HS, mais ça vaut quoi, Iria ? Ça parle de quoi ?
Vu Iria à l'époque aussi, et en VHS. Je ne m'en souvenais plus tellement. Mais une époque où je me suis maté pas mal d'animes en VHS, OAV couvrant essentiellement science-fiction, horreur et fantastique. Cyber City, Monster city, NIja Scroll, Aria, RG Veda, etc.
A présent, un peu de douceur dans ce monde de brutes.Pampulilu pampulilu !
Qu'est ce que j'adorais cet animé étant gamin, j'aimais aussi beaucoup les autres "magical girls" avec une préférence pour "Vanessa et la magie des rêves".
J'adore Vanessa pour son côté ultra rentre dedans, c'est un putain de bourrine, serieux, on parle d'une gamine qui courre à environ 20 km/h et peut peter un mur d'un coup de poing sans être transformée.
La série est aussi précurseur à l'époque en ayant un des premiers personnage homosexuel dans une série animée (une des 3 mascotte, même si c'est édulcoré dans la version fr où dans l'épisode final où l'on voit les mascotte sous forme humaine, ils ont mis la voix de la fille des mascotte à celle travestie) et jamais la série n'utilise son côté "precieux" pour se moquer de lui, et la mascotte "homme", bien viril à tendance yakuza ne le rejette pas quand il apprend ses sentiments pour lui. Il ne les partage pas, mais c'est tout.
Perso, j'adore aussi Susy dans les magical girl de l'époque, la série a vraiment un côté nostalgique et doux que j'ai retrouvé dans très peu de slice of life (les série de Junichi Sato et Kiki la petite sorcière)
Oui, la VF de Vanessa est très bonne, même si je regrette que ce soit la seule magical girl Pierrot de l'époque à ne pas avoir la VOST sur les DVD (les coffret devait sortir quand Declic image a fermé).
Après généralement, les Magical Girl Pierrot sont très bien réalisé, l'équipe du studio Pierrot de cette époque a été formé sous la houlette de Mamoru Oshii. La série anniversaire Fancy Lala sorti en 1998 a même posé les bases du style de Kyoto animation (Le studio a commencé en étant sous traitant pour le studio Pierrot nottament sur cette série et la mise en scene rappelle à fond leur travail)