, une manifestation a attesté de la cassure au sein de la gauche belge. Alors que son mot d’ordre général était « la Russie hors d’Ukraine » , des slogans très différents sont aussi apparus, comme : « Arrêtez la guerre des Etats-Unis et de l’OTAN en Ukraine » . Le Parti du travail de Belgique (PTB) a été montré du doigt. Cette formation aux lointaines racines maoïstes a désormais des élus dans toutes les assemblées fédérales et régionales. Fin janvier, l’un de ses députés, Nabil Boukili, a affirmé que le vrai problème est « l’expansion continue de l’OTAN vers l’est » et que la livraison d’armes à Kiev ajoute « de la guerre à la guerre ». Le PTB a refusé de voter des résolutions du Sénat et du parlement régional flamand condamnant l’agression russe.En Italie, si le Parti démocratique est aligné derrière Kiev et l’OTAN, le Mouvement 5 étoiles (M5S) et des partis de gauche comme l’alliance Sinistra-Verdi critiquent le soutien militaire à l’Ukraine. Le M5S – parti populiste qui a drainé des courants politiques de différents horizons – est de loin le plus virulent. Le 29 mars, son président, Giuseppe Conte, ancien président du Conseil (2018 à 2021), a accusé le gouvernement de « mener l’Italie à la guerre » en poursuivant les livraisons d’armements. En janvier, les députés du M5S ont voté à l’unanimité contre la prolongation de la livraison d’armement à l’Ukraine. L’offensive russe a fracturé le parti fondé en 2009 par le comique Bepe Grillo. En juin, l’ancien ministre des affaires étrangères Luigi Di Maio a claqué la porte de la formation, accusant Giuseppe Conte de saper le soutien à Kiev.Au Parlement européen, pour The Left, un groupe qui réunit les élus de partis de la gauche radicale et d’extrême gauche, dont La France insoumise, Die Linke et Syriza, la guerre en Ukraine est aussi compliquée à gérer. Le 24 février, ses 38 eurodéputés assuraient dans un communiqué : « Nous continuons d’appeler à la paix et à la diplomatie comme seule solution ». « C’est un des messages qui est effectivement le plus consensuel entre nous », reconnaît Manon Aubry, la présidente de The Left.Cette position est répétée à chaque débat. En revanche, les élus du groupe ont voté de manière hétérogène lors de la vingtaine de scrutins sur l’Ukraine depuis un an. Sur la condamnation de l’invasion russe, l’aide financière à Kiev, la préparation du sommet UE-Ukraine, ils se sont répartis entre pour, contre et abstention.« Sur le soutien au peuple ukrainien, aux réfugiés, il y a une forte unanimité, mais c’est sur l’aide à apporter que des nuances apparaissent » , explique Mme Aubry. « Nos députés nordiques votent généralement pour les textes en faveur de l’Ukraine , glisse une bonne connaisseuse du groupe , d’autres, souvent au Sud, s’abstiennent en lien avec leur position antimilitariste historique et critique vis-à-vis de l’OTAN. » Dans nombre de courants de gauche, l’antiaméricanisme reste un frein à la condamnation de l’agression russe.
Arf, victoire de l'extrême-droite en Finlande...https://www.lemonde.fr/international/article/2023/04/02/elections-legislatives-en-finlande-la-droite-de-petteri-orpo-donnee-gagnante-devant-l-extreme-droite-et-les-sociaux-democrates_6168000_3210.html
Les histoires de clochards brûlés vifs, c'est ça ?