Hilda devant la mort de Siegfried est plus touchant à mon sens que le roulage de pelle. Je vois plus cet amour comme celui entre Lancelot et Guenièvre .. une sorte d'interdit. Du coup je préfère la subtilité à ce côté plus bourrin et sans émotion (même s'il y a des larmes). Bref, pas tip top.
Le second est plus marrant. Albérich est un de mes persos favoris, le plus borderline de tous, le plus subversif à mes yeux et quand, en plus, on a en tête la Tétralogie de Wagner, Albérich piquant l'amour de Siegfried, ça ne manque pas sel !