S'adapter c'est le propre des prédateurs finalement. Mais paradoxalement, les prédateurs, certains en particulier ( ceux qui n'ont aucun autre prédateur au dessus d'eux), n'ont pas besoin de s'adapter puisque au situés au sommet d'une hiérarchie, n'ont aucune raison de craindre la moindre menace par exemple.
ah ça y est, c'était un Ushuaia, et donc Hulot et une scientifique se baignait sans risque au milieu de dizaines de petites méduses qui ne constituaient absolument aucun danger car étant au sommet d'une chaine alimentaire, elles n'avaient jamais eu besoin de développer un quelconque système de défense.
En romans, l'imagination galope encore plus.